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Ohoettilto-3 (oho-et-til-to-3)
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  • Blog faisant partie d’une série de plusieurs. Il concerne l’intérieur d’Auroville, surtout sa Zone internationale, notamment tout Pavillon à propos de la France, dont tout ce qui est nommé -Pavillon de France- est mauvais et finira par être détruit.
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---ÀBasProjetPavillonDeFrance(Suite,38p. environ.)


Suite de la première partie.

Pour retourner à cette dernière, cliquer ici.

 

CONCEPTIONS POUR LE PLAN DU PAVILLON ET SON APPARENCE EXTÉRIEURE

LA CONCEPTION SOUTENUE ICI


C’est dans ce qui produit l’existence du Pavillon qu’il y a aussi l’origine de tout ce qui concerne le bâtiment. Le mouvement va de l’intérieur vers l’extérieur.
Il faut le titulaire du Pavillon avant ce dernier.
Et il y a l’activité de cet individu, la véritable activité légitime.
Si un bâtiment est à construire, il l’est autour de cela. Il peut n’être que quelques huttes, et autant longtemps que nécessaire, avant qu’un bâtiment définitif soit construit, peut-être par parties successives.
Pour le Pavillon de la France (ou un autre), il est possible qu’une maison indienne qui existe déjà soit conservée et utilisée. Il y aurait l’adaptation à ce qui existe. La maison servirait aussi de trace, de repère, avec la situation d’avant Auroville. Elle recevrait une extension ou une annexe où serait l’exposition permanente visitable dans la journée même lorsqu’il n’y a pas de responsable dans la maison. S’il y a une telle utilisation d’un bâtiment indien, celui-ci est adapté et complété selon les besoins qui apparaissent.
Ni un autre individu d’Auroville ni toute cette ville n’a à imposer des règles de forme ou autre car il faut la liberté. Il est évident qu’il y a des limites car, par exemple, il ne faut pas employer une très très grande surface ou une hauteur de vingt étages. Mais les gens d’Auroville qui s’occupent de cela au nom de toute cette ville telle qu’elle est et qui, avec leurs projets successifs pour la Zone internationale, se sont beaucoup trompés (ce qui finira par être reconnu) ne sont pas compétents pour intervenir. Pareil pour l’emplacement.
Tout architecte auquel le titulaire fera éventuellement appel devra se mettre au service de ce qui lui sera demandé.
Pour que vienne le début de l’existence de chaque Pavillon de pays, il faudra autant de temps que nécessaire. Pareil pour que le bâtiment soit terminé.
Que quelque chose de nouveau soit créé ou qu’un bâtiment indien soit conservé en étant adapté, il ne faut pas qu’il y ait le style de ce qui était considéré moderne il y a un demi-siècle, ou le style prétentieux qui se voit parfois dans Auroville, ou le jouet d’architectes agités qui cherchent d’abord à se satisfaire en bâtissant même si c’est sans cause légitime.


LA CONCEPTION DU GROUPE PAVILLON DE FRANCE À AUROVILLE

Sur l’ancien site officiel d’Auroville, sur la page particulière à P. de F., il n’y a rien.

Dans la brochure de P. de F., il y a seulement le passage concernant ledit « Pavillon de l’Unité » dans lequel il y a ceci qui est déjà cité plus haut. « L’objectif du Pavillon de l’Unité est de créer un espace de transition et un terrain expérimental pour la conception et la construction des pavillons nationaux. » Le commentaire est aussi plus haut.

Comme déjà dit, l’exposition concernant la Z.I. qui exista dans ce Pavillon fut ensuite placée dans le Centre des Visiteurs (Centre des Passants) en face de la guérite qui est devant le bâtiment des toilettes. Sur le panneau où il y a le plan du projet de Z.I., des précisions furent ajoutées alors et qui ne sont donc pas visibles sur ce panneau qui est reproduit sur l’ancien site internet officiel d’Auroville. Ces précisions concernent la forme des bâtiments. Il est indiqué qu’elle serait ronde pour l’Afrique, triangulaire pour l’Asie, hexagonale pour le continent américain, carrée pour l’Europe, et un mélange de triangle et d’hexagone pour l’Océanie. Pour le « Middle East », la forme n’est pas décidée mais il est proposé un rectangle courbé. Il est dit qu’il y a un champ de recherches appliquées sur les expressions symboliques de l’esprit essentiel et du caractère de chaque continent. Il est dit aussi que, pour éviter l’uniformité, d’autres formes pourraient être incluses occasionnellement si ça correspond à la culture du pays. (« Middle East » ne désigne pas forcément seulement ce qui, en France, est appelé Moyen-Orient mais peut inclure ce qui, en France, est appelé Proche-Orient.)
Ce qui est prévu est fondé sur la mauvaise idée de base d’un classement selon les continents, et on y ajoute donc des formes. C’est ridicule, aberrant, produit par de l’agitation mentale et en prévoyant d’en créer davantage. Les agités se rendent compte, pas de la sottise de tout cela, mais de l’uniformité qui en résulterait mais, au lieu de tout supprimer, ils envisagent la création de nuances, en posant une condition... dont ils pensent probablement qu’ils seront juges de son existence ou non.
Ce qui est prévu est étouffant ! Oui ! par ce projet, par ledit « Pavillon de l’Unité », Auroville veut attraper le reste du monde, les pays sauf l’Inde qui a déjà son Pavillon, pour les mettre dans les petites boîtes, les petites cases, qu’elle prépare, qui sont des prisons étouffantes. C’est un Pavillon de l’Usurpation et de l’Unité par uniformité, un Pavillon de l’Oppression et de l’Étouffement.
P. de F. ne dit rien de cela, ne s’y oppose pas, et, d’ailleurs il approuve expressément ledit Pavillon de l’Unité et, donc, ses productions.

Sur le site internet particulier au groupe P. de F., il y a l’indication de la surface prévue du bâtiment français envisagé et de son nombre d’étages. Il n’y a rien de plus. Ce fut sûrement écrit après la publication de la brochure. Est-ce que ce qui est écrit fut accepté par l’équipe dudit Pavillon de l’Unité ? Est-ce que ce fut cette équipe qui donna les indications ?
Si le groupe P. de F. s’était fait sortir de l’orbite du Pavillon de l’Usurpation et de l’Uniformité, et s’il se comportait de manière normale, il l’aurait indiqué. Mais il n’y a rien.

Sur le nouveau site officiel d’Auroville, les formes circulaire, triangulaire, etc. sont indiquées comme ci-dessus sauf qu’il n’y a rien concernant le « Middle-East ». Pour voir cela en anglais sur ce site, suivre le chemin suivant : Home (Accueil) / Activities / Planning & Architecture / City layout / International (IZ) and National/Cultural Pavilions. L’indication « National/Cultural Pavilions » correspond à l’erreur de prévoir des pavillons culturels selon l’idée de 52 transposée à tort.) Pour voir cela directement, copier ce qui suit sauf le point final et le coller dans le rectangle d’écriture qui est en haut d’une page de Google ou équivalent : http://www.auroville.org/contents/2856 .


ÉTAT ACTUEL DE LA CONSTRUCTION DU PAVILLON FRANÇAIS DANS LA Z.I., ET ÉVENTUELS SOUTIENS ÉTATIQUES FRANÇAIS OU INTERNATIONAUX

CONCEPTION SOUTENUE ICI


La construction du Pavillon de la France n’a pas commencé. Les causes sont qu’il n’y a pas encore les conditions en France pour que ça puisse exister, qu’il n’y a pas dans Auroville au moins une personne aurovilienne qui soit celle faite pour devenir, pour se révéler être, la titulaire du futur Pavillon et qui agirait en tant que telle avant tout début de construction, et qu’il n’y a pas d’emplacement déterminé. Tout argent ne peut donc pas arriver à l’endroit où il y en aura besoin.

Le Pavillon ne doit recevoir aucun soutien étatique français (et aucun d’organismes internationaux). Il y a plusieurs causes que voici.
Le moindre soutien étatique apporté à une croyance crée une domination, une oppression, une tyrannie, pour les individus qui sont des ressortissants du pays impliqué et qui n’approuvent pas cette croyance, qui souhaitent peut-être qu’elle n’existe pas, qui la combattent peut-être. Il y a une atteinte portée à la liberté, et une atteinte portée à l’égalité en droits. Or, du point de vue objectif, extérieur, ce qui concerne Sri Aurobindo et la Mère est de la croyance. Penser notamment à la formation de l’univers, aux différentes parties d’un individu humain, à la future sorte d’êtres supramentaux. Donc, toute reconnaissance étatique de quelque chose d’Auroville implique la reconnaissance, même plus ou moins cachée, par la nation française, de tous les éléments de croyances qui vont avec. En France, liberté et égalité sont les deux premiers principes (qui provinrent de l’aspiration psychique même si ce nom ne fut pas employé et, lors de l’établissement d’une liste de droits naturels, qui étaient accompagnés par les devoirs qui en découlaient, il n’y eut pas de discussion à propos de l’origine de ceux-ci pour que chacun ait la liberté d’en penser ce qu’il voulait). Un soutien étatique à une croyance est en contradiction avec ces règles juridiques les plus hautes de la nation française et c’est de la tyrannie pour tous les Français qui n’y croient pas. (En France, il y a de nombreux éléments contraires, non seulement parce que la nation ne voulut pas les supprimer mais aussi parce qu’elle se retrouva dans une situation de chute où les principes, qui ne purent pas être supprimés par leurs opposants, sont de moins en moins respectés.)
Lorsqu’une demande d’argent ou d’un autre soutien est adressée à un régime politique, précisément à un gouvernement particulier de ce régime, ou à un organisme international, elle est un soutien de ce à quoi elle est adressée. Or, des individus intéressés par un tel Pavillon pourraient désapprouver cette prise de position politique. (Il ne faut pas se lier à tout organisme international dont tous les éléments ne sont pas bons.)
Un soutien étatique direct ou par un organisme international s’accompagnerait forcément d’une contrepartie. Il y aurait celle minimale de ne pas dire du mal du donneur d’argent. Il y aurait celle de lui servir d’instrument. Il y en aurait peut-être d’autres. Or, il faut la liberté. Il faut n’avoir pas de limite de ce genre, aucune contrainte.
Voir aussi ce qui est dit ci-après en commentaire de la conception de P. de F.


CONCEPTION DE P. DE F.

Les membres de P. de F. ne pensent d’abord qu’à l’activité de quelques Auroviliens, puis au soutien qu’ils reçoivent d’individus de France.
Il est fait un lien direct entre la quantité de Français à Auroville et l’existence d’un Pavillon français : d’une grande quantité il est déduit qu’un Pavillon devrait exister. Cette déduction n’est pas légitime. P. de F. commet donc l’erreur de se baser sur l’existence de Français à Auroville au lieu de se fonder sur l’aspect France, c’est-à-dire sur ce qui se passe en ce pays.

Sur l’ancien site officiel d’Auroville, sur sa page concernant « Pavillon de France », il y a quelque chose qui est aussi, mais en anglais, sur le nouveau site officiel. Il en fut parlé dans un article publié sur le site Ohoettilto en avril 12 et que voici intégralement.
«« UNE AUTRE PREUVE QUE LE PROJET DU PRÉTENDU PAVILLON DE »» LA «« FRANCE EST MAUVAIS
Le texte principal de présentation du prétendu Pavillon de »» la «« France commence ainsi : « Bien que la population d’Auroville comprenne un grand nombre de Français, aucun plan clair n’a encore vu le jour pour un Pavillon de France. Toutefois, [...]. Peu à peu, [...]. La première pierre a été posée le 23 août 1993 et aujourd’hui [...] il semble bien que le Pavillon de France soit prêt à prendre forme ».
Le début signifie que des individus savaient que la construction d’un Pavillon de la France était prévue dans Auroville par la Mère, et savaient que beaucoup de Français vivaient dans cette ville. De cela, ils déduisirent que le Pavillon pouvait commencer à être construit et ils s’en occupèrent.
Le projet est donc le résultat de pensées faites à partir d’éléments déjà présents. Il n’y a aucune motivation intérieure profonde. Il n’y a aucun élément nouveau qui arrive, par exemple par une intuition véritable constatée avec évidence.
Et il résulte aussi que le bâtiment envisagé ne serait pas un Pavillon de France ou Pavillon de la France, mais seulement un Pavillon de Français. En plus, ce ne serait pas des Français de France, mais des Français d’Auroville soutenus par quelques Français de France.
Il y a donc une autre preuve que le projet est mauvais, qu’il ne concerne qu’un prétendu Pavillon de »» la «« France, une imposture.
La situation correspond partiellement au nom anglais du bâtiment. Ce nom est « French Pavilion », Pavillon français, ce qui ne correspond pas à Pavillon de France »» ni à Pavillon de la France. «« Vu la réalité de ce bâtiment, »» tel qu’il serait s’il existait «« il faut comprendre ainsi : Pavillon français bâti par des Français d’Auroville, approuvé par Auroville dans son ensemble même si quelques Auroviliens désapprouvent, et soutenu par quelques Français de France.
La situation correspond aussi au nom et à l’adresse qui sont indiqués à la fin de la brochure présentée plus haut : « Pavillon de France, Auroville Press, Aspiration ». Le nom Aspiration est celui d’un quartier d’Auroville qui n’est pas dans la zone internationale. Depuis la publication de ce texte, cette situation put être modifiée, faisant peut-être oublier cette origine. »»
Ici se termine cette répétition d’un passage de l’article publié en avril 12 sur le site internet Ohoettilto.

À propos d’adresse, voici autre chose.
Le fait que quelque chose qui a le nom « Pavillon de France » soit à Aspiration montre que ce nom n’est pas celui d’un Pavillon mais celui d’un groupe d’Auroviliens.
Par ailleurs, sur l’ancien site internet officiel d’Auroville comme sur le nouveau, sur sa page relative à « Pavillon de France », l’adresse est, en été 14, « Multimedia Center, Town Hall », c’est-à-dire le Centre multimédia qui est dans l’Hôtel de Ville d’Auroville, la mairie.
Qu’est-ce que toute affaire de pavillon de la Z.I. a à faire dans cette mairie ? Rien. Qu’est-ce que toute affaire d’un tel Pavillon a à faire dans un Centre multimédia ? Rien. Est-ce qu’il y eut la volonté d’avoir une adresse dans cet Hôtel de Ville, qu’un lieu interne y fut cherché, qu’il n’y en avait évidemment aucun pouvant y correspondre, et qu’il fut donc décidé de se placer là où c’était possible ? Par ailleurs, P. de F. a en lui un service de traduction, soit parce qu’il fut créé à l’intérieur de P. de F., soit parce qu’il existait avant et qu’il fut intégré dans P. de F. En ce dernier cas, est-ce que ce service était installé dans le Centre multimédia et que P. de F. vint se greffer dessus ? La cause de tout cela serait la volonté de se donner un caractère plus officiel. Il y aurait le recours à un artifice. Quelle est la situation ?
Quelle que soit la cause de l’existence de l’adresse dans ce bâtiment, celle-ci montre qu’il n’y a pas quelque chose de vrai dans le mouvement de construction d’un Pavillon qui est mené par le groupe P. de F. Il est produit par de l’agitation. Il est mauvais par nature.

Les membres de P. de F. ne comprennent donc pas que quelque chose doive exister dans le pays, qui contribue à favoriser l’évolution, à développer la conscience, etc.
Cependant, ils savent quand même qu’un vrai Pavillon de pays doit avoir quelque chose qui vient de ce dernier. (Ainsi, c’est parce que l’Inde accepta le projet de création d’Auroville, acceptation très importante, qu’elle eut le droit de commencer à créer son Pavillon.)
Le groupe « Pavillon de France » pense que la réception d’un soutien étatique est bonne et suffisante.
Il aime pouvoir parler d’un soutien par un ministère des affaires étrangères, par un ambassadeur, un consul. Il aime aussi les soutiens indirects par des organes internationaux de ladite construction de l’Europe, ou un organisme onusien. (Il aime aussi ces derniers soutiens en tant que tels.) Le groupe est content d’avoir une première pierre officialisée par un représentant étatique de la France même s’il n’y en a pas de deuxième.
Mais tous ces soutiens étatiques français, directs ou par un organisme international, ne sont pas de véritables soutiens apportés par la France car la nation française ne décida rien. Ils existent dans l’inconscience de cette nation, dans l’obscurité. [Ajouté lors de la publication sur le blog Ohoettilto-3. Ces soutiens existent probablement dans le cadre de l’Unesco. Cet organisme international ne soutint jamais l’essentiel d’Auroville : l’apport de Sri Aurobindo et la Mère, c’est-à-dire la manifestation supramentale en cours, l’existence du psychique, « serviteur volontaire de la Conscience Divine », etc. Au mieux, ces soutiens ne valent rien. Sur le blog Antiténèbres de Canablog, il y a un article rédigé d’après les archives de l’Unesco sur les relations de cet organisme avec la Sri Aurobindo Society (S.A.S.) et Auroville.]

Voici quelque chose qui provient de l’article publié sur le site Ohoettilto le 18 avril 12 et il est placé entre des guillemets doubles. Toutes ses citations viennent de l’ancien site internet officiel d’Auroville, de sa page relative à « Pavillon de France ». Elles sont aussi sur le nouveau site. Elles sont aussi dans la brochure publiée par le groupe P. de F. mais la rédaction de la deuxième citation y est un peu modifiée sans changer le fond.

«« LE DÉBUT ANNONCÉ DE LA CONSTRUCTION DU PRÉTENDU PAVILLON DE »» LA «« FRANCE
Dans le texte principal de présentation, il est écrit ceci. « La première pierre du Pavillon de France a été posée le 23 août 1993 par Monsieur P[...] P[...], alors ambassadeur de France en Inde. À ce moment-là, le projet de construction avait été défini par le service d’urbanisation d’Auroville (Auroville’s Future), dirigé par l’architecte d’Auroville, Roger Anger. »
Roger Anger et le « service d’urbanisation d’Auroville » n’avaient pas compris.
Un ambassadeur de France intervint. Pour le meilleur aspect de la France, ça n’aurait pas dû exister, comme indiqué ci-après.

UNE INTERVENTION ÉTATIQUE FRANÇAISE NE DEVRAIT PAS EXISTER
En France, il y a une conception qui provient de la Révolution française. Elle est admise en ce pays au niveau des principes et il y a de nombreuses conséquences qui sont aussi admises. Cette conception est que, pour créer un régime de liberté et d’égalité en droit, le pouvoir public, dans toutes ses ramifications, doit être neutre en matière de croyances, il ne doit en soutenir aucune avec ses conséquences. La cause est que le moindre soutien étatique apporté à une croyance crée une domination, une oppression, une tyrannie, pour les individus qui n’approuvent pas cette croyance, qui souhaitent peut-être qu’elle n’existe pas, qui la combattent peut-être. Il y a une atteinte portée à la liberté, et une atteinte portée à l’égalité en droits. Cela suffit pour comprendre la conception.
Celle-ci est évidemment combattue par tous les individus qui veulent que leur croyance soit dominante ou au moins étatisée même sans être la plus dominante. Ils réussirent à faire conserver l’étatisation de nombreux éléments de leurs croyances, et à en ajouter d’autres, et tous ces éléments sont contraires aux principes en jeu. Ces individus sont majoritaires en France depuis longtemps, dominants. Cependant, ils ne sont pas suffisamment puissants pour anéantir ce qui provient de la Révolution française. D’ailleurs, beaucoup ne veulent pas tout anéantir.
Le résultat actuel est le fatras qui se voit, avec ses conséquences psychologiques. Des éléments de la conception provenant de la Révolution française sont conservés, évoqués parfois, mais c’est aussi très souvent des mots seulement qui sont employés en ayant reçu une autre signification, qui est contraire à la véritable. Globalement, la conception provenant de la Révolution française est en cours d’anéantissement, hypocritement.
Si la France était en régime de liberté et d’égalité en droits, aucun ambassadeur (ou autre personnage public) n’aurait pu intervenir à propos de la construction d’un bâtiment dans Auroville (ni à propos de celle-ci en général), car c’est exprimer l’approbation de la croyance qui en est la cause.
En faisant intervenir l’ambassadeur, les promoteurs du prétendu Pavillon de »» la «« France exprimèrent implicitement leur approbation des soutiens étatiques français apportés à d’autres croyances. Ils les légitimèrent.
Ils approuvèrent notamment le soutien apporté à l’Église chrétienne catholique romaine, qui fait la tyrannie de cette religion en France, la plus forte de toutes. Ils approuvèrent implicitement cette tyrannie, ils la soutinrent. Ils sont des oppresseurs des Français de France qui n’en veulent pas.
Pareil pour d’autres croyances qui sont étatisées en France, moins fortement que la papiste. »»
Et ils créèrent une tyrannie de la croyance qui est en jeu à propos du prétendu Pavillon de »» la «« France. Elle est si petite qu’elle est très grandement inconsciente, mais elle existe pour tous les individus qui n’approuvent pas cela. Elle existe aussi pour les individus qui, approuvant cette croyance, voudraient qu’elle ne soit imposée à personne par le pouvoir public français.
«« En faisant intervenir un ambassadeur français, les promoteurs du bâtiment n’agirent pas selon le meilleur aspect de la France, celui qui est favorable au développement de la conscience, de la lumière, de la liberté et de l’égalité en droits, de l’évolution, et qui passe notamment par la Révolution française. Ils agirent selon l’aspect ténébreux qui est celui des ennemis de celle-ci.
Par ailleurs, une cause de la mise en action d’un ambassadeur se devine facilement : vouloir donner un caractère officiel au projet.

CONSÉQUENCE DE L’ABSENCE D’INTERVENTION ÉTATIQUE QUI DEVRAIT EXISTER POUR LA FRANCE
Comme indiqué ci-dessus, si la France était en régime de liberté et d’égalité en droits, aucun personnage étatique ne pourrait intervenir à propos de la construction d’un bâtiment dans Auroville.
La France qui n’est pas encore en régime de liberté et d’égalité en droits a donc deux aspects, celui de la lignée évolutive passant notamment par la Révolution française et celui opposé, avec beaucoup d’emmêlement des deux à l’époque actuelle. Dans cette situation, lorsqu’un personnage étatique intervient pour soutenir une croyance, c’est toujours parce que ce n’est pas le meilleur aspect de la France qui agit.
Comment le Pavillon de la France, le véritable, le seul, pourrait-il exister ?
La réponse est indiquée au début du texte : c’est ce qui y est appelé la compréhension naïve.
La France est dans une situation de contradictions, de fatras, et c’est le mouvement hostile à la Révolution française qui y est en dynamique favorable. Beaucoup d’individus sentent le malaise mais sans connaître la cause. Cette situation ne durera pas toujours. Forcément, la poussée évolutive redeviendra active tôt ou tard. »»

«« DANS LA PROCÉDURE VERS LA CONSTRUCTION DU PRÉTENDU PAVILLON DE »» LA «« FRANCE, DEUX ÉVÈNEMENTS DE 98
Sur le site internet officiel d’Auroville, dans le texte principal de présentation du prétendu Pavillon de »» la «« France, il y a ceci. « Le projet du Pavillon de France fut présenté par une délégation aurovilienne à M. Chirac lors de sa visite en Inde en janvier 1998. Et en juillet 1998, à Paris, M. Karan Singh, alors président de la délégation indienne, présenta officiellement le projet du Pavillon de France à Auroville à M. Claude Allègre, ministre de l’Éducation nationale, de la Recherche et de la Technologie. »
En 98, il n’y avait donc encore qu’un « projet » architectural ! La « première pierre » posée en 93 ne l’avait été que pour tenter de forcer l’avancée d’une construction. Ce fut un artifice, dans une histoire mauvaise dès son origine, mal fondée.
La première présentation indiquée du projet fut faite en Inde par une « délégation aurovilienne », comprendre probablement par des habitants d’Auroville, peut-être seulement des Français. Ça ne vint pas de la France.
La deuxième présentation fut faite en France, par un Indien, « président de la délégation indienne » de quelque chose qui n’est même pas indiqué.
Dans les deux cas, ce qu’étaient les auteurs de la présentation montrent que la procédure d’avancement était mauvaise, dans une histoire qui est mauvaise dès son origine, mal fondée.
À qui les présentations furent-elles faites ? À un Président de la République française et à un « ministre de l’Éducation nationale, de la Recherche et de la Technologie ».
Est-ce que les présentateurs du projet cherchaient à obtenir une approbation, un soutien, peut-être financier ? Est-ce qu’ils avaient la conception qu’un système monarchique existait en France et qu’il suffisait d’obtenir une telle approbation, par caprice et secrètement, pour que ça vaille quelque chose pour tout le pays à propos d’un développement évolutif comme celui dans lequel il y a notamment Auroville ?
Et en quoi un tel ministère est-il concerné ? Est-ce qu’il était voulu que le ministre décide arbitrairement qu’il fallait enseigner quelque chose à ce sujet aux habitants de la France ?
Ce qui apparaît est qu’il était voulu obtenir du soutien par des éléments étatiques français pour valoriser le projet, pour lui donner de l’importance, pour tenter de le rendre crédible. C’est sur cela qu’il était compté.
Il était peut-être aussi voulu obtenir de l’argent. Si c’était le cas, ce serait donc avec de l’argent public qu’il était espéré construire le bâtiment, pas avec l’argent d’individus intéressés par Sri Aurobindo et la Mère et aussi par le projet.
Tout cela est mauvais.
Quelles furent les réponses ?
Seules des réponses approbatives seraient importantes, car elles seules serviraient le projet.
Le texte aurovilien ne dit pas un mot sur les réponses  !
Est-ce qu’il y eut seulement quelques mots de politesse et des mots du genre bonne chance, ou bonne continuation, sans rien de plus !?
(Dans un pays où il y aurait un régime de liberté et d’égalité en droits, ces deux personnages étatiques ne pourraient même pas dire bonne chance, ou bonne continuation, car ils ne pourraient pas soutenir, même par deux mots seulement, un projet qui est directement lié à de la croyance, c’est-à-dire qu’ils ne pourraient pas soutenir celle-ci. D’ailleurs, les présentateurs du projet n’auraient pas pu le leur présenter car ils en auraient été empêchés.)
Il n’y eut donc pas ces deux soutiens au projet car, sinon, ils auraient été indiqués.
Les rencontres avec le Président de la République française et le ministre ne servirent à rien. Mais parler de ces deux personnages dans le texte fait bien, du point de vue de ses auteurs.
D’un autre point de vue, cela contribue à révéler des aspects du projet qui se constatent pour d’autres éléments : les aspects artificiels, prétentieux, auto-illusoires.
Même s’il y avait eu l’obtention d’un soutien, ça ne vaudrait rien pour toute la France.
Et, en plus, ça accompagnerait des soutiens à d’autres croyances. Par exemple, lorsque Chirac, qui était alors chanoine de l’église vaticane de Latran, soutint la papauté par des discours publics et autrement, il soutenait vraiment l’Église catholique romaine, la tyrannie de cette religion en France.
Un soutien étatique au projet aurovilien en jeu ne serait donc que l’un, très petit, parmi d’autres, certains énormes, et n’aurait que la valeur correspondant à cela, valeur qui serait donc presque insignifiante.
C’est auprès d’un gouvernement réactionnaire, anti-évolutif, que du soutien fut cherché. (Depuis longtemps en France, les gouvernements sont de ce genre, quelles que soient les conceptions politiques particulières.)
Comme déjà dit, lorsque des Auroviliens cherchent un soutien auprès du pouvoir public français à propos d’un projet qui est lié directement à de la croyance, ils justifient le soutien étatique apporté à d’autres croyances, ils justifient toutes les tyrannies religieuses qui existent actuellement en France, ils les soutiennent.

SITUATION OÙ SERAIT ENCORE LE PROJET DE PRÉTENDU PAVILLON DE »» LA «« FRANCE
En avril 12, date de rédaction du présent texte, sur le site internet officiel d’Auroville, dans le texte principal de présentation du prétendu Pavillon de »» la «« France, il y a ceci : « En attendant la construction du Pavillon ».
Selon cela, environ vingt ans après ladite pose de la première pierre, le prétendu Pavillon de »» la «« France ne serait pas encore construit.
Il aurait pu commencer à l’être mais sans être terminé.
Mais il semble que rien n’existe. Sur le site internet, il n’y a aucune photographie qui montre l’état de la construction. Est-ce qu’il n’y a encore qu’une seule pierre ?
Est-ce que ce qui est indiqué sur le site officiel d’Auroville n’est pas à jour, mais date de plusieurs années ? Si oui, de combien d’années ? Dix, douze, quatorze !? »»


Ainsi se termine ce qui fut publié sur le site internet Ohoettilto le 18 avril 12.
En été 14, date de rédaction du présent nouvel article en utilisant des passages de celui d’avril 12, les passages reproduits ci-dessus sont encore en place sur l’ancien site internet officiel d’Auroville et ils sont aussi sur le nouveau. Une brochure nouvelle ne fut pas publiée.

Plus haut, il y a la citation de fragments d’une phrase de la page P. de F. de l’ancien site officiel d’Auroville et qui est aussi sur le nouveau, et la voici complète. « La première pierre a été posée le 23 août 1993 et aujourd’hui, avec l’intérêt croissant que suscite la Zone internationale, il semble bien que le Pavillon de France soit prêt à prendre forme. » C’était une illusion, heureusement ! Cette phrase n’est pas dans la brochure.

En avril 12, sur le site Ohoettilto il fut écrit que « La "première pierre" posée en 93 ne l’avait été que pour tenter de forcer l’avancée d’une construction ». Comment les agités arrivèrent-ils à créer la situation de la pose de cette pierre ?
Il y a une rumeur selon laquelle un ou plusieurs individus avaient proposé de donner l’argent nécessaire mais que, finalement, ils ne le donnèrent pas. Si c’est vrai, qu’est-ce qui les fit changer d’avis ? Est-ce qu’ils se rendirent compte finalement que l’entreprise était mauvaise et décidèrent alors de s’en extraire ? Est-ce qu’ils proposèrent l’argent par un mouvement d’ego et qu’ils s’aperçurent finalement que les conditions posées pour se satisfaire n’étaient pas admises et, donc, se retirèrent ?
En tout cas, s’il y eut vraiment des gens qui annoncèrent apporter l’argent mais qui, finalement, ne le donnèrent pas, ça montrerait que les meneurs auroviliens du projet de construction organisèrent une pose de première pierre alors qu’ils n’avaient pas l’argent. S’ils avaient su qu’ils ne l’auraient pas, auraient-ils quand même organisé la cérémonie ?
Dans tous les cas, cette histoire de première pierre est ridicule, grotesque. Pourtant, le groupe P. de F. s’accroche à sa pierre, sa pierre bénite, sa relique. Il s’y accroche car il s’accroche au soutien étatique français reçu alors. Et c’est avec cela qu’il cherche à construire l’avenir !
Est-ce que les gens qui proposèrent l’argent sont des Français des deux associations imbriquées qui sont dites « partenaires » du groupe P. de F. et qui sont indiquées plus loin dans le présent article ?

Par ailleurs, cette « première pierre » qui date d’environ 1/4 de siècle montre que, à propos de ce qui est appelé « Pavillon de France », il n’y a pas un vrai titulaire de Pavillon, ou plusieurs, qui agissent de manière légitime et autour desquels, graduellement, se construit un vrai Pavillon de pays. Cette « première pierre » montre qu’il y a de l’artifice, du mensonge, de l’agitation de quelques Français d’Auroville et d’ailleurs. Elle est comme un boulet accroché aux chevilles du groupe P. de F.

Le groupe « Pavillon de France » est fier de son soutien étatique français qui lui donne de l’importance. Il pense que ça lui donne de la légitimité. C’est sur cet élément du vieux monde qu’il appuie son existence avec celle de sa « première pierre » !
Les soutiens étatiques à ce qui est appelé « Pavillon de France » qui agissent ainsi le font en contradiction avec les règles les plus hautes de la nation française. Pareil pour le groupe « Pavillon de France » qui les recherche et les accepte.
Ces recherches et ces soutiens sont en contradiction avec ce qui est le meilleur de la France. Ça montre encore que le groupe P. de F. ne vaut rien à propos d’un véritable Pavillon de la France.
Lorsqu’un changement viendra en France, au profit du développement de la liberté et de l’égalité en droits, de la conscience, de la vérité, il faudra une décision de la nation disant, de manière générale, que toutes les reconnaissances de ce genre étaient contraires aux règles juridiques françaises les plus hautes, n’auraient donc pas dû exister, existèrent parce que la France étaient dans les ténèbres, et que, désormais, elles n’ont plus aucun effet, elles ne sont plus en vigueur, elles appartiennent seulement au passé.

P. de F. avec sa première pierre diffuse une conception erronée de ce qu’est la Zone internationale d’Auroville, contribue à ne pas faire comprendre ce qu’elle est. C’est de la corruption d’Auroville. Toute cette ville accepte cela et a donc la même position. En plus, il n’y a pas que ce qui concerne le pavillon français car il y a le bâtiment dit « de la culture tibétaine » et d’autres premières pierres ou petits monuments du même genre.


UNE PARTIE DE CE QU’EST LE FRANÇAIS QUI MÈNE P. DE F.

Le Français Claude Arpi est le meneur de P. de F.

Dans La Revue d’Auroville n° 27, p. 6, quelqu’un qui n’est pas lui écrivit ceci dont le début concerne le bâtiment de la Z.I. nommé Pavillon de la culture tibétaine. « Mais je crois que la leçon à tirer de cette aventure réussie est celle-ci : bien avant que les murs du Pavillon s’élèvent, bien avant que la première pierre soit posée, longtemps avant que le projet soit même envisageable, Claude à lui seul était un pavillon tibétain ambulant. C’est-à-dire que, de par l’intensité de ses convictions, la constance de ses préoccupations, et sa volonté de communiquer celles-ci aux Auroviliens, sans prétention d’aucune sorte, il représentait pour nous tous l’âme tibétaine. Après cela, l’âme n’avait plus qu’à s’incarner. C’est ce qui a été fait avec la construction du Pavillon. »
Ce Français représenterait « l’âme tibétaine » ! Ce qu’il représente du peuple tibétain est au moins une partie de ce qui doit en disparaître, y compris la prise en main par l’étranger et l’utilisation à son service.
Ledit « pavillon tibétain ambulant » fit poser la première pierre de son bâtiment nommé finalement Pavillon de la culture tibétaine le 23 ou le 24 décembre 93. Le 23 août précédent, il avait fait poser celle qui était censée correspondre au Pavillon de la France ! Cet individu n’est pas légitime pour ce dernier. Il ne l’est pas non plus pour un Pavillon du Tibet. Mais il est légitime pour son Pavillon de la culture tibétaine, qui est une folie.


POSITIONS CONCERNANT L’O.N.U. ET SON U.N.E.S.C.O.

CONCEPTION SOUTENUE ICI


La France devrait cesser d’être partenaire au traité international concernant l’organisme international nommé Organisation des nations unies, (O.N.U. ou Onu). Ainsi, elle quitterait cet organisme, ce qui est le but. (Un autre organisme international mondial finirait par être institué plus tard, qui serait meilleur.) La France devrait faire pareil pour tous les autres traités qui sont rattachés à l’O.N.U., notamment celui de l’U.N.E.S.C.O. (ou Unesco), Organisation des nations unies pour l’éducation, la science et la culture. Elle devrait faire cela car ces organismes ont de mauvaises bases. Ils sont notamment tyranniques.
Un véritable Pavillon de la France devrait donc ne pas approuver ces organismes, ne devrait pas les soutenir, devrait exprimer son opposition en permanence en un bulletin périodique et dans l’exposition permanente. Son titulaire et ses soutiens devraient aussi l’exprimer chaque fois que quelque chose à ce sujet se passerait dans Auroville, par exemple en se plaçant à l’entrée extérieure d’une salle de réunion (sans participer ensuite à celle-ci) et en brandissant un panneau avec quelques mots écrits.


CONCEPTION DU GROUPE P. DE F.

La position d’Auroville concernant l’O.N.U. (Organisation des nations unies) et son U.N.E.S.C.O. est d’approuver leur existence.
Le groupe P. de F., qui est soutenu par Auroville, a la même position que cette ville.
Dans sa brochure, cette approbation est exprimée d’une manière spéciale. Sous le titre « Auroville et la communauté internationale », il est écrit ceci. « Auroville a reçu l’approbation unanime de l’UNESCO lors de résolutions passées en 1966, 1968, 1970 et 1983 ». Il n’y a rien de plus. S’il y avait de l’opposition, elle aurait été exprimée. [Ajouté lors de la publication sur le blog Ohoettilto-3. L’Unesco soutient cette ville seulement telle qu’elle la conçoit, où il n’y a pas l’essentiel de celle-ci. C’est montré sur le blog Antiténèbres de Canablog, dans l’article indiqué plus haut.]


POSITIONS CONCERNANT LADITE CONSTRUCTION DE L’EUROPE

CONCEPTION SOUTENUE ICI


La France devrait cesser d’être partenaire à tous les traités internationaux concernant ladite construction de l’Europe. Ainsi, elle sortirait de tous les organismes relatifs à cela y compris ledit Conseil de l’Europe.
Un véritable Pavillon de la France devrait donc ne pas approuver tout cela, ne devrait pas le soutenir, devrait exprimer son opposition en permanence en un bulletin périodique et dans l’exposition permanente. Son titulaire et ses soutiens devraient aussi l’exprimer chaque fois que quelque chose à ce sujet se passerait dans Auroville, par exemple en se plaçant à l’entrée extérieure d’une salle de réunion (sans participer ensuite à celle-ci) et en brandissant un panneau avec quelques mots écrits.


CONCEPTION DE P. DE F.

Auroville dans son ensemble approuve ladite construction de l’Europe. P. de F. a la même position qu’elle.


La brochure de P. de F.

Dans cette brochure, aussitôt après la phrase relative à l’Unesco il y a la suivante. « Des organisations gouvernementales et non-gouvernementales indiennes et étrangères ont financé plusieurs programmes de développement. »

Ça concerne tout Auroville. L’important pour ici est que ces financements sont approuvés par le groupe P. de F. et que ça implique l’approbation de l’existence des donneurs d’argent. Parmi eux, il y a un ou plusieurs des organismes de ladite construction de l’Europe, c’est-à-dire un ou plusieurs organes d’un de ces organismes ou de plusieurs.


Le panneau de P. de F. dans une exposition faite par Auroville

Le groupe « Pavillon de France » s’exprima sur l’un des panneaux d’une exposition qui exista dans Auroville, dans ledit Pavillon de l’Unité (Pavillon de l’Usurpation et de l’Uniformité) du 26 novembre 10 jusqu’au 12 mars 11.

L’exposition fut placée ensuite au Centre des visiteurs (Centre des passants), près de la première entrée qui exista, face à la guérite qui est devant le bâtiment des toilettes.

Sa troisième partie contient du texte et une photographie de Jean Monnet.
Elle a le titre suivant : « 1954, launching of european union », c’est-à-dire : 1954 lancement de l’Union européenne.
Dans le premier paragraphe qui suit ce titre, Jean Monnet est présenté comme le premier ‘père’ de l’Union Européenne (« the initial ‘father’ of European Union »). Il est notamment dit ceci qui est traduit de l’anglais : En 1950, alors que la menace de guerre froide s’intensifiait, et que la question du réarmement de l’Allemagne apparaissait, Monnet dévoua toutes ses énergies à trouver une solution. Il se présenta avec un projet qui sera plus tard appelé le Plan Schuman. Ce qui avait été un instrument pour faire la guerre (le charbon et l’acier) deviendrait l’instrument de la paix ! Ce fut en même temps le début de la réconciliation entre la France et l’Allemagne, et les premières marches de la Communauté Européenne. « In 1950, as the threat of the cold war was intensifying, and the question of German rearmament arose, Monnet devoted all his energies to finding a solution. He came up with a scheme which later would be called the Schuman Plan. What has been a tool for war (coal and steel) would become a tool of peace ! It was at once the beginning of the reconciliation between France and Germany and the first steps of the European Community. »
Il y a un deuxième § et il est présenté plus loin.

Premièrement, concernant le processus de ladite construction de l’Europe (car c’est le nom général de ce qui est en jeu), les membres de P. de F. n’ont pas le fil de l’histoire car ils ne parlent pas de l’organisme nommé Conseil de l’Europe.
À l’origine des préparatifs du projet de traité qui mena à la création de cet organisme international, il y avait des individus qui voulaient la domination chrétienne, surtout papiste, en Europe et qui s’illusionnaient aussi à penser que, alors que la Deuxième guerre mondiale venait de se terminer, plusieurs pays situés principalement ou complètement en Europe, la France et l’Allemagne notamment, accepteraient de fusionner pour devenir un seul pays. (L’Allemagne était alors encore sous la domination des quatre puissances victorieuses occupantes.) Autrement dit, ces individus voulaient détruire des pays d’Europe en tant que tels pour les placer comme éléments constitutifs d’un nouveau pays, nommé Europe ou autrement. Ces individus avaient été traumatisés par la guerre et ils s’imaginaient que s’il n’y avait plus qu’un seul pays en Europe, il n’y aurait plus de guerre. C’était une idée stupide. Pour le comprendre, il suffit de penser aux pays qui éclatèrent en plusieurs pays au cours des dernières décennies, souvent avec des guerres. L’idée de fusion en un seul pays était tellement loin de la réalité que, pendant la préparation du projet de traité, aucun des gouvernements de pays qui le préparèrent n’envisagea de la placer dedans. Finalement, le projet de traité concerna donc seulement la création de l’organisme international nommé Conseil de l’Europe. Ce projet de traité fut créé le 5 mai 49, il devint un traité le 3 août suivant, et la France y fut partenaire le 4 août. Le premier but des meneurs du début, celui de domination chrétienne surtout la papiste, fut atteint, mais par hypocrisie, et fut donc largement ignoré, et l’est encore. Le deuxième but, lui, ne fut pas admis.

Deuxièmement, pendant la préparation de ce projet de traité les meneurs partisans du deuxième but comprirent ainsi que les pays ne voulaient pas fusionner pour qu’un nouveau pays soit créé mais ça ne leur enleva pas leur illusion. Ils renoncèrent à tenter de créer une fusion directement, en une seule fois, mais ils ne renoncèrent pas à leur but. Après le début d’existence du traité précédent, ils imaginèrent de l’atteindre graduellement, secteur après secteur, ou, dit avec un autre mot : fonction après fonction. Ce fut nommé la méthode fonctionnelle. Ils cherchèrent par quoi commencer.
Indépendamment de ce qui précède, le Français Jean Monnet cherchait comment faire avancer les pays vers ce qui était aussi son but : les détruire en tant que tels en les fusionnant pour qu’ils deviennent un seul pays. À cause du développement de la guerre froide (et pas seulement de la menace de cela) entre les pays dits occidentaux et l’Union soviétique, il y eut notamment la question du réarmement de l’Allemagne. (Pour défendre ladite civilisation chrétienne contre le soviétisme, l’intervention de la puissance allemande était généralement considérée nécessaire.) Monnet eut l’idée de créer une mise en commun à propos de charbon et d’acier. Il prépara un projet avec quelques autres individus et il donna le texte au ministre français Robert Schuman qui était de la lignée historique hostile à la Révolution française. Le projet lui plut aussitôt.
Celui-ci présenta publiquement le projet le 9 mai 50. (Les photographies et enregistrements sonores qui existent à ce sujet datent de plusieurs mois plus tard lorsqu’une reconstitution fut effectuée dans le but de les produire.) Il y avait l’idée de créer un organisme international concernant le charbon et l’acier où les partenaires du début seraient la France et l’Allemagne, et d’autres pays étaient invités à y participer. Il y avait aussi l’idée que d’autres mises en commun seraient créées et que le but lointain était de créer une fédération. (Ce dernier mot exprimait, pas vraiment clairement, l’idée de fusionner les pays pour en faire un seul.) Le grand argument avancé était celui de la paix.
Monnet avait conçu cela pour une méthode d’avancée par secteurs successifs. Il est possible qu’il n’ait pas prévu que son projet serait utilisé par Schuman dans le cadre de la méthode fonctionnelle issue de l’échec de ce qui avait été envisagé au début de la préparation de ce qui devint le traité créateur du Conseil de l’Europe. En tout cas, c’est ce qui arriva et c’est ce qu’exprime le début de la phrase suivante de la déclaration du 9 mai *50 qui n’est pas de Monnet mais qui fut placée après la transmission du texte à Schuman : « L’Europe ne se fera pas d’un coup ni dans une construction d’ensemble : elle se fera par des réalisations concrètes créant d’abord une solidarité de fait ». (Ce qui résulte d’un traité international n’est pas « de fait », mais c’est juridique.) Ce début exprime le constat de l’échec du deuxième but qui existait au début de la procédure de création de ce qui mena au traité créateur du Conseil de l’Europe. Jean Monnet lui, s’illusionnait encore à penser qu’il fallait annoncer tout de suite clairement le but, créer le nouveau pays qui serait nommé, selon lui, États-Unis d’Europe, et qu’il arriverait à convaincre les peuples d’agir au profit de cela. Du point de vue gouvernemental, il y eut le recours à la méthode fonctionnelle, méthode imaginée pour s’occuper d’atteindre le but de fusion et c’est à propos du choix du premier secteur à mettre en commun qu’il y eut l’intervention de Monnet motivée notamment par la guerre froide.
Il est donc partiellement faux de dire que Monnet « se présenta avec un projet qui sera plus tard appelé le Plan Schuman ».

Troisièmement, dans le Plan Schuman il y avait le but (lointain) de créer une fédération, ce dernier mot exprimant l’idée de fusionner des pays pour en faire un seul, et il l’exprimait d’une manière floue. Mais cette idée ne fut pas placée dans le projet de traité qui suivit qui, lorsqu’il fut accepté par les pays impliqués, devint un traité le 25 juillet 52. (Il entra en application aussitôt en commençant par les procédures étatiques et cette date est donc celle de la création de l’organisme international nommé Communauté européenne du charbon et de l’acier, C.E.C.A.) L’élément fédération du Plan Schuman ne fut donc pas accepté par les nations impliquées, n’entra pas dans leur vie.
Pourtant, P. de F. sous-entend le contraire puisqu’il parle de ce Plan mais pas du traité. Ce faisant, il valorise le but de destruction des pays en tant que tels dans le but de créer une fusion.

Quatrièmement, ce n’est pas le Plan Schuman qui est le plus important puisque son élément principal du point de vue de ses initiateurs, le but de fédération, ne fut pas admis. Ce qui est important est le projet de traité qui fut admis par les nations qui l’acceptèrent et qui devint un traité le 25 juillet 52.
P. de F. méconnaît donc les vrais décideurs, qui sont les nations qui acceptèrent le projet, et il valorise un ministre et surtout sa déclaration du 9 mai 50 qui n’a aucune valeur juridique.

Cinquièmement, la création de la C.E.C.A. fut la création de la première Communauté européenne. Quelques années après, deux autres traités internationaux créèrent chacun un autre organisme international. Dès ces deux créations nouvelles, les organismes eurent des organes communs avec le premier, puis d’autres organes furent faits plus tard communs aux trois organismes. Finalement, le premier des trois disparut cinquante ans plus tard à l’arrivée de sa date d’expiration prévue dans son traité et il resta les deux autres. Avant cela, l’un de ces deux autres reçut deux changements de nom et, en tout, il en eut donc successivement trois : Communauté économique européenne, Communauté européenne puis Union européenne. Il récupéra les compétences du premier organisme lorsque celui-ci expira. Le troisième organisme, lui, finit par ne pas rester complet. Lorsque P. de F. dit que la C.E.C.A. fut les premières marches de la Communauté Européenne, on perçoit qu’il a de la confusion intellectuelle à ce sujet mais, parce qu’il n’y a pas de développement, on ne dit rien de plus ici non plus sauf ceci. La valeur de l’affirmation de P. de F. que Monnet fut le premier ‘père’ de l’Union Européenne s’apprécie en fonction de ce qui précède.

Dans l’affaire de ladite construction de l’Europe, le nom Europe et l’adjectif qualificatif européenne ne conviennent pas puisque, pour parler seulement de la France, des parties de celle-ci ne sont pas situées en Europe.

Dans les traités internationaux qui furent admis par les nations à propos de ladite construction de l’Europe, il y eut aussi de plus en plus d’éléments pouvant faire croire que plus que ce qui est indiqué ci-dessus était créé, c’est-à-dire un nouveau pays, mais ce ne sont que des éléments d’illusion car il n’y a rien à ce sujet. Par ailleurs, d’autres éléments furent intégrés, comme le traité de Schengen qui, en lui-même, relève des traités internationaux ordinaires.

Le groupe P. de F. approuve tout ce processus de ladite construction de l’Europe. Il le fait comme si c’était une évidence. Même en France, face au rejet de plus en plus répandu de ce processus (et dont l’extrême-droite n’exprime qu’une partie), le pouvoir public central et d’autres éprouvent le besoin d’énumérer les avantages qu’ils croient exister. Par contre, P. de F. n’éprouve pas ce besoin. Il est encore dans l’illusion optimiste des partisans de ce processus il y a de nombreuses années.
Est-ce qu’il continuera cette position même lorsque le processus aura échoué en Europe, au moins en France !? Est-ce qu’Auroville sera le dernier lieu de la Terre à soutenir ce processus, même lorsqu’il s’écroulera complètement !?

En plus, P. de F. fait pire que soutenir ce qui résulte des traités. Pourquoi valorise-t-il Jean Monnet jusqu’à ne parler que de lui ? Parce que ça lui permet de valoriser un autre élément de sa conception qui est le but de destruction de la souveraineté de chacun des pays situés principalement ou complètement en Europe, afin de les placer comme éléments constitutifs d’un nouveau pays.
Sur le panneau de l’exposition, c’est indiqué dans le deuxième § du passage relatif à Monnet. Il est seulement une citation sans référence d’un texte de celui-ci avec son nom. Voici. « "Have I said clearly that the Community we have created is not an end in itself ? It is a process of change, continuing that same process which in an earlier period of history produced our national forms of life. Like our provinces in the past, our nations today must learn to live together under common rules and institutions freely arrived at. The sovereign nations of the past can no longer solve the problems of the present : they cannot ensure their own progress or control their own future. And the European Community itself is only a stage on the way to the organized world of tomorrow." Jean Monnet »
Le livre cité est titré Mémoires et fut publié en *76 par l’éditeur français Fayard avec 617 pages. Voici le passage correspondant, qui est la fin du livre. « Ai-je assez fait comprendre que la Communauté que nous avons créée n’a pas sa fin en elle-même ? Elle est un processus de transformation qui continue celui dont nos formes de vie nationales sont issues au cours d’une phase antérieure de l’histoire. Comme nos provinces hier, aujourd’hui nos peuples doivent apprendre à vivre ensemble sous des règles et des institutions communes librement consenties s’ils veulent atteindre les dimensions nécessaires à leur progrès et garder la maîtrise de leur destin. Les nations souveraines du passé ne sont plus le cadre où peuvent se résoudre les problèmes du présent. Et la Communauté elle-même n’est qu’une étape vers les formes d’organisation du monde de demain. »
Le mot « provinces » désigne des parties d’un pays. Il y eut l’époque féodale qui mena parfois à des rattachements momentanés bizarres et à des sortes d’indépendance à cause de la faiblesse du pouvoir central. Monnet emploie peut-être le mot pour désigner une époque antérieure avec les États qui résultèrent des invasions barbares. Pour la France, l’invasion romaine d’avant celles des barbares et celles-ci furent assimilées, intégrées rapidement dans le peuple d’origine ou finissant par l’être. Pareil pour d’autres peuples. En plus ça se passa à une époque où l’écriture n’était pas répandue dans la population. La situation n’était donc pas comparable à celle des « peuples » de notre époque.
Pour que les « peuples » visés puissent « garder la maîtrise de leur destin », Monnet propose qu’ils se détruisent en tant que tels pour devenir des parties d’un nouveau peuple où les étrangers actuels seraient donc majoritaires ! C’est un contraire de « garder la maîtrise de » son « destin » et aussi de son « progrès ».
Pour Monnet, le nom de ce nouveau pays serait États-Unis d’Europe, par parallèle avec États-Unis d’Amérique, nom qui est celui d’un seul pays. (Dans ce nom, le mot Europe ne convient pas puisque, pour parler seulement de la France, des parties de celle-ci ne sont pas situées en Europe.)
La France n’accepta jamais ce but, que ce soit avec le nom États-Unis d’Europe, Europe, Communauté européenne, Union européenne ou un autre. La France repoussa ce projet dès le début. Il refait surface de temps en temps avec le mot fédération et il est toujours refusé. En France, il n’est même pas présenté à un vote tellement la réponse de refus est certaine.
Le groupe d’Auroviliens nommé Pavillon de France, lui, approuve donc la destruction des pays d’Europe en tant que tels (pour qu’ils soient placés comme éléments constitutifs d’un nouveau pays). Les membres de ce groupe prétendent pourtant s’occuper d’un Pavillon de pays, celui de la France, dans la zone internationale d’Auroville ! Ces traîtres à la France sont évidemment indignes de cela, incompétents pour cela. Ils sont donc aussi ennemis des autres pays qui seraient impliqués.
Si le projet de Monnet finissait par être admis par les pays, il y aurait un nouveau pays (correspondant principalement à au moins une grande partie du continent européen). Dans la zone internationale d’Auroville, c’est le Pavillon de cela qui finirait par exister, pas celui des pays qui n’existeraient plus. Il n’y aurait donc plus à s’occuper d’un Pavillon relatif à la France ni à d’autres pays actuels. Le groupe Pavillon de France n’a visiblement pas réfléchi à cela mais, objectivement, il anéantit lui-même son projet de Pavillon français.

Il y a quelque chose qui est encore pire, c’est que le groupe Pavillon de France ne fait pas la distinction entre, d’un côté, ce qui est admis par les nations dans les traités internationaux en jeu (avec leurs artifices) et, d’un autre côté, le projet de fusion des pays pour en créer un seul. Il fait comme si celui-ci était admis par les pays impliqués. Les membres de P. de F. font donc partie des individus parmi les pires à ce sujet et qui sont nombreux.

Comme dit plus haut, à l’origine du mouvement de ladite construction de l’Europe, il y avait des individus qui avaient deux buts. Le premier était celui de domination religieuse chrétienne, principalement la papiste. Il fut admis, hypocritement, dès l’origine et se retrouve dans tous les organismes qui furent créés ensuite pour tenter d’avancer vers le deuxième but, sans jamais réussir à y avancer, mais en réussissant à créer seulement des artifices. C’est pour cela que, notamment, ces organismes finirent par adopter pour eux aussi le drapeau du Conseil de l’Europe qui représente la couronne de la mère du prétendu J. C. sur le fond bleu de son voile. Ce drapeau fut admis de manière hypocrite, seule manière pour les fanatiques de réussir à placer de la domination papiste, puisque des projets de drapeau au christianisme notoire, ceux avec une croix chrétienne, avaient été refusés avant. Jean Monnet reçut, le 17 mai 53, le prix Charlemagne, créé, sous l’argument de la paix, pour soutenir l’idée de recréer un grand pays en Europe avec de la tyrannie papiste.
P. de F. soutient donc ladite construction de l’Europe et, ce faisant, ilsoutient donc aussi tout ce qui se rapporte à de la domination religieuse chrétienne, surtout la papiste. À ce sujet aussi, il approuve et soutient les tyrannies que subissent en France les individus qui en sont conscients et qui n’en veulent pas.

À propos de ladite construction de l’Europe, P. de F. a la même position qu’Auroville dans son ensemble puisque l’exposition de laquelle fait partie le panneau de P. de F. est la sienne.

À propos des « États-Unis d’Europe », voici deux extraits d’un texte qui fut rédigé par Sri Aurobindo « durant les premiers mois de la guerre », la Première guerre mondiale, de 14-18. Il fut publié la première fois dans l’Arya, journal indien qui exista depuis l’année numérotée 1916 P.T.C. jusqu’en 1920. « Autre illusion récente : le pouvoir des cours d’arbitrage et du concert européen pour empêcher la guerre. Là aussi, le cours que prirent immédiatement les évènements fut assez ironique ; car l’institution de la grande Cour Internationale d’Arbitrage fut suivie d’une série de guerres, petites et grandes, qui conduisirent avec une logique inexorable au conflit européen longtemps redouté, et le monarque qui le premier en avait conçu l’idée fut aussi le premier à dégainer [...]. [...] Quant au Concert européen, il semble bien loin de nous, presque antédiluvien ; mais nous nous souvenons assez bien à quel point il était discordant et peu musical, à quelle série de tâtonnements et de bévues il a donné lieu, et comment sa diplomatie nous a fatalement conduits à l’évènement inévitable contre lequel il combattait [c’est-à-dire la Première guerre mondiale]. Beaucoup suggèrent maintenant de substituer les États-Unis d’Europe au défunt concert, et à la pauvre cour Impuissante de la Haye une véritable Cour de Droit international assortie d’une force capable d’imposer ses décisions. Mais aussi longtemps que les hommes croiront au pouvoir souverain du mécanisme, il est peu vraisemblable que les dieux se départiront de leur ironie calculée. » (Livre cité : Guerre et liberté des peuples, Édition Auropress, Pondichéry : Sri Aurobindo Ashram Trust, « 1979 », p. 14 et 15.)

Lorsque toute ladite construction de l’Europe aura été détruite, que feront P. de F. et Auroville dans son ensemble ? Est-ce qu’ils continueront de faire l’éloge de Jean Monnet et de son projet nuisible en faisant comme si celui-ci était encore ce qui devrait exister en Europe et aux territoires qui sont rattachés à certains de ses pays, comme s’il exprimait l’avenir inévitable et souhaitable !?

Il n’a pas encore été parlé du titre du passage du panneau de l’exposition relatif à Jean Monnet. Il est « 1954, launching of european union », 1954 lancement de l’union européenne.
Cette année, les véritables deuxième et troisième organismes indiqués plus haut n’avaient pas encore été créés et il y avait donc seulement la C.E.C.A. Cette année 54, le grand évènement remarquable fut l’échec définitif du projet de traité international relatif à la création, selon la méthode fonctionnelle, d’un deuxième organisme, dont le nom prévu était Communauté européenne de défense. Cet échec date du 30 août 54. Il ne correspond pas à un lancement de l’union européenne.
Après la création de l’organisme nommé Communauté européenne du charbon et de l’acier, Jean Monnet s’était retrouvé y avoir une fonction de haut dirigeant dans l’un des organes. Il y était payé par les nations pour s’occuper de charbon et d’acier. Pourtant, dès le début, il utilisa sa fonction pour agir usurpatoirement au profit de son but de fusion de pays. Il annonçait ouvertement ce but. Il utilisait la Ceca pour se satisfaire, en agissant contre ce qu’avaient décidé les nations. Il les trahissait. Lorsqu’il constata, le 30 août 54, l’arrêt de l’avancement vers la suite de ladite construction de l’Europe admise (qu’il interpréta comme étant un arrêt de l’avancement vers la création des États-Unis d’Europe, but qui n’avait pas été décidé), il protesta contre cela en voulant quitter la C.E.C.A. En novembre suivant, il annonça qu’il ne demanderait pas le renouvellement de son mandat de haut fonctionnaire. Un évènement en France fit que son successeur ne put pas être désigné à la bonne date pour le remplacer et que Monnet dut donc rester en place après la date prévue mais en s’arrêtant lorsque son remplaçant fut nommé. Monnet finit donc par quitter la C.E.C.A. L’annonce de cela en 54 ne correspond pas à un lancement de l’union européenne.
(Après le 30 août 54, les partisans étatiques d’une fusion de nations pour en faire une seule ne renoncèrent pas à leur but. Le 9 mai 55, ils célébrèrent le cinquième anniversaire de la déclaration du 9 mai 50. La seule raison de cela fut qu’elle contenait le mot « Fédération » qui n’avait aucune valeur juridique. Il y eut d’autres actions de valorisation de ce but. Pendant ce temps, les partisans de ladite construction de l’Europe qui, eux, ne voulaient pas d’une fusion agirent aussi. Finalement, il y eut une véritable relance dans le cadre de ce qui était admis par les nations, c’est-à-dire une construction de l’Europe mais sans rien qui concernerait la suppression des pays en tant que tels pour en créer un nouveau. Jean Monnet fut quand même très content de cette relance et il se proposa pour être de nouveau nommé à la fonction de haut dirigeant de la C.E.C.A. Il voulait de nouveau l’utiliser de manière usurpatoire pour satisfaire sa volonté, pour satisfaire lui-même. Les gouvernements comprirent que Monnet l’avait quittée auparavant pour faire pression sur eux puisque, entre temps, il avait créé un organisme nommé Comité d’Action pour les États-Unis d’Europe et s’était beaucoup activé en faveur de ce but : ils ne le nommèrent pas. La relance véritable qui exista mena à la création de trois traités internationaux. Deux concernaient la création de deux autres organismes. Le troisième créait la fusion de plusieurs de leurs organes avec leurs équivalents de la C.E.C.A. Cela est un peu développé plus haut.)
Vu ce qui précède, la date « 1954 » qui est dans le titre semble avoir été placée par erreur.

Sur le même panneau, dans son bas, entre deux rangées de photographies il y a un texte qui est titré : « The french Pavilion activities », les activités du Pavillon français. (Il est parlé de celles du groupe d’Auroviliens nommé Pavillon de France.) Notamment, il est écrit ceci. « The pavilion also organized several exhibitions, the last one on Jean Monnet, one of the founders of Europe, which was held in New Delhi. » Le Pavillon organisa aussi plusieurs expositions, la dernière sur Jean Monnet, un des fondateurs de l’Europe, qui fut tenue à New Delhi.
Europe est le nom d’un continent et il n’y a aucun organisme international l’ayant aussi.
Europe est aussi le nom le plus caractéristique d’une entité qui est une subalterne du Seigneur des Nations. Elle vit de mensonges, de tromperies, d’illusions, de ténèbres, de tyrannies, de souffrances, de chaos, de religions surtout la papiste mais toute autre lui est aussi bonne.


Une autre exposition, hors d’Auroville et dans celle-ci

Sur le site internet particulier à P. de F., à l’onglet « Activités », partie « Expositions-Dédicaces », il y a ceci.

« Unir des hommes, Jean Monnet
12 août 2007
Présentée par Christine Devin, Alain Bernard et Claude Arpi
L’exposition intitulée "Unir les hommes : Jean Monnet", s’est tenue à Delhi du 30 janvier au 10 février 2007 pour marquer le 50e anniversaire de la signature du Traité de Rome et pour rappeler le remarquable travail mené par Jean Monnet. Cette même exposition se tiendra au Pavillon de la Culture Tibétaine à Auroville, du 12 au 30 août 2007.
Peu connu en Inde, Jean Monnet fut cet homme d’action que John F. Kennedy qualifia "d’homme d’État mondial". Il incarna certaines grandes valeurs considérées comme universelles et que l’on retrouve aussi au cœur de la tradition indienne, par exemple le détachement par rapport au résultat de l’action, par exemple encore le silence considéré comme origine de l’action. L’exposition retrace une part de l’histoire du XXe siècle à travers les propres mots de Jean Monnet et de rares photos d’archives. »
Comme ça peut être constaté sur internet, cette exposition fut installée aussi à Hyderabad, autre ville d’Inde, du 2 novembre 07 au 20 suivant.

Concernant le nom « Traité de Rome ». Il y eut trois traités de Rome dont deux créèrent chacun un organisme nouveau du même genre que la C.E.C.A., c’est-à-dire une Communauté européenne. Le troisième traité créa une fusion de certains des organes de toutes les trois, c’est-à-dire qu’il y eut quelques organes qui étaient communs aux trois organismes. Il y eut alors trois Communautés européennes qui étaient partiellement imbriquées entre elles. Le nom « Traité de Rome » est donné, par abus et tromperie, à celui des trois traités qui créa l’organisme aux compétences les plus larges. D’autres traités postérieurs créèrent davantage d’élargissement. C’est donc à propos de cet organisme que des partisans de ladite construction de l’Europe peuvent s’illusionner sur ce qui fut vraiment créé par les nations. En employant le nom « Traité de Rome » comme s’il n’y avait qu’un seul traité, les membres de P. de F. montrent qu’ils font partie de ces illusionnés.
Concernant la formule « 50e anniversaire de la signature du Traité de Rome ». Le 25 mars 57 est la date que les partisans en tout genre de ladite construction de l’Europe considèrent décisive et dont ils célèbrent les anniversaires. Pourtant, elle fut seulement le jour de la création des trois projets de traités. Ils auraient pu ne pas être acceptés plus tard par au moins l’un des pays en jeu et ils ne seraient jamais devenu des traités, comme ce fut le cas en 54 pour celui concernant la Communauté européenne de défense. La France accepta les projets (par ses deux assemblées) et un exécutant alla le dire aux autres pays en ratifiant, ce qui fut fait le 25 novembre 57. Les autres pays en jeu acceptèrent aussi et ratifièrent. La dernière des ratifications nécessaires fut faite le 13 décembre suivant et, ce jour-là, les trois projets de traité devinrent trois traités. Ils entrèrent en application, selon ce qui avait été prévu dedans, le premier jour du mois suivant cela, c’est-à-dire le 1er janvier 58. Cette manière de raconter l’histoire n’est pas celle des dominants. Quelques individus se valorisent en faisant comme si la création des projets de traité était la création des traités. Ce faisant, ils abaissent les nations décideuses. Et c’est cela qui est toujours exprimé par la formule « anniversaire de la signature du Traité de Rome ». En plus, la date de l’exposition, en début d’année, correspond à cela. Le groupe P. de F. a donc la même position que les meneurs étatiques de ladite construction de l’Europe.
Que fit l’exposition dans le dénommé « Pavillon de la Culture Tibétaine » d’Auroville ? La seule réponse qui apparaît est que son responsable est aussi l’un de ceux du groupe Pavillon de France. C’est Claude Arpi et il montre ainsi qu’il n’est compétent ni pour un Pavillon en relation avec quelque chose tibétain, ni pour un véritable Pavillon de la France. Si P. de F. avait construit un bâtiment correspondant à la France, l’exposition aurait probablement était placée dedans mais, puisqu’il n’y en avait pas, elle fut placée dans l’autre.
Jean Monnet vécut dans l’État É.U.A. et, notamment, fréquenta ses autorités politiques et il importa en France une influence étatsunienne, pour en dire le moins. Il n’est pas étonnant qu’il ait été valorisé dans ce pays étranger et, du point de vue français, ce n’est pas à son avantage.
À propos d’« Unir des hommes », l’Église papiste veut unir tous les humains puisqu’elle veut qu’ils deviennent tous des membres d’elle-même, des papistes, ce qu’elle appelle règne de Dieu sur la terre et qui est le règne d’elle-même, qu’elle cherche à créer. Jean Monnet, ennemi des nations situées principalement ou complètement en Europe, voulait unir leurs membres dans un seul pays nouveau, celui qu’il imaginait. Et il s’activa pour faire avancer des nations vers ce but, alors qu’elles ne le voulaient pas. Il était un aspirant à la tyrannie.
Et P. de F. est grotesque lorsqu’il parle de Monnet en disant qu’il avait « le détachement par rapport au résultat de l’action » et que ça correspond à une grande valeur « que l’on retrouve aussi au cœur de la tradition indienne ». Monnet fut marchand d’alcool et gagna beaucoup d’argent en en vendant clandestinement aux États-Unis lorsque l’alcool y était interdit, époque de la prohibition. En ce pays, il s’occupa de grandes fortunes. Ses actions à propos de ladite construction de l’Europe montrent le contraire d’un tel détachement. Penser que lorsqu’il était un haut dirigeant interne à la C.E.C.A., il utilisa sa fonction pour faire avancer son projet personnel alors qu’il n’était pas payé pour cela.
P. de F. est aussi grotesque lorsqu’il dit que Monnet agissait selon une grande valeur « que l’on retrouve aussi au cœur de la tradition indienne » (remarquer le mot « aussi »), celle du « silence considéré comme origine de l’action ». Ce bon silence est celui où l’on se met à l’écoute de quelque chose de bien, de supérieur, de nouveau. Monnet ne cherchait qu’à trouver les moyens pour satisfaire son ego qui s’était accroché à l’idée de détruire des pays en tant que tels pour en créer un nouveau, à détruire des peuples en tant que tels pour en créer un nouveau, alors qu’ils ne le voulaient pas. Chaque fois qu’il utilisait sa fonction à la C.E.C.A. pour faire avancer son projet, il trahissait les nations qui le payaient. Il aurait dû être leur serviteur mais il cherchait à s’en faire le maître. Son idée était tellement mauvaise que même ce qui existe dans la réalité, c’est-à-dire ladite construction de l’Europe qui résulte des traités, n’aboutit à rien à ce sujet, est en perdition, et finira forcément par être supprimée.
Jean Monnet, comme Robert Schuman, appartint complètement au mouvement réactionnaire qu’avait indiqué Sri Aurobindo dans le chapitre 10 de L’idéal de l’unité humaine, ce que voici. « Mais l’objection principale à l’idée d’États-Unis d’Europe est que le sentiment général de l’humanité cherche déjà à dépasser les distinctions continentales et à les subordonner à une idée humaine plus large. De ce point de vue, une division sur des bases continentales serait peut-être une étape réactionnaire du genre le plus grave et pourrait entraîner des conséquences extrêmement sérieuses pour le progrès humain. En vérité, l’Europe se trouve dans une position anormale : elle est à la fois mûre pour l’idée paneuropéenne et dans la nécessité de dépasser cette idée. »
Il n’y avait pas besoin de lire cela pour comprendre ce qu’était Jean Monnet et aussi ce que vaut son projet. Les cendres de son cadavre furent honorées par le Président de la République française François Mitterand lorsqu’il les fit placer dans un bâtiment spécial mais elles en seront enlevées et mises à la place qu’elles méritent.
Le groupe P. de F. n’a pas trouvé le fil de l’histoire de France, ne comprend pas ce pays. Pareil à l’égard d’autres Pays. Il est incompétent pour faire quoi que ce soit de bien à propos d’un véritable Pavillon de la France.


Une conférence et le livre qui lui correspond

Le 29 août 07, P. de F. organisa une conférence où la conférencière était Christine Devin. De ce qui fut dit, il en fit un livre.

La conférence exista dans le Pavillon de ladite « culture tibétaine ». Apparemment, ça ne s’explique pas car Monnet avec ses pensées et ses actions n’a rien à voir avec cette « culture ». Cela dit, des individus qui pensent que Jean Monnet « incarna certaines grandes valeurs considérées comme universelles et que l’on retrouve aussi au cœur de la tradition indienne » pensent peut-être aussi qu’il en « incarna » d’autres ou les mêmes « que l’on retrouve aussi au cœur de la tradition » tibétaine ! Mais l’exposition avec les références à « la tradition indienne » ne fut pas présentée dans le Pavillon de l’Inde ! La seule explication sensée qui apparaît donc est que le responsable du Pavillon aurovillo-lamaïque est aussi l’un de ceux du groupe Pavillon de France.
Le livre qui correspond à cette conférence fut publié à Auroville par ce groupe et a pour titre : « Unir des hommes Jean Monnet », et pour sous-titre : « Une vie tout entière tendue vers l’unité des hommes ».
Sur le site internet particulier à P. de F., il y a une photographie de la couverture du livre et, à côté, il y a un texte que voici complet.
« Unir des hommes - Jean Monnet
29 août 2007
Présenté par Christine Devin (Aurovilienne)
Qui était ce personnage un peu mystérieux dont la vie a été tout entière "tendue vers l’unité des hommes" ?
Jean Monnet n’a pas été seulement, comme on le dit trop souvent, "le père fondateur de l’Europe" ; il a été quelqu’un qui, à des tournants cruciaux de l’histoire du XXe siècle, a agi sur les événements avec toujours la même volonté : celle de regrouper les hommes, de régler les problèmes qui les divisent et, pour ce faire, de les amener à voir leur intérêt commun et à fusionner leurs destins.
Christine Devin a écrit Unir des Hommes – Jean Monnet dans la Collection des Pavillons, Auroville. »
« unité des hommes ». Il est probable que ces mots firent penser à l’unité humaine dont la Mère parla à propos d’Auroville. Pourtant, ils ne désignent pas du tout la même chose. On peut constater comment un ou plusieurs mots peuvent illusionner des humains, les faire se tromper et se précipiter dans l’erreur.
(Est-ce que Christine Devin est de la famille d’un Guillaume ayant le même nom de famille et qui est professeur de sciences politiques dans un institut de Paris ? Si oui, on saurait peut-être d’où viennent ses idées à propos de Monnet.)
P. de F. exprime encore qu’il est du camp des tyrans qui dominent en Europe et qu’il fait partie de ceux d’entre eux qui veulent aller beaucoup plus loin en tyrannie, en destruction des pays impliqués.

Conclusion

Dans la position de P. de F., il y a beaucoup d’ignorance et d’inconscience mais personne n’oblige ses membres à s’y complaire, personne n’obligea ses membres à choisir d’avoir cette position plutôt qu’une autre. Avec cela, il y a aussi de l’incohérence, de l’absurdité, de l’obscurité, de l’illusion, du manque de réflexion, de la confusion, de la tyrannie religieuse, de la tyrannie financière, de l’orgueil, de la volonté de dominer sur les autres même si ça leur nuit, etc. C’est donc un état mental très délabré, très bas, rétrograde, qui ne correspond pas à ce qui est le meilleur de la France, et qui s’oppose vigoureusement à celui-ci.

C’est aussi la position d’Auroville dans son ensemble à propos de ladite construction de l’Europe.

P. de F. est non seulement incompétent pour s’occuper d’un véritable Pavillon de la France mais il est un ennemi du processus menant à cela et un ennemi de la France.


LE RESTE DU PANNEAU DE P. DE F. DANS L’EXPOSITION FAITE PAR AUROVILLE, SAUF CE QUI CONCERNE LES « ACTIVITÉS » QUI EXISTENT DÉJÀ

Ci-dessus, il est parlé du soutien apporté par P. de F., comme par Auroville dans son ensemble, à ladite construction de l’Europe, et précisément à Jean Monnet avec sa conception. Il y est notamment parlé d’une exposition faite par Auroville et de son panneau fait par P. de F.

Puisqu’une partie de ce panneau est ainsi décrite, voici, maintenant, ce qu’il y a sur le reste de celui-ci.


L’EN-TÊTE

Tout en haut, il y a une bande horizontale bleue qui, avec ce qui est placé dedans, est l’en-tête.
Il y a le logo de P. de F., celui qui n’avait pas encore « et de la Francophonie ».
Il y a aussi, en grand, le nom « Pavillon de France ».

En dessous, dans une bande blanche (qui a donc encore du bleu de l’en-tête en dessous), il y a ceci : « Liberty, Equality, Fraternity : the triple gospel of the ideal of humanity », Liberté, Égalité, Fraternité : le triple évangile de l’idéal de l’humanité.
Ça ne semble pas être une citation d’un écrit de Sri Aurobindo et ce n’est pas présenté comme tel. Ça semble formé d’après ce qui est dans la fin du chapitre 34 du livre L’Idéal de l’unité humaine. Globalement, il n’y a pas de déformation mais il y a quand même quelque chose qui ne semble pas bien. Le mot anglais « ideal », idéal, est placé là où il semble y avoir le mot anglais idea, idée, dans le texte anglais original, ce qui correspond à : triple évangile de l’idée d’humanité.
Le mot évangile fait évidemment penser à du christianisme. Il n’était pas obligatoire de le placer en exergue. L’y placer ne relève pas du meilleur de la France où il y a notamment la liberté de conscience.


LE PREMIER TEXTE

Sous l’en-tête, il y a un premier texte qui a un titre.

Celui-ci, placé par P. de F. est « An aspiration toward universalism », une aspiration vers l’universalisme.
Dire cela fit partie de la doctrine étatique lors du bicentenaire de la Révolution française qui exista en *89 en France.
Le pouvoir public central français ne voulut pas célébrer cette Révolution et décida qu’il n’y aurait qu’une commémoration. (En pratique, il fut débordé, même par des éléments étatiques.)
Il décida aussi que la commémoration existerait seulement l’année 89 car il ne voulut pas se démarquer à propos de faits des années postérieures à l’an numéroté 1789 P.T.C. Ce faisant, il se démarqua, en désapprouvant. Il ne voulut pas mettre au premier plan qu’il y a en France deux mouvements très différents, la lignée de la Révolution française et celle de la Contre-Révolution, avec des intermédiaires.
Ce pouvoir public central trahit donc cette Révolution et la République française qui en sortit, puisque le régime politique en place en France est principalement de cette lignée.
Mais il se comporta selon la situation qui existe et qui est celle d’un tel régime mais qui est imprégné d’éléments de l’autre lignée, celle de la Contre-révolution, qui est la plus vigoureuse actuellement.
Lors de la commémoration, le pouvoir public diffusa l’idée que cette Révolution avait agi dès le début de manière universelle et même qu’elle avait prétendu légiférer pour toute l’humanité.
Ce fut une erreur. La réalité est que la Révolution commença afin de supprimer des parties de la situation tyrannique qui existait en France, et qu’elle se développa pour en supprimer d’autres. Il y eut la volonté de créer en France un régime de liberté et d’égalité en droits en commençant par supprimer le caractère monarchique de la souveraineté en place.
Pour cela, il y eut dès le début la suppression de ce caractère monarchique de la souveraineté puis la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen. Celle-ci fut préparée seulement pour la France. Mais il se trouve que sa notion de droits naturels, celle qui fut créée, avait de la valeur, soit pour tout humain, et pouvait être reprise par tout humain, soit pour tout être humain membre de sa nation particulière, et pouvait être reprise ainsi. (Ce n’était pas le cas de la notion étatsunienne qui disait que les droits étaient donnés par « Dieu ».) C’est par incompréhension de cela qu’on parla d’universalisme.
Il y a aussi des gens qui disent que la volonté d’universalisme existerait parce que le mot France ne serait pas dans les textes juridiques de la Révolution. C’est grotesque. Si ce mot n’y est pas écrit, c’est parce qu’il n’avait pas à l’être.
Il y eut l’aspiration vers la liberté, l’égalité en droits naturels et leurs conséquences, la fraternité, en cherchant à créer un régime de cela, ce qui se fit en luttant contre les ennemis de cela, qui étaient les partisans de la tyrannie. Il n’y eut pas l’idée qu’il fallait de la fraternité avec ces ennemis.
Pour P. de F., dire qu’il y avait « une aspiration vers l’universalisme » est de la déformation, de la tentative de récupération. En plus, en faisant cela, il amoindrit la notion de droits naturels apportée par cette Révolution.
Quoique cette notion soit encore dans la vie publique en France, elle y est négligée. Elle est recouverte par la notion onusienne et celle pouvant être dite européenne qui, avec quelques ressemblances, sont très différentes et favorables à des tyrannies religieuses, royalistes, financières, etc. Malgré cela, elles ne peuvent pas s’opposer complètement à l’évolution.

Sous le titre traduit par une aspiration à l’universalisme, il y a une citation de Sri Aurobindo, sans référence. Elle provient de la fin du chapitre 34 du livre L’Idéal de l’unité humaine, et elle est un peu modifiée. Le texte exact en français est ceci. « […] la fraternité est la vraie clef du triple évangile de l’idée d’humanité. L’union de la liberté et de l’égalité ne peut s’accomplir que par le pouvoir de la fraternité humaine ; elle ne peut se fonder sur rien autre. Mais la fraternité n’existe que dans l’âme et par l’âme ; elle ne peut exister par rien autre. »
C’est donc Sri Aurobindo qui s’exprime. Il ne dit pas que ce qu’il dit est une conception de la Révolution française. Ce texte ne correspond pas à son titre qui est sur le panneau d’exposition.


LE DEUXIÈME TEXTE

Ensuite, il y a un deuxième texte qui a un titre.

Le titre est « 1789-1793 the french revolution », 1789-1793 la révolution française.
Il signifie que cette Révolution commença et se termina aux années indiquées or elle ne se termina pas en « 1793 » mais continua pendant encore plusieurs années.
Pourquoi dire qu’elle se termina à cette date ?
Et puis, quel moment de 93 est sous-entendu comme étant la prétendue fin de la Révolution française !? Est-ce que c’est le 21 janvier 93, date de la mise à mort de Louis Capet, ex-roi Louis XVI ? Est-ce que c’est le 5 septembre 93 lorsque Georges Danton fit mettre la Terreur à l’ordre du jour ? Est-ce que c’est le 5 octobre 93 lorsque la référence temporelle chrétienne fut remplacée par celle au début de la création de la République en France ? Est-ce que la date qui est considérée comme la fin de la Révolution française est le 12 Frimaire an II (2 décembre 1793 vieux style) lorsque Danton demanda que la Terreur cesse, c’est-à-dire que la période de cela cesse (sans que ça corresponde à vouloir la fin de la Révolution) ?
Pour ces moments, et pour tous les autres de cette année 93, il est faux de dire qu’il y aurait cette année la fin de la Révolution française. C’est tellement évident que l’affirmation contraire est un mensonge notoire.
Pourquoi P. de F. l’émit-il ?
S’il utilisa des textes de Sri Aurobindo s’exprimant à propos de Georges Danton et de Maximilien de Robespierre, il aurait tort car Sri Aurobindo ne dit pas que la Révolution se termina avec le renversement du premier par le deuxième. (Ce que dit Sri aurobindo à propos de Robespierre est un hommage à celui-ci quoique ses limites soient indiquées. Aucun des opposants à la Révolution ne reçut d’hommage de Sri Aurobindo, notamment l’ex-roi et le pape.)
Est-ce que le groupe P. de F. se fonda sur la phrase suivante de Sri Aurobindo : « Ce ne fut pas une assemblée de citoyens respectables, mais l’immense prolétariat ignorant qui, émergeant à peine d’une apathie prolongée, liquida en cinq années terribles l’oppression accumulée de treize siècles. » (P. 46 du livre de 89 sur la Révolution française.) Mais ce passage décrit celui de la liquidation, et ne signifie pas que la Révolution se termina alors, après cinq ans. Le combat continua.
Fixer la date de la fin de la Révolution française à « 1793 » n’a qu’une explication. P. de F. approuve cette Révolution jusqu’à un moment de cette année (qui n’est pas indiqué), et il désapprouve ce qui est après.
Le titre du passage du panneau d’exposition n’aurait pas été mensonger s’il avait été : 1789-1793 la partie de la Révolution française que nous approuvons. Il aurait alors fallu dire quel premier évènement transforma l’approbation en son contraire. Ce n’est pas dit. Il y a donc volontairement du manque de clarté, de l’équivocité, de l’obscurité, de la volonté de tromper.
Il y a des Français d’après la Révolution française qui acceptent le début de celle-ci jusqu’à un moment qui varie selon les uns et les autres. Certains s’illusionnent à penser que l’acquis du début aurait pu subsister s’il n’avait pas été maintenu contre ses opposants, s’il n’y avait pas eu à continuer de combattre, si l’on n’avait pas continué de créer des conséquences, notamment en supprimant des éléments de tyrannie religieuse.
Il y a un point de vue, admis ici, selon lequel ces individus forment des catégories d’ennemis de la Révolution française, à côté de Français qui en sont des ennemis depuis son début. Voici des extraits du discours de Georges Clemenceau à la Chambre des députés, le 29 janvier de l’an numéroté 1891 P.T.C. « […] que nous le voulions ou non, que cela nous plaise ou que cela nous choque, la Révolution française est un bloc. (Exclamations à droite. Nouveaux applaudissements à gauche.) […] … un bloc dont on ne peut rien distraire [enlever]. (Réclamations à droite. – Applaudissements prolongés à gauche), parce que la vérité historique ne le permet pas. »
Tout ce qui précède montre que les membres du groupe P. de F. ne sont pas de la lignée historique où il y a le meilleur de la France.
Même si l’on n’est pas d’accord avec ce qui précède, il reste qu’il est faux, mensonger, d’exprimer que la Révolution française se termina en « 1793 » et que, par exemple, ce qui exista l’année suivante avec Robespierre n’en fait pas partie. Même les pires ennemis de cette Révolution, ceux qui pensent qu’elle n’aurait même pas dû commencer, ne disent pas cela. Mentir notoirement, chercher à tromper, ne fait pas non plus partie du meilleur de la France. Les membres de P. de F. prétendent pourtant s’occuper d’un Pavillon de pays, celui de la France, dans la zone internationale d’Auroville ! Ils ne sont évidemment pas faits pour cela.
Plus haut, il y a des extraits d’un discours de Georges Clemenceau. En voici d’autres de la fin de ce discours. « Et maintenant, si vous voulez savoir pourquoi, à la suite de cet événement sans importance d’un mauvais drame à la [salle de théâtre nommée la] Comédie Française, il y a eu tant d’émotion dans Paris, et pourquoi il y a à l’heure présente tant d’émotion dans la Chambre [des députés], je vais vous le dire. C’est que cette admirable Révolution par qui nous sommes [puisque, sans elle, il n’y aurait pas cette Chambre des Députés] n’est pas finie, c’est qu’elle dure encore, c’est que nous en sommes encore les acteurs, c’est que ce sont toujours les mêmes hommes qui se trouvent aux prises avec les mêmes ennemis. Oui, ce que nos aïeux [révolutionnaires] ont voulu, nous le voulons encore. (Applaudissements à gauche.) Nous rencontrons les mêmes résistances. Vous êtes demeurés les mêmes ; nous n’avons pas changé. Il faut que la lutte dure jusqu’à ce que la victoire soit définitive. » Il est parlé de la victoire de la Révolution, celle de la lignée de celle-ci.

Sous le titre (venant d’être indiqué et commenté) du deuxième texte du panneau d’exposition, il y a du texte de Sri Aurobindo avec des modifications et dont voici de la traduction en français. Ce qui suit n’est donc pas un texte exact de Sri Aurobindo. Il vient en grande partie du livre français de 89 sur la Révolution française qui est indiqué plus loin. Les coupures sont sur le panneau d’exposition. La grandeur de la Révolution française ne réside pas dans ce qu’elle accomplit mais dans ce qu’elle pensa et ce qu’elle fut. [...] En elles-mêmes, les idées n’étaient pas neuves ; elles existaient dans le Christianisme, et préalablement au Christianisme dans le Bouddhisme ; mais en 1789 elles sortirent pour la première fois de l’Église et de la Bible et s’efforcèrent de remodeler gouvernement et société. [...] Jusqu’alors, la société européenne avait été imprégnée non de liberté, mais d’esclavage et de répression ; non d’égalité mais d’inégalité et d’injustice ; non de fraternité mais de force et de violence égoïstes. Le monde n’était pas prêt, pas plus qu’il ne l’est même maintenant pour une pratique dans toute son ampleur. C’est le but de l’humanité, et nous sommes encore loin de l’objectif. Mais le temps est venu pour qu’une approximation soit tentée. Et la première nécessité est la discipline de la fraternité, l’organisation de la fraternité. Car sans l’esprit et la pratique de la fraternité, ni la liberté ni l’égalité ne peuvent être maintenus au-delà d’une brève période. Les Français ignoraient l’aspect pratique de ce principe ; ils faisaient de la liberté la base, de la fraternité la superstructure, faisant ainsi reposer le triangle sur son sommet. Car en raison de la prédominance de la Grèce et de Rome dans leur imagination, ils étaient imbibés de l’idée de liberté et n’acceptaient que pour la forme le principe chrétien et asiatique de fraternité. Sri Aurobindo.
Ainsi ce termine ce qui est, en anglais, sur le panneau.
Ce que la Révolution française pensa et fut produisit des faits qui ne furent jamais supprimés en France. Un exemple est que, alors qu’un ancien roi avait confié aux prêtres papistes la fonction d’enregistrer notamment les naissances, les mariages et les décès, le nouveau pouvoir public central leur enleva cela pour le confier à des individus qui n’était pas membre d’un clergé. Un autre exemple est le système décimal de comptage des poids et mesures.
Dans le texte de Sri Aurobindo, il y a seulement « non d’égalité mais d’inégalité ». Il n’y avait pas à ajouter et d’injustice. L’ajouter seulement à propos de l’absence d’égalité montre que l’absence de liberté n’est pas considérée par P. de F. comme étant de l’injustice. L’aspiration à la liberté est amoindrie, négligée.
Globalement, c’est donc la conception de Sri Aurobindo qui est placée. Ça ne correspond pas au titre qui, avec son erreur, est quand même relatif à la Révolution française elle-même.
Le choix des citations fait qu’il y a une dévalorisation de cette Révolution, une valorisation de religions, une valorisation de l’aspect fraternité.
Avant d’exprimer cette opinion de Sri Aurobindo, ou à sa place, il aurait fallu en exprimer une autre directement positive, par exemple avec ceci. « Il ne faut ni s’alarmer, ni se décourager lorsque des évènements violents, des choses terribles surviennent, mais savoir qu’à travers eux aussi le Divin va de l’avant. [...] un individu – ou une nation – qui veut atteindre son apogée passe forcément par des périodes de trouble et de tension. » Ce qui précède concerne ce qui est directement positif et aussi ce qui est directement son contraire. Mais ce qui suit montre l’aspect directement positif. « Cet heureux pays qu’est la France, nous le savons, ne fit pourtant pas ses premiers pas vers le progrès grâce à quelque expansion décente et méthodique, mais bien par une purification par le sang et le feu. » Et il y a aussi « L’action de la Révolution française fut la danse macabre et terrible de Kâli » et « Kâli, la mère et destructrice de tout, est la shakti qui œuvre en secret au profond de l’humanité, se manifestant dans la houle perpétuelle des hommes, des institutions et des mouvements ». Ça se rattache d’ailleurs directement au fait que, lors de la Révolution, l’invocation de la liberté et de l’égalité se fit immédiatement et que la suite proche ne consista par à parler de fraternité, mais à combattre les adversaires de la liberté et de l’égalité. La fraternité de cette Révolution concernait les partisans du nouveau régime. Il semble qu’il soit écrit quelque part, dit par Sri Aurobindo ou la Mère, que la Révolution française résulta d’une pression du supramental. Est-ce que c’est vrai ? Si ça l’est, cette pression se fit sur le plan surmental, qui transmit au plan d’en-dessous, qui transmit au plan d’en-dessous, etc., jusqu’à la manifestation chez des humains qui étaient ouverts à cela et qui reçurent cette influence alors que la nature de chacun d’eux était ce qu’elle était. (La dernière citation précédente vient du livre suivant : Le karmayogin, tome 2, Éditions Auropress, 78, p. 29. Les autres précédentes viennent de ceci : Sri Aurobindo et l’avenir de la Révolution française, « réalisé sous la direction de l’Association Agenda International France », Paris : Buchet/Chastel, 89. On aurait pu faire un livre sur la Révolution française vue par Sri Aurobindo. Sa pensée aurait pu être diffusée utilement. Le titre du livre concerne « l’avenir » de cette Révolution et pas celle-ci, ... comme si on lui était hostile. Indépendamment de cela, le livre produit ressemble finalement à un livre religieux.)
Vu la date « 1793 » qui est dans le titre du panneau comme étant celle de la fin de la Révolution, P. de F. désapprouve ce qui relève de Kali mais cette Révolution n’aurait pas existé sans cela.
Par ailleurs, des tyrans invoquent la fraternité, la paix, l’amour, etc. pour empêcher les révoltes, pour maintenir la soumission à leur tyrannie.
Sur le petit espace d’un panneau d’exposition, on ne peut pas écrire beaucoup. Il faut faire un choix. Personne n’était obligé de choisir ces citations et de les placer sous le titre : 1789-1793 la révolution française.


LE TROISIÈME TEXTE

Sur le panneau d’exposition, le troisième texte avec son titre concerne Jean Monnet. C’est présenté plus haut.


LE QUATRIÈME TEXTE

Le titre est « Hardiesse, clarté d’esprit ».
Ce texte est présenté plus haut, dans la fin de la partie dont le titre est ce qui suit mais avec des caractères grands et gras : Activités qui devraient exister ou ne pas exister dans le Pavillon lorsqu’il existera et fonctionnera, avec les espaces internes à celui-ci.
Il y a notamment ceci : « […] le français […] donne une précision à la pensée, qu’une autre langue ne donne pas ». Ce qui n’est pas normal et qui est valable pour toute l’exposition est que celle-ci soit seulement en anglais alors que cette langue n’est pas la seule officielle d’Auroville.


LES PHOTOGRAPHIES

Sur le panneau, il y a aussi trois groupes de photographies. La photo qui est valorisée en étant la plus grande et centrée est celle de la Mère lorsqu’elle vivait en France, c’est-à-dire enfant. Il y a d’autres images concernant la France : acteurs de cinéma, Tour Eiffel, rois monarques François Ier et Louis XIV, dentelles de buis d’un jardin à la française, châteaux, Jeanne d’Arc, Voltaire, des statues, des musiciens, des philosophes-écrivains, etc.
Il n’y a pas de représentation d’Abélard qui vécut il y a un peu moins de mille ans. Il avait été endoctriné par du christianisme et il n’en sortit jamais. Ce qui est intéressant chez lui n’est pas tout ce qui concerne la religion mais ce qu’il apporta dans le développement de la pensée et la référence au jugement personnel. À cause de cela, les Français qui sont partisans de la liberté de conscience en luttant contre les tyrannies religieuses et qui s’occupent de ce qui exista à ce sujet placent depuis longtemps Abélard parmi les grands individus qui contribuèrent au développement de la conscience collective française. (Thomas d’Aquin n’est pas un successeur d’Abélard mais un corrupteur de son apport. Ne pas le comprendre fait tout mélanger et avilit Abélard.) Parmi les photographies, il n’y a pas non plus de représentation de Rabelais, ni du roi Philippe IV le Bel qui s’opposa aux prétentions dominatrices et mentalement nuisibles de la papauté et permit ainsi à la France de continuer d’exister en tant que telle. Évoquer ces trois individus suffit pour montrer que le groupe P. de F. ne sait pas ce qui représente le génie de la France car il ne sait pas ce qu’est celui-ci.


LA PRÉSENTATION DES ACTIVITÉS ACTUELLES DE P. DE F.

De ce qui est écrit, la présentation de Jean Monnet comme l’un des fondateurs de l’Europe est indiquée plus haut. Pour le reste, rien n’est dit ici mais c’est présenté un peu plus loin.


P. DE F. APPROUVE L’IDÉE ERRONÉE QUE LA FRANCE SOIT UN PAYS CHRÉTIEN

Comme déjà dit, l’exposition concernant la Z.I. qui exista dans ledit Pavillon de l’Unité fut ensuite placée dans le Centre des Visiteurs (Centre des Passants) en face de la guérite qui est devant le bâtiment des toilettes.

Il y eut une nouveauté qui n’est donc pas visible sur ce qui est reproduit sur l’ancien site internet officiel d’Auroville. Sur une carte, la France est présentée comme étant un pays chrétien, à côté d’autres pays d’Europe définis pareillement.
S’exprimer ainsi, c’est faire comme si ce pays avait, dans ses règles juridiques, un principe de domination religieuse chrétienne. (Il serait de la variété papiste.) Si c’était le cas, on ne parlerait évidemment pas de lui en disant « domination » mais ça correspondrait à cela. On peut dire aussi : principe de tyrannie chrétienne, de la variété papiste.

Le principe d’une domination chrétienne papiste existait en France avant la Révolution française. Il fut supprimé au début de celle-ci, le 23 août de l’année numérotée 1789 par tyrannie chrétienne, au cours de la rédaction de la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen. C’était une conséquence inévitable des principes de liberté et d’égalité en droits déjà admis. L’existence de cette suppression du principe de domination papiste fut comprise ainsi aussi par les partisans de cette tyrannie religieuse qui, au cours des mois suivants, tentèrent plusieurs fois de rétablir l’ancien principe, par plusieurs mots. Le plus expressif de ce qu’ils voulaient consista à tenter de faire déclarer leur religion papiste dominante. Toutes ces tentatives échouèrent et chacune confirma que le nouveau principe avait été établi.
Pour faire bref, on dit seulement qu’ensuite il y eut des fluctuations au cours de l’histoire et que, même lorsque le nouveau principe était admis, des développements de tyrannies religieuses existèrent parfois en contradiction. Parfois aussi, on créa de nouvelles conséquences du principe.

Actuellement, la France est depuis longtemps dans une période de très grande chute, et celle-ci ne cesse de continuer. (Jusqu’où faudra-t-il tomber pour qu’elle commence à réagir ?)
Cette grande chute commença il y a plus d’un siècle, alors que le principe d’absence de domination religieuse était admis, par la renonciation à continuer de supprimer les éléments de tyrannies religieuses en France, surtout la papiste qui est la plus grande.

Les ennemis de la liberté et de l’égalité en droits tentèrent de supprimer ces deux principes qui existaient et d’autres qui en découlent, notamment celui de séparation d’avec les religions. (Celui-ci est une partie du principe de séparation d’avec toute croyance.) Ces ennemis réussirent momentanément pendant la période de Philippe Pétain durant la Deuxième guerre mondiale, mais lorsque ces principes furent rétablis, ils renoncèrent à s’occuper de les supprimer.
Par contre, des conséquences nouvelles des principes ne furent plus créées, et des éléments contraires à ceux-ci furent ajoutés, et de plus en plus.

Un très grand fatras intellectuel en résulte puisqu’un état de conscience qui est très fréquent dans la population française, notamment dans tous les éléments du pouvoir public, consiste à dire que les éléments qui sont objectivement contraires aux principes seraient des conséquences de ceux-ci. C’est ainsi que l’on voit des meneurs politiques et d’autres individus expliquer sérieusement que c’est parce qu’il y a la séparation étatique d’avec les religions qu’il y a des soutiens étatiques apportés à des religions, des éléments religieux dans la vie publique française, etc. Ces individus ne semblent même pas voir les contradictions énormes qui sont dites ainsi ! Tout est mélangé dans une grande confusion intellectuelle. Il y a une volonté de s’aveugler.

Cela dit, dans ce fatras, il est quand même parlé des principes, notamment de celui de séparation de l’État d’avec des religions. On parle aussi de neutralité.
En outre, ce principe est rappelé de temps en temps lorsqu’un problème se présente et que les gouvernementaux décident de réagir en l’invoquant.
Dans la grande confusion intellectuelle française, il y a donc des individus, notamment dans les gouvernements successifs, qui savent parfois se placer au niveau le meilleur de l’état de conscience français, car ils savent ce qu’il est. Et il n’est pas de considérer la France comme étant un pays chrétien ! Il n’est pas de dire que la France est un tel pays ! Au niveau des principes et de leurs conséquences, les vraies, elle ne l’est pas !

Dans Auroville, il y a donc le panneau d’exposition où il est écrit que la France est un pays chrétien.
Il n’y a pas besoin qu’un véritable Pavillon de la France existe pour que ses responsables interviennent pour faire supprimer l’erreur en faisant indiquer la situation véritable, car c’est tout Français vivant à Auroville qui aurait dû intervenir ainsi.
Est-ce que le groupe P. de F. intervint ?
S’il le fit et qu’il y eut un refus de supprimer l’erreur, P. de F. aurait dû l’indiquer sur son panneau particulier, en indiquant la situation véritable.
Il est probable qu’il n’intervint pas car il ne vit même pas qu’il y avait une erreur. Il approuva l’annonce, le mensonge. Est-ce que ses membres sont si ignorants que cela de la situation en France !?

P. de F. est mentalement en-dessous du niveau moyen français, notamment étatique.
Ce niveau est lui-même très en-dessous du niveau où un mental clair fait distinguer entre, d’un côté, l’existence de principes et leurs conséquences et, d’un autre côté, l’existence d’éléments contraires aux principes et qui sont de plusieurs sortes.
Il y a donc une confirmation de plus que les membres de P. de F. ne sont pas compétents pour s’occuper d’un véritable Pavillon de la France. Ils n’en sont pas dignes.

(Pour qu’une véritable situation de séparation de la vie publique d’avec toute croyance, notamment les religieuses, existe, il faut supprimer tous les éléments de croyances qui y sont déjà et s’opposer à ce que d’autres ou les mêmes y soient placés. On en est très loin en France mais ce qui exista durant la Révolution française montre que, en peu d’années, ça peut exister. Évidemment, les tyrans ne se laissent pas enlever leur tyrannie sans s’y opposer. Il y aura donc du combat.
Par ailleurs, notamment durant celui-ci, des éléments de plans supérieurs de conscience apparaissent comme il y eut ceux du plan des grandes idées qui est plus haut que celui des religions. Ceux de ces éléments qui ne sont pas de la croyance, mais qui sont de la connaissance, peuvent entrer dans la vie publique sans être contraires aux principes. La neutralité étatique en matière de croyances est ouverte à tous les éléments de connaissance de plans supérieurs qui peuvent être reconnus comme vrais, comme relevant de la vérité, de la connaissance, c’est-à-dire comme n’étant pas de la croyance.)


P. DE F. APPROUVE LA RÉFÉRENCE TEMPORELLE CHRÉTIENNE (OU, AU MINIMUM, NE LA COMBAT PAS, CE QUI REVIENT AU MÊME)

P. de F. emploie des numéros d’année à quatre chiffres sans jamais exprimer une désapprobation de l’élément de tyrannie chrétienne qui est sous-entendu et qui est la référence temporelle chrétienne.

C’est le cas même lorsqu’il se retrouve en train d’évoquer notoirement celle-ci. (Sur son site internet particulier, en allant à l’onglet « Activités », puis à « Thèmes » puis à « Politique-Histoire », on arrive à l’indication d’une conférence concernant : Le Tibet : "l’étrange destinée d’une nation". Il en est parlé en disant « au VIIe siècle de notre ère », sans plus. Il est parlé de ladite ère chrétienne.)

Il est possible qu’il y ait au moins une partie d’inconscience, et qu’il y ait donc de l’approbation par inconscience.
Mais, en France, parmi les Français qui sont conscients de cet élément de tyrannie chrétienne, certains le rejettent, le combattent, en écrivant ou sous-entendant une autre référence temporelle. La référence du calendrier révolutionnaire est constamment employée sur des périodiques.
Les membres de P. de F. ne font donc pas partie des Français qui sont conscients de cet élément de tyrannie chrétienne et qui le combattent en en employant une autre. Même à ce sujet, ils ne correspondent pas au meilleur de la France mais ils correspondent à ce qui doit disparaître. Ça confirme une fois de plus qu’ils ne sont pas faits pour s’occuper d’un véritable Pavillon de la France.


P. DE F. EST FAVORABLE À GEORGES VAN VREKHEM

Auroville dans son ensemble était favorable à l’Aurovilien Georges van Vrekhem et l’est encore depuis sa mort arrivée le 31 août 12. C’est lui qui écrivit le seul texte de l’ancien site officiel d’Auroville qui concerne Satprem, texte qui est aussi sur le nouveau site. Vrekhem y exprima une position anti-Satprem et pro-Ashram concernant le combat qui exista entre l’Ashram et Satprem, concernant de prétendus « passages confidentiels » que Satprem publia dans l’Agenda, et concernant la suite de la manifestation supramentale en Satprem. Voir le nouvel article du site internet Ohoettilto qui concerne cet individu.

Sur le site internet particulier à P. de F., il y a une reproduction de l’article indiqué ci-dessus.
P. de F. y présente aussi le film d’une « interview » de Vrekhem, qui est un hommage à celui-ci. D’ailleurs son titre est « Merci Georges ». P. de F. en dit ceci : « on y retrouve un frère, un ami plein de délicatesse, un narrateur truculent et fin qui égrène ses souvenirs. Il y brûle d’un feu qui nous réchauffe en profondeur ».

Le titulaire d’un véritable Pavillon de la France ne se comporterait pas ainsi.


P. DE F. EST ANTI-SATPREM ET PRO-ASHRAM

Ce qui suit est déjà indiqué plus haut mais cette partie est créée pour valoriser son contenu.

Comme venant d’être indiqué, c’est Georges van Vrekhem qui écrivit le seul texte de l’ancien site officiel d’Auroville qui concerne Satprem, texte qui est aussi sur le nouveau site. Il y exprima une position anti-Satprem et pro-Ashram et elle est donc celle d’Auroville dans son ensemble.
Sur le site internet particulier à P. de F., il y a une reproduction de l’article venant d’être indiqué. Rien n’est placé par P. de F. pour exprimer la désapprobation des éléments anti-Satprem et pro-Ashram. Ce n’est pas en contradiction avec une autre opinion de P. de F., celle qui est favorable à Satprem seulement en tant que scribe.
En plus, P. de F. ne reproche pas l’emploi très fréquent dans Auroville du mot Satprem, y compris lorsqu’il est employé seul, c’est-à-dire sans le nom de famille, pour un autre individu, ce qui contribue à faire oublier le vrai Satprem. Voir l’article du site internet Ohoettilto qui est relatif à ce sujet.
Le titulaire d’un véritable Pavillon de la France ne se comporterait pas ainsi.



Pour lire la troisième et dernière partie, cliquer ici.

 

 

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