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Ohoettilto-3 (oho-et-til-to-3)
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  • Blog faisant partie d’une série de plusieurs. Il concerne l’intérieur d’Auroville, surtout sa Zone internationale, notamment tout Pavillon à propos de la France, dont tout ce qui est nommé -Pavillon de France- est mauvais et finira par être détruit.
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À AV, reporters sous contraintes(11pages environ.)

 

À AUROVILLE, REPORTERS SOUS CONTRAINTES,
COMME DANS LES TYRANNIES  COMMUNISTES

AT AUROVILLE, REPORTERS UNDER CONSTRAINTS,
AS IN COMMUNIST TYRANNIES

 

Le présent texte est écrit avec la nouvelle graphie de la langue française sauf dans une citation en français. Vu ce qu’il est, ça nest relatif quà la suppression de l’accent circonflexe sur quelques mots : apparaitre, connaitre, déplaire et plaire.
Le texte concerne un court article qui est sur le site internet d’Auroville (auroville.org) et qui montre une partie nuisible de ce qui existe dans cette ville et qui mérite d’être supprimé.

 

L’ORGANE D’AUROVILLE QUI EST NOMMÉ OUTREACHMEDIA

Le site internet d’Auroville a une page écrite en anglais qui est placée ainsi : Home / Activities / Media & Communication / Press & Media. C’est : Page d’accueil du site / Activités / Médias et Communication / Presse et [autres] Médias.
Cette page concerne un organe interne à Auroville, qui est nommé Outreachmedia. Que signifie ce mot ?
Une des pages de la catégorie « Press & Media » est titrée « Auroville Outreach Media ». Le nom résulte donc du collage de ces deux derniers mots.
Que signifie outreach ? Selon Google traduction, ce mot signifie : sensibilisation ou : avoir le bras plus long que. Selon d’autres sites internet, le mot signifie : rayonnement, diffusion, ou, en tant que verbe : dépasser.
Le mot est joint à « media », média.
Le mot Outreachmedia est dans la partie, Activités, celles d’Auroville, c’est-à-dire celles officielles d’Auroville, faites par des Auroviliens approuvés par cette ville. Ce mot est relatif aux Médias et à la Communication, et ces derniers sont donc ceux d’Auroville. Précisément, il concerne la Presse et les autres Médias. Autrement dit, en ce domaine il concerne ce qui émane d’Auroville, ce qui émane officiellement de cette ville.
C’est au moins ce qui apparait à première vue. La lecture de la suite du texte confirme cela mais d’une manière qui est spéciale.

 

SUR LE SITE INTERNET D’AUROVILLE, LE TITRE D’UN ARTICLE RELATIF À OUTREACHMEDIA

La page du site internet d’Auroville qui est présentée dans le présent texte a pour date de dernière mise à jour le 22 décembre de l’année numérotée 2018 par tyrannie chrétienne.

Elle est titrée « Information for the Press and Media », Informations pour la presse et les médias.
Ça exprime l’idée de quelque chose qui émane officiellement d’Auroville en étant adressé d’abord à des journalistes, réalisateurs de films, etc. Ci-après, toutes ces personnes sont appelées reporters, qui font des reportages dont le résultat est publié en écrits sur papier ou internet, etc., en photographies et en enregistrements seulement sonores, ou en films sonorisés y compris par vidéos ou smartphone, etc.
Pourtant, des individus qui ne sont pas des reporters professionnels mais qui veulent produire un compte-rendu écrit, filmé, etc., sont probablement aussi visés. En bref, l’article aurovilien est adressé à toute personne qui voudrait aller à Auroville avec l’intention d’effectuer une enquête avec ou sans images et sons, c’est-à-dire avec l’intention de produire un compte-rendu écrit, filmé, etc. puis de le
diffuser.

En plus, il n’y a pas que tous les individus précédents qui ont intérêt à connaitre les informations présentées sous le titre de l’article aurovilien, car n’importe qui peut être intéressé à connaitre l’existence de conditions tyranniques ! Elles existent et sont montrées dans la suite du présent texte.

Donc, le titre de l’article aurait pu être : Informations relatives aux individus qui passent à Auroville et qui veulent diffuser hors de cette ville un compte-rendu écrit, filmé, etc.

Qu’en est-il pour les Auroviliens ? Est-ce qu’un système de censure existe dans Auroville ? Ou est-ce qu’il y a une menace d’exclusion de cette ville en cas de diffusion de quelque chose qui déplait aux Auroviliens qui dominent actuellement ?


Sous le titre, il y a un dessin. On perçoit un rond blanc central qui contient en son centre un petit rond noir et qui fait un peu penser au logo d’Auroville. Autour, il y a des rayons qui en sortent. Ça correspond à l’idée d’informations qui émanent officiellement d’Auroville et qui, en le cas particulier en jeu, sont adressées à la presse et autres médias, c’est-à-dire aux reporters. Ces rayons ne partent pas dans tous les sens possibles, comme le fait la lumière qui part d’une flamme. Ils partent en cinq groupes, et ça fait penser aussi à lemblème dAuroville et aussi que les informations émises sont organisées dune manière spéciale. Chaque groupe est composé de cinq rayons et, ici, il n’a pas été cherché à trouver la signification de cela. Dans chaque groupe de cinq rayons, celui de ceux-ci qui est central est orange, et les autres sont noirs. Ici, on n’a pas cherché à trouver la signification symbolique qui est être donnée à cela.


Sous le dessin, il y a le mot outreachmedia écrit en lettres majuscules et, dessous, le mot Auroville.

 

LE TITRE DE LA PREMIÈRE PARTIE DE L’ARTICLE AUROVILIEN

Sous ce qui précède il y a le titre de la première des deux parties du texte et c’est « Press and Media information », Informations pour la presse et les [autres] médias.
Il y a la même signification que pour le titre de tout l’article.

 

LE PREMIER PARAGRAPHE D’ANNONCE DE LA VOLONTÉ DOMINATRICE ET MANIPULATRICE

Dans la première partie du texte, il y a deux paragraphes.
Le premier est ceci, d’abord en anglais, puis dans une traduction en français qui ne provient pas d’Auroville.
En anglais. « When you want to visit Auroville for filming, writing or photographic purposes, you will have to get in touch with Auroville's OutreachMedia, the Auroville service in charge of facilitating visits of journalists and film/video makers. Their particular aim is to ensure that all journalists and filmmakers get correct, up-to-date information or relevant/representative footage from the best sources so that generally their visit is a fruitful and constructive one. »
En français. Lorsque vous souhaitez visiter Auroville avec le projet de filmer, d'écrire ou de photographier, vous devez contacter Auroville OutreachMedia, le service d’Auroville chargé de faciliter les visites de journalistes et de réalisateurs de films et de vidéos. Son objectif particulier est d’assurer que tous les journalistes et les cinéastes obtiennent, des meilleures sources, des informations correctes et à jour ou des enregistrements pertinents/représentatifs, de manière à ce que leur visite soit généralement fructueuse et constructive.
Dans le texte en anglais, il est écrit « Their particular aim », leur objectif particulier, mais c’est une faute car, avant, il n’est parlé que d’une seule entité : le service d’Auroville qui est indiqué. Il faut donc traduire par : son.

Auroville a donc un Service qui est chargé par elle, missionné par elle, de quelque chose, et qui en est donc un représentant. (Ça ne signifie pas que tous les Auroviliens approuvent ce que veut cette ville dans son ensemble.)

Une de ses missions est d’indiquer aux reporters quelles sont les « meilleures sources » d’informations, c’est-à-dire les Auroviliens qu’il considère comme bons.
Ils sont considérés ainsi car ils sont connus par ce Service comme émettant des paroles qui sont considérées comme étant des « informations » même si elles ne correspondent pas à la réalité.
Lesdites « informations » sont considérées « correctes » car elles correspondent à l’idéologie des tyrans qui dominent actuellement à Auroville.
Cette ville, par son Service OutreachMedia (ou Outreachmedia), veut que les reporters soient ses instruments pour diffuser ce qu’elle veut, elle veut qu’ils lui servent d’intermédiaires. Ainsi il y a quelque chose qui émane officiellement de cette ville mais de manière indirecte et sous contraintes, ce qui est une manière spéciale.
Les mots « pertinents » et « représentatifs » expriment la même idée car c’est Outreachmedia qui décide ce qui est tel.
Les reporters créeraient ainsi une chose qui serait « fructueuse et constructive » … du point de vue d’Auroville et de l’image d’elle-même qu’elle veut diffuser.
C’est forcément au moins partiellement du mensonge qui le serait.

Le Service Outreachmedia veut que les informations qui sortent d’Auroville soient sous son contrôle, sous sa censure. Il veut qu’elles soient comme si elles émanaient directement de lui-même.
C’est Auroville dans son ensemble qui, par son Service Outreachmedia, veut cela.
Il y a pire qu’un Service de propagande endoctrinante, car c’est un Service de manipulation des reporters, un Service de mise de ceux-ci sous sa volonté manipulatrice. Ça correspond à ce que les dirigeants de tyrannies communistes font aux journalistes étrangers qui viennent en leur pays.
C’est confirmé par la suite du texte.

 

LE DEUXIÈME § D’ANNONCE DE LA VOLONTÉ DOMINATRICE ET MANIPULATRICE

Le deuxième paragraphe de la première partie de l’article commenté est ce qui suit, d’abord en anglais, puis dans une traduction en français qui ne provient pas d’Auroville.
En anglais. « This includes intermediating with authorities in order to obtain permission to film (specially relevant to foreign film crews) ; collaborating on tentative scenarios and film schedules beforehand so that when a film crew or reporter arrives no loss of time occurs ; setting up interviews with appropriate people ; escorting crews around the township ; and helping book accommodation and arrange transport, as well as possibly helping with the final product where 'finishing touches' may be required. A financial contribution may be asked for the above services including administrative charges/fees. »
En français. Cela comprend l’intermédiation avec les autorités afin d’obtenir l’autorisation de filmer (ce qui concerne particulièrement les équipes de tournage étrangères) ; en collaborant à l’avance sur des scénarios provisoires et des calendriers de tournage afin d’éviter toute perte de temps lorsqu’une équipe de tournage ou un reporter arrive ; organiser des entretiens avec les personnes appropriées ; escorter les équipages à travers la ville ; et aider à réserver un hébergement et à organiser le transport, ainsi que éventuellement aider au produit final lorsque des "touches de finition" sont nécessaires. Une contribution financière peut être demandée pour les services susmentionnés, y compris les frais administratifs.

Ce paragraphe ne concerne pas seulement les reportages filmés, c’est-à-dire les tournages de films, puisqu’il est écrit « a film crew or reporter », une équipe de tournage ou un reporter. Sont donc visés tous les individus qui veulent faire une enquête, un reportage, avec ou sans images et sons, pour en diffuser le compte-rendu.

Il est parlé d’autorisation de filmer à recevoir des autorités, sans que soit précisé qui sont celles-ci. Est-ce que ce sont des autorités internes à Auroville ? Mais la nation indienne a créé, par une loi, la présence étatique indienne dans Auroville, et une autorité publique indienne est donc en jeu pour la délivrance ou non d’une autorisation, qu’elle soit le pouvoir public central ou une autre, ou plusieurs d’entre elles.
Lorsque les individus qui veulent faire un reportage ne sont pas des Indiens, que vaut la nécessité d’une telle autorisation ? Pour pouvoir répondre, il faudrait savoir quelles sont les autorités publiques indiennes qui donnent ou refusent l’autorisation. Si c’est le pouvoir public central, c’est-à-dire le Gouvernement central, ce serait une conséquence de l’appropriation d’Auroville faite par l’Inde et, en pratique, par son Gouvernement central. Par ailleurs, il faut comparer la situation à Auroville avec ce qui existe dans les pays qui ne cherchent pas à manipuler les reporters pour qu’ils donnent une bonne image d’eux-mêmes.
Pour les souhaits de reportage qui émanent d’Indiens, il y a ici la même ignorance qui fait l’impossibilité d’en dire davantage sur ce sujet.

Que la nécessité d’une autorisation de reportage soit légitime ou non, le Service Outreachmedia s’occupe de la demander.
Il s’occupe aussi des calendriers de tournage afin d’éviter toute perte de temps lorsqu’une équipe de tournage ou un reporter arrive. S’il avait été dit que la cause est d’éviter que plusieurs équipes de tournage de films se retrouvent ensemble au même moment au même endroit, ça serait légitime. Mais que vaut la cause : éviter toute perte de temps !?
Même situation à propos des reportages sans film.
Outreachmedia aiderait aussi à réserver un hébergement et à organiser le transport. C’est acceptable seulement si le reporter, seul ou avec une équipe, le demande.

En mettant à part ce qui précède, le reste du paragraphe expose bien la suite de la tyrannie aurovilienne en le domaine en jeu.
Une équipe de tournage pourrait avoir un scénario de film en le considérant comme définitif mais Outreachmedia, missionné par Auroville, déclare qu’il est forcément provisoire puisqu’il veut pouvoir le modifier s’il lui déplait afin qu’il corresponde à l’image qu’il veut diffuser. Cette action est appelée : collaborer à l’avance.
Comme déjà indiqué dans le premier paragraphe de l’article aurovilien, Outreachmedia veut que les journalistes n’interrogent que les personnes qu’il considère comme diffusant ce qui lui plait, des personnes qu’il choisit car il les considère appropriées.
Les reporters et autres membres d’une équipe de tournage sont escortés à travers Auroville : ils ne peuvent pas parler à n’importe qui ni aller dans des lieux où ils pourraient légitimement aller, sachant qu’Auroville n’est pas un zoo visitable et qu’ailleurs dans le monde, des reporters ne peuvent pas entrer dans toute propriété privée sans autorisation. Outreachmedia ne veut pas que les reporters s’adressent directement à quelqu’un en demandant à ce dernier une autorisation d’agir, car il veut tout contrôler, tout canaliser.
Après toutes les contraintes faites aux moments de l’obtention des informations, des enregistrements, Auroville, par son Outreachmedia, veut aussi avoir le contrôle sur le produit final de l’action des reporters. Elle veut que rien de déplaisant ne soit dit ou montré et elle s’occupe de censurer, de transformer, de corrompre. Par tyrannie hypocrite, elle appelle cela : aider au produit final lorsque des "touches de finition" sont nécessaires.

Pour les actions de tyrannies qui sont imposées, la Tyranne a l’audace de les faire payer, au moins parfois : Une contribution financière peut être demandée pour les services susmentionnés, y compris les frais administratifs. Ledits services sont notamment les contraintes notoires.

Comme déjà dit, c’est forcément au moins partiellement du mensonge qui serait diffusé.

Outreachmedia est un Service de mise des reporters sous sa volonté manipulatrice, un Service de manipulation des reporters. Il veut que les reporters soient ses instruments pour diffuser ce qu’il veut. Il veut qu’ils lui servent d’intermédiaires. C’est Auroville qui, par son Outreachmedia, veut cela, veut que ce que produisent les reporters pour être diffusé dans le monde soit comme si ça émanait directement d’elle-même. Ça correspond à ce que les dirigeants de tyrannies communistes font aux journalistes étrangers qui viennent en leur pays.

C’est confirmé par la suite du texte.

 

LE TITRE DE LA DEUXIÈME ET DERNIÈRE PARTIE DE L’ARTICLE AUROVILIEN

Le titre de la deuxième et dernière partie de l’article aurovilien est « Objective and non-proselytising », c’est-à-dire, en français : Objectif et non-prosélytique, ou : Objectif et sans prosélytisme.
Comme vu plus haut, le titre de tout l’article aurovilien est Informations pour la presse et les médias, ce qui est relatif à quelque chose qui émane d’Auroville.
Le titre de la deuxième partie de l’article signifie ainsi que les informations qui émanent officiellement d’Auroville doivent être objectives et sans prosélytisme, c’est-à-dire sans qu’il soit cherché à convaincre d’autres individus à propos de quelque chose.
Mais la première partie de l’article montre qu’il n’est pas parlé seulement de ce qui émane directement d’Auroville mais aussi de tout ce qui émane de reporters et autres individus à propos de cette ville et qui est diffusé en son extérieur.
Toute cette première partie montre qu’Outreachmedia, missionné par Auroville et, donc, représentant de celle-ci, veut que les reporters et autres personnes concernées ne diffusent que des informations qui correspondent à l’idéologie des tyrans qui dominent actuellement dans cette ville, et il veut que les individus qui les reçoivent les acceptent, soient endoctrinés par elles.
Il y a un contraire de l’objectivité et de l’absence de prosélytisme.
Le titre de la deuxième partie est en harmonie avec toute la première partie.
En lisant la suite de l’article, on s’attend encore à en avoir la confirmation et c’est ce qu’il y a.

 

LE SEUL PARAGRAPHE DE LA DEUXIÈME PARTIE DE L’ARTICLE, OÙ LA VOLONTÉ DOMINATRICE ET MANIPULATRICE EST ENCORE EXPRIMÉE, AVEC EN PLUS DES SOTTISES

 Dans cette deuxième partie il n’y a qu’un seul paragraphe et le voici, d’abord en anglais, puis dans une traduction en français qui ne provient pas d’Auroville.
En anglais. « "Auroville belongs to humanity as a whole," says its Charter, and we are aware that the very existence of Auroville gives hope and encouragement to many people. Consequently, when it comes to making the existence, aims, and ideals of Auroville known to a wider audience, the OutreachMedia team will give every assistance to ensure that the information is imparted in an objective, non-proselytising manner. »
En français. "Auroville appartient à l'humanité dans son ensemble", déclare la Charte. Nous sommes conscients que l'existence même d'Auroville donne espoir et encouragement à de nombreuses personnes. Par conséquent, lorsqu'il s'agira de faire connaitre l'existence, les objectifs et les idéaux d'Auroville à un public plus large, l'équipe d'OutreachMedia donnera tout son possible pour que les informations soient communiquées de manière objective et non prosélytique.

"Auroville appartient à l'humanité dans son ensemble", déclare la Charte mais la réalité est que l’Inde s’est approprié cette ville et que ça devra cesser tôt ou tard. Ce sujet n’est pas développé ici car il l’est en d’autres articles du présent blog Ohoettilto-3 et du blog Antiténèbres.


Pourquoi cette citation est-elle placée dans l’article relatif à la Presse et aux autres médias ?
Elle est le début d’un discours de justification pour aboutir à l’expression de deux autres éléments de la tyrannie d’Auroville, par son Outreachmedia, sur les reporters en tout genre.

D’abord, ceux-ci ne devraient diffuser des informations que de manière objective. Autrement dit, ils devraient diffuser des informations qu’Outreachmedia considère comme ayant ce caractère. Cet organisme attribue celui-ci auxdites informations qui correspondent à l’image d’Auroville dont il souhaite la diffusion, celles qui correspondent à l’idéologie des tyrans qui dominent actuellement dans cette ville. Il y a donc encore une expression de la volonté de manipulation des reporters, pour les mettre à son service. C’est notamment du mensonge qui serait diffusé. Tout ce qui déplait aux tyrans ne pourrait pas être constaté, enregistré, et, s’il l’est quand même, il ne pourrait pas être présenté au public, à cause du comportement semblable à celui de tyrans communistes révélé plus haut.
L’autre nouvel élément de la tyrannie d’Auroville, par son Outreachmedia, sur les reporters en tout genre est exprimé par la notion d’absence de prosélytisme. Contraindre les reporters à agir en plaisant à Outreachmedia, c’est vouloir les manipuler, les utiliser comme instruments pour la diffusion de l’idéologie des tyrans qui dominent actuellement dans Auroville. On veut les utiliser pour qu’ils donnent au reste du monde une image de cette ville qui soit plaisante à ces tyrans, et pour que les destinataires des reportages la reçoivent, pour qu’ils en soient endoctrinés. C’est du prosélytisme.
Un meilleur titre de cette deuxième partie de l’article aurovilien serait : Autres manipulations, mensonges et endoctrinements.

C’est à tout cela que menait le discours de justification dont le début est : "Auroville appartient à l'humanité dans son ensemble", déclare la Charte.

La suite de la justification est l’annonce que les tyrans qui dominent actuellement dans Auroville ont conscience de quelque chose : Nous sommes conscients. Premièrement, ils parlent d’eux-mêmes. Deuxièmement, est-ce que ce dont ils annoncent avoir conscience correspond ou non à la réalité ?

Ils annoncent avoir conscience que l'existence même d'Auroville donne espoir et encouragement à de nombreuses personnes. C’est de cela qu’ils déduisent qu’il faudrait que les informations sur Auroville soient communiquées, par les reporters en tout genre, dans des compte-rendus qui plaisent aux tyrans qui dominent actuellement en cette ville. De celle-ci, il ne faudrait donc dire que du bien, selon la conception de ce qui est ainsi selon ces tyrans.
Il est dit ou sous-entendu que lesdites nombreuses personnes évoquées seraient dans une situation psychologique mauvaise mais que leur connaissance de l’existence d’Auroville leur ferait avoir de l’espoir et du courage et que, si elles recevaient des informations montrant que tout n’est pas bien dans cette ville, elles ne les auraient plus ou pourraient ne plus les avoir.
Si lesdites nombreuses personnes évoquées existent, leur état de conscience est mauvais. Elles feraient mieux, si elles le veulent, de se mettre à pratiquer le yoga intégral de Sri Aurobindo et la Mère, chacune à sa mesure, et de ne pas s’accrocher désespérément à Auroville, de ne pas s’illusionner à propos d’elle.

En plus, l’annonce précédente d’Outreachmedia est placée après : "Auroville appartient à l'humanité dans son ensemble", déclare la Charte. Quel est le lien entre cette phrase et celle qui, dans le § commenté, la suit ? Est-ce qu’il est dit que lesdites nombreuses personnes évoquées auraient une part de propriété d’Auroville, en seraient des copropriétaires ?

Ensuite, il est écrit : Par conséquent. Est-ce que les deux premières phrases du paragraphe commenté ne forment qu’un prétexte pour introduire les deux éléments de tyrannie qui sont indiqués par les mots : manière objective et non prosélytique ?

Il est parlé de faire connaitre l'existence d’Auroville. En Inde, il y a des Indiens qui sont opposés à cette existence et, ici, on ne sait pas s’il y en a en d’autres pays. L’auteur du présent texte n’y étant pas opposé, il n’a rien de plus à dire ici.

Il est aussi parlé de faire connaitre les objectifs et les idéaux d'Auroville. C’est le langage aurovilien ordinaire, qui omet l’essentiel. Les bases de ce dernier sont qu’Auroville existe dans le cadre de la manifestation supramentale qui est en cours, que celle-ci n’existe pas seulement en cette ville, et qu’en celle-ci comme ailleurs, la bonne attitude à prendre par les personnes qui le veulent est de se faire serviteur volontaire de la Conscience Divine, pour reprendre la formule qui est dans la Charte d’Auroville.
Dans le langage aurovilien ordinaire, l’expression faire connaitre les objectifs et les idéaux d'Auroville contient d’abord l’idée d’unité humaine et aussi celle que ce sont les Auroviliens à eux seuls qui s’occuperaient de créer cela. Il y a souvent aussi l’idée qu’ils pourraient créer cela par eux-mêmes tels qu’ils sont, et ça relève de l’agitation mentale et parfois de la folie. Ça se passe au niveau mental et avec beaucoup d’orgueil. C’est l’idéologie dominante à Auroville.

Voici une citation du livre titré Éducation, édité par Sri Aurobindo Ashram Trust en 81, 555 pages. Dedans, il y a notamment la reproduction d’un article écrit par la Mère qui avait été publié en avril 52 dans le Bulletin dont le titre fut d’abord Bulletin d’Éducation physique avant de devenir Bulletin du Centre International d’Éducation Sri Aurobindo.
P. 46, il y a ceci. « […] l’unité de la race humaine ne peut être accomplie ni par uniformité, ni par domination et sujétion. Seule l’organisation synthétique de toutes les nations, chacune occupant sa vraie place suivant son génie propre et le rôle qu’elle doit jouer dans l’ensemble, est capable de produire une unification compréhensive et progressive qui aura quelque chance de durer. Et pour que la synthèse soit vivante, le groupement doit se faire autour d’une idée centrale aussi large et haute que possible, dans laquelle toutes les tendances, même les plus contradictoires, peuvent trouver leur place respective. Cette idée plus haute est de fournir aux hommes les conditions de vie nécessaires pour qu’ils puissent se préparer à manifester la force nouvelle qui créera la race de demain. »
Il y a l’idée que c’est « la force nouvelle », la force supramentale, qui crée quelque chose. Ça se fait par l’ouverture d’humains à elle, avec sa réception graduelle et les conséquences.
Il y a aussi l’idée que chaque nation (méritant d’exister) évoluera, se transformera, jusqu’à devenir capable de manifester « la force nouvelle ». (Ça se constatera par les conséquences.) Il y a donc aussi l’idée que des membres de chacune de ces nations agissent et agiront, là où ils sont, pour que leur nation puisse finir par évoluer ainsi.
Il y a aussi l’idée que ce sont toutes les nations ayant évolué jusqu’à être ainsi qui, par résultat, se retrouveront en train de créer de l’unité humaine.
Il y a aussi ce qui concerne la création de « la race de demain ».

L’idée orgueilleuse qu’ont des Auroviliens actuels que ce sont eux-mêmes qui ont à créer l’unité humaine est une folie.

 

LA DERNIÈRE PHRASE DE L’ARTICLE

« Thank you for approaching OutreachMedia », Merci d'avoir approché OutreachMedia.
Il y a un complément qui est sous-entendu et qui est : et de vous soumettre.

 

LE REPORTAGE PUBLIÉ PAR UNE TÉLÉVISION FRANÇAISE POUR LES 50 ANS D’AUROVILLE : OBÉISSANCE OU NON À OUTREACHMEDIA ?

Pour les 50 ans d’Auroville, un reportage sur Auroville fut présenté sur une célèbre chaine de télévision française, à la fin du journal du soir, c’est-à-dire à une heure où il y a beaucoup de téléspectateurs.
Il était mauvais, notamment parce que l’essentiel d’Auroville n’était pas présenté. Si on avait voulu consciemment s’opposer au bon développement d’Auroville, on aurait réussi.
De ce film, un compte-rendu détaillé d’environ 3 pages ½ fut fait par l’auteur du présent texte, et il fut publié sur le blog Antiténèbres, où il est encore, et chacun peut aller le lire.

Les auteurs du reportage sont David Alexandre Danelon, Félicia Poletti et Clément Gargoullaud.
Selon internet, les trois font des reportages en Inde. Le troisième semble y séjourner habituellement. En lan numéroté 2017 P.T.C., il reçut le prix annuel prix décerné par la française Association de la presse diplomatique pour ses reportages au Népal, en Afghanistan et au Pakistan. (Le petit film sur Auroville ne lui vaudra probablement jamais de prix mais une association, un individu, un peuple, etc. peuvent tomber.)
Est-ce que les trois reporters obéirent ou désobéirent à Outreachmedia ?
Ils étaient déjà notoirement connus pour leur profession, c’est une des grandes chaines de télévision française qui publia leur film et, selon internet, il semble même que Gargoullaud en soit le correspondant en Inde. On peut donc penser que, au cours de leur reportage, ils subirent les contraintes imposées par les tyrans auroviliens. Si c’est vrai, et vu le résultat mauvais, la nuisance d’Outreachmedia apparaitrait une fois de plus.
Mais est-ce que le résultat du reportage, c’est-à-dire le film qui fut diffusé, reçut aussi des contraintes, des censures, des ajouts (par exemple dans le discours de la voix off de commentaire), que les tyrans appellent "touches de finition" ?
Cela dit, le film montre avec évidence que les reporters n’eurent pas l’intention de faire un film ayant au moins un peu de profondeur. D’ailleurs, il est possible qu’ils aient été contactés par Auroville pour que, à l’occasion des 50 ans d’Auroville, ils fassent un film de commande.
Quoi qu’il en fût, si Outreachmedia approuva le film qui fut ensuite diffusé, sa nuisance apparaitrait une fois de plus.
Si les trois reporters voulaient raconter leur relation avec Outreachmedia lors de la réalisation de leur film, et autre chose dAuroville à loccasion de celle-ci ou autrement, leur récit pourrait être publié sur le présent blog.

 
CONCLUSION

Outreachmedia a la prétention de fond de contrôler tout ce qui se dit dans le monde à propos d’Auroville. Il n’y arrive déjà pas et n’y arrivera jamais.
Est-ce que c’est la peur qu’auraient certains Auroviliens qui est derrière cette volonté de tout contrôler ? Est-ce que ce qui l’est est leur volonté de pouvoir continuer à s’illusionner sur ce qu’est Auroville et sur ce qu’ils sont eux-mêmes ?
Est-ce qu’il y a l’obéissance plus ou moins inconsciente à des forces hostiles qui veulent faire échouer Auroville ou au moins lui nuire le plus possible, et qui trouvent plus efficace de ne pas l’attaquer de front et notoirement mais préfèrent jouer à la soutenir en en diffusant une conception déformatrice, condamnée à l’inefficacité et plus ou moins ridicule ?
Quoi qu’il en soit, l’organe d’Auroville nommé Outreachmedia est objectivement au moins partiellement au service du mensonge, au service des ténèbres en général.
Rien que par son existence, il contribue à montrer le mal qui est dans Auroville et dont il fait partie. Il contribue à permettre sa révélation.
Est-ce que le présent texte provoquera un peu de développement de la conscience ? Est-ce qu’il provoquera un peu d’amélioration ?

 

 

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