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Ohoettilto-3 (oho-et-til-to-3)
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  • Blog faisant partie d’une série de plusieurs. Il concerne l’intérieur d’Auroville, surtout sa Zone internationale, notamment tout Pavillon à propos de la France, dont tout ce qui est nommé -Pavillon de France- est mauvais et finira par être détruit.
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Mauvais Aurovillage en Afrique(25p. environ.)

 

CONTESTATION DU PROJET « AUROVILLAGE »
ET DE SON AUTEUR,
QUI SONT SOUTENUS NOTAMMENT PAR AUROVILLE

Sur le site internet Ohoettilto désormais interdit, la plus grande partie du présent texte avait été publiée le 29 juillet de l’année numérotée 2014 par tyrannie chrétienne.
La petite partie qui est en plus, qui était un Complément de quelques lignes y avait été publiée le 30 octobre suivant. Elle est ci-après insérée dans le texte précédent complet en étant indiquée.
Les personnes qui les avaient déjà lus peuvent ne lire que TOUT le présent bloc de paragraphes car tout ce qui est après est presque pareil, y compris sa graphie de la langue française, qui est l’ancienne. Les différences sont que quelques passages sont barrés et que cinq fautes environ sont corrigées.
Il n’avait pas été distingué entre deux organismes qui sont différents mais partiellement imbriqués l’un en l’autre par une partie de leurs personnels et locaux : l’Ashram de Pondichéry et la Sri Aurobindo Society (S.A.S.). Ci-après, cette absence de distinction n’est pas corrigée et le texte est donc le même.
Le 29 septembre 18, date de publication sur le présent blog, il fut constaté que l’article reproduit en entier ci-après qui avait été rédigé par l’individu surnommé Yaristan, le créateur d’Aurovillage en Afrique, N’EST PLUS VISIBLE SUR INTERNET, comme tout son blog titré Blog Sri Aurobindo et Mère France, avec donc ses autres articles dont il y a des citations ci-après. Ici, il est considéré que cette suppression fut une conséquence de l’article du 29 juillet 14 indiqué ci-dessus car au moins certains de ses reproches furent considérés comme étant légitimes. Malgré cela, le présent article est publié car il montre ce qu’est encore Aurovillage en Afrique et ce qu’était son créateur, et ce qu’il est encore d’après ce qui est visible sur internet et, surtout, l’un et l’autre reçoivent encore le soutien d’Auroville. Ci-après, en plus de passages barrés, il est possible que d’autres informations ne correspondent plus à la situation actuelle mais le fond continue d’être valable.
Voici le texte.


PRÉSENTATION

Il y a un projet qui consiste à créer en Afrique, précisément au Burkina Faso, un lieu nommé Aurovillage. Il est extravagant, comme son auteur surnommé Yaristan. Au hasard d’internet, on en avait eu connaissance depuis plusieurs années mais en sortant très rapidement des pages concernant cela.

Un article publié le 19 septembre 11 n’avait pas été lu et il fut découvert seulement récemment, encore au hasard d’internet. Il est titré « Quelles pratiques pour le Yoga Intégral ? » Il est effarant. (En juillet 14, lorsqu’on écrivait dans Google les deux mots : décès satprem, ce titre arrivait en réponse à la page 2, à la quinzième place du début de la page 1. La curiosité fit cliquer dessus.)

Il fut pensé que l’auteur devrait commencer par s’intéresser à ce qu’est le psychique et il fut pensé à un article du site Ohoettilto, qui avait été créé peu avant et qui concerne Le psychique. (Il contient des citations de livres édités par l’Ashram et qui sont classées selon un ordre spécial pour faciliter la compréhension. Certaines citations contiennent des coupures à cause de droits d’auteur mais ça ne gêne pas la compréhension.) Il fut donc pensé à apporter une réponse à l’auteur, pour l’aider, et qu’elle consisterait à placer en commentaire de son écrit un lien vers cet article du site Ohoettilto. Telle est l’origine du présent texte.
Puisqu’il y avait cette occasion, il y eut aussi l’idée de placer un lien vers l’autre article du même genre créé sur le site Ohoettilto en même temps que le précédent et qui concerne Plans et parties de l’Être.
Il y eut aussi l’idée qu’il fallait accompagner cela par quelques phrases de commentaire de l’écrit.
La rédaction de ce commentaire fut alors commencée dans un document à part pour aller ensuite coller son contenu sous l’article de Ya. Lorsque vint l’idée de placer des Cas pratiques pour Ya., les pages internet du site Aurovillage furent lues. Ce qui fut découvert allait au-delà de ce projet en Afrique. Il fut notamment découvert que des Auroviliens et Auroville en elle-même soutiennent ce projet.
Le texte en cours de rédaction s’allongeait beaucoup. Il fut décidé qu’il deviendrait un article du site Ohoettilto, surtout qu’il devenait de plus en plus hostile à Ya. et qu’il y avait la probabilité que celui-ci n’accepterait pas de le publier dans un commentaire de son blog. (Le 13 juillet 14, un article sur Aurovillage fut créé sur le site Ohoettilto mais qui ne contenait que ceci : « L’article sera publié dans peu de temps ». Il le fut un peu plus de quinze jours plus tard.)
L’article, malgré son hostilité à Ya., est encore conçu comme étant une aide qui lui est apportée. Qu’il soit ou non reçu comme tel, il est aussi une dénonciation du projet Aurovillage qui est considéré mauvais.

Ci-après, il y a d’abord des informations pour trouver sur internet l’article de Ya. qui est titré « Quelles pratiques pour le Yoga Intégral ? » puis il y a celui-là complet. (Si Ya. demande sa suppression, celle-ci existera, et les lecteurs devront aller lire l’article à l’adresse internet indiquée.) Il y a ensuite son commentaire où il est parlé notamment du projet Aurovillage. Puis il y a d’autres informations concernant Ya., Auroville et l’Ashram.


COMMENT TROUVER L’ARTICLE DE YA. SUR INTERNET

On peut écrire le titre Quelles pratiques pour le Yoga Intégral.

On peut aussi chercher comme suit. Il y a un blog qui est titré « Blog Sri Aurobindo et Mère France », dans l’adresse duquel il y a « sriaurobindo-france.com ». Lorsqu’on y arrive et que l’on clique sur l’onglet « Accueil », il y a une page qui a, à droite pour le lecteur, une colonne dont la première partie est « Catégories ». Dans la liste, il y a notamment « Yoga intégral ». En cliquant dessus, on arrive sur une page qui a le titre de l’article et, en cliquant dessus, on arrive sur l’article.
On peut aussi copier ce qui suit et le coller dans le champ d’écriture qui est en haut de la page de google : http://sriaurobindo-france.com/blog/?p=896


ARTICLE COMPLET DE YA.

« Quelles pratiques pour le Yoga Intégral ?

Dans les échanges que nous avons au sujet du Yoga intégral de Sri Aurobindo, une question revient fréquemment : est-ce un yoga sans « pratiques » spirituelles ? Sans techniques précises ?
Il est vrai qu’à la lecture de l’œuvre de Sri Aurobindo on peut rester perplexe, sans parler de l’Agenda de Mère, voir des derniers livres apocalyptiques de Satprem ! Comment s’y repérer ? Comment mettre en pratique concrètement ce yoga ?
Nous allons tenter d’apporter notre réponse. En insistant bien que c’est la nôtre. Nous pensons utile de la partager car ce sont des questions qui nous ont habité pendant des années, et que nous pensons avoir résolu pour ce qui nous concerne personnellement. Notre propos dans ce texte ne sera pas conceptuel mais pratique, et même concret puisque nous situerons ces questions dans un contexte français traversé de plusieurs courants.
Ce que nous pouvons d’abord dire en préliminaire, c’est que le Yoga intégral est un Yoga de la liberté ! Nous y reviendrons !

La base : l’Œuvre de Sri Aurobindo

Sri Aurobindo a donné dans ses ouvrages majeurs – la Vie Divine, la Synthèse des Yoga, Savitri, auxquels on peut ajouter les grands textes ou il développe sa vision du développement humain et social – une grande œuvre polyphonique qui pose les grands axes synthétiques de sa vision, de son action autour du levier central constitué par l’évolution de la conscience. Il a accompagné des milliers de disciples de différentes sensibilités – en les encourageant à cultiver une vision toujours plus intégrale et ouverte. De nombreuses techniques sont évoquées dans ses « Lettres », depuis le contrôle conscient des rêves, le japa, des exercices divers…. Si elles sont toutes considérées comme utiles ponctuellement, elles restent accessoires pour Sri Aurobindo. À ses yeux l’élément préliminaire et le moteur central de la sadhana est constitué par l’attitude de totale « surrender », l’abandon à la Mère Divine dans un yoga de l’action et de la transformation.
Comme le dit notre amie Kailash à Pondichéry il faut lire l’œuvre de Sri Aurobindo. C’est le socle fondamental. Pas seulement les Lettres ou les extraits divers publiés sous différentes formes. Il faut la lire directement à travers ses œuvres majeures, car non seulement elle nous éclaire sur le fond du travail et de l’action de Sri Aurobindo et de Mère, mais l’énergie particulière qui l’habite infuse en nous une forme de connaissance intuitive interne qui touche notre être psychique et contribue directement à notre sadhana. Au fur et à mesure de la lecture, nous intériorisons et comprenons l’œuvre, l’action et le travail. C’est tout à fait étonnant et très opératoire ! C’est ce qui faisait dire à Das Gupta, un des administrateurs actuels de l’Ashram, auquel nous sollicitions « l’autorisation » et des conseils pour la création d’un Centre Sri Aurobindo et Mère en France : – « il n’y a pas d’"autorisation", vous êtes libre, faites comme vous le sentez, si vous avez lu et compris de l’intérieur l’œuvre de Sri Aurobindo et de Mère et que vous vous sentez inspirés, cela suffit et pour le reste vous aurez les indications au fur et à mesure ! »
Parmi ces fondamentaux nous incluons également et de fait toute l’œuvre de Mère, depuis les « Paroles d’Autrefois » à l’Agenda, en passant par les dizaines de volumes des « Entretiens », des milliers de pages de commentaires de l’Œuvre de Sri Aurobindo. Rappelons-nous toujours cela : Mère s’inspirait sans cesse et continuellement de l’œuvre de Sri Aurobindo. Jusqu’au bout l’œuvre et l’action de Sri Aurobindo auront été au cœur de son expérience évolutive.

L’Agenda de Mère
Beaucoup de gens entrent directement dans l’Agenda de Mère via l’œuvre de Satprem. Pour être direct, nous dirons de cette œuvre, nous parlons de celle de Satprem, qu’elle est très inspirée tant que que ce dernier était aux côtés de Mère. « L’Aventure de la Conscience » reste une œuvre majeure et une des meilleures introductions à l’œuvre de Mère et Sri Aurobindo. Cependant une série d’évènements malheureux ont ensuite engendrés une dérive libertaire et révoltée que traduisent les accents apocalyptiques des derniers écrits de Satprem. Alors que l’Agenda est plein d’une expérience où Mère ne cesse d’affirmer l’avènement d’une expérience terrestre et généralisée du supramental il semble que Satprem ait eu la tentation saugrenue de relayer Mère et de focaliser dans son propre corps l’expérience supramentale terrestre. Nombreux dès lors ont été les témoins des errances et des égarements de Satprem. Ceci dit nous lui devons une contribution importante pour l’autonomie d’Auroville, la transmission de l’Agenda (que l’on lira avec discernement pour ce qui est des notes déplacées et agressives dont Satprem émaille tristement le texte…), et un je ne sais quoi dans les accents de vérité, le souffle, le pathétique, l’écriture qui nous touche toujours et pour lesquels nous lui sommes profondément reconnaissant.

Donc pour en revenir à l’Agenda, il est évident que pour le comprendre, s’infuser de son expérience et partager l’aventure vivante de Mère, la meilleure chose à faire est encore une fois de lire l’œuvre de Sri Aurobindo. Qui d’ailleurs se trouve constamment en filigrane, vécue, commentée, convoquée, invoquée par Mère tout au long de son expérience des limites.

Quelles pratiques ?
D’abord que trouve-t-on dans l’environnement « aurobindonien » ?

1 – L’approche Yoga Intégral
C’est celle de l’Ashram, avec une consécration et un karma yoga à la fois personnel et collectif, un peu de méditation collective, beaucoup de méditation concentrée dans le service et le travail, et d’intenses pratiques sportives pour associer le corps à la Sadhana. Peu de « pratiques » en dehors de ces éléments qui accaparent déjà toute la vie des sadhaks. Nombreux sont ceux qui ont un petit « autel – oratoire » à la maison ou dans les chambres pour méditer individuellement. Enfin il y a les grandes dates de Darshan et autres anniversaires « commémoratifs » qui ponctuent la vie des sadhaks.

2 – L’approche Aurovillienne
Plus « libre », celle-ci a été orientée différemment par Mère, pour être plus accessible aux nouvelles générations, aux pionniers, aux jeunes, dans l’idée d’offrir un cadre plus créatif et en mouvement vers l’innovation et le futur. L’essentiel est d’être mobilisé par le souffle créatif et universaliste d’Auroville. Ceci dit on trouve toutes les approches, toutes les techniques et les pratiques spirituelles à Auroville, du Chi Qong, au Taï-Chi, aux arts martiaux, à la méditation Vipassana, au kundalini Yoga, sans parler de toutes les palettes thérapeutiques douces de la planète. Il reste que de nombreux aurovilliens gardent le fil d’ariane de l’enseignement de Sri Aurobindo et de Mère, et y acclimatent toutes sortes de façons de vivre très personnelles. Le mantra de Mère et Savitri, sont au cœur de nombreuses rencontres du noyau dur des aurovilliens.

3 – La tendance satprémienne
Depuis le décès de Satprem elle se fait plus discrète. Elle été [était] marquée par le côté libertaire et révolté de Satprem. Cette approche a séduit particulièrement les français qui ont été captivés par l’écriture, le feu du personnage et sa médiatisation par certains journalistes et éditeurs de l’hexagone. Les dernières œuvres publiées par Satprem poussent toujours plus loin sa révolte et la lutte furieuse et sombre qu’il a dû mener contre « La grande Mécanique ». Ceci dit un courant informel s’est inspiré de son approche libertaire, en y associant une rébellion intérieure contre la société et le système, et en prétendant s’affranchir de tous les cadres pour trouver « la vibration de vérité nue » qui suffit à guider sur le chemin. On minimise l’intellect, l’effort mental quand on ne le dénigre pas, on s’affranchit de toutes les conventions, de toutes les pratiques…

Finalement la question reste entière
On comprendra donc qu’il n’y a pas d’encadrement en terme de « techniques spirituelles » comme on peut en trouver dans d’autres écoles ou d’autres voies, avec les initiations par degrés, des stades bien balisés, des statuts et des reconnaissances qui vont avec.

Ceci dit pas d’encadrement, pas de techniques particulières… ne veut pas dire se contenter d’être ce qu’on est, avec une petite aspiration sporadique et révoltée, bon an mal an, comme nous l’avons vu souvent !
Alors si on se sent inspiré par l’Œuvre et l’Action de Sri Aurobindo et de Mère, mais que l’on [n’] a ni la volonté ni la possibilité de vivre à l’ashram ou Auroville, et que l’on ne se retrouve pas en affinité avec la voie révoltée et libertaire satprémienne comment fait-on pour vivre au quotidien le Yoga Intégral ?
Suite à venir… » Fin de l’article.
(Si l’article n’est plus reproduit ci-dessus, c’est parce que Ya. demanda sa suppression. Donc, aller immédiatement lire le texte à l’adresse internet indiquée plus haut.)


COMMENTAIRE DE L’ARTICLE

Au début de l’article il y a notamment la question : « Comment mettre en pratique concrètement ce yoga ? ». Il faudrait d’abord chercher à savoir ce qu’est ce dernier. C’est-à-dire que, avant même de chercher ainsi, il aurait fallu chercher à comprendre, intellectuellement, les grandes lignes de l’apport de Sri Aurobindo et la Mère et, en cas d’acceptation, chercher à savoir ce qu’est la pratique, le yoga. Visiblement, ça ne fut pas fait par l’auteur de l’article. Si ça l’avait été, il ne se serait pas retrouvé « perplexe » et s’interrogeant « pendant des années » et n’aurait pas posé ses questions du début. L’auteur cherche donc à mettre en pratique quelque chose dont il ignore presque tout et dont il n’a pas lu ou pas compris les abondantes indications concernant la mise en pratique. (Et l’article est pourtant publié sous le nom pompeux « Blog Sri Aurobindo et Mère France » !) L’ignorance, les idées fausses, l’inconscience, la vanité produisirent la suite de son article.


Lorsque Sri Aurobindo s’occupait des individus qui s’adressaient à lui, ce n’était pas seulement pour qu’ils aient « une vision » « toujours plus intégrale et ouverte ».

L’attitude de « surrender » n’est pas le « moteur central de la sadhana » car celui-ci consiste d’abord à suivre son psychique, à découvrir ce que c’est et à le prendre pour guide (et il y a la suite). C’est pour arriver à faire cela qu’il faut l’attitude dite de surrender. Ordinairement, elle commence petitement puis se développe. Cette attitude n’est pas « totale » dès le début ni pendant très longtemps après celui-ci. Le mot « totale » qui est dans « l’attitude de totale "surrender" » montre ainsi que l’auteur ne sait pas de quoi il parle. C’est pareil pour le mot « préliminaire » et c’est même pire. Si Ya. avait cherché à comprendre ce que signifie « surrender », il aurait eu la réponse à ses questions du début mais il glisse là-dessus, se retrouve ailleurs (et finit son article en étant encore avec ses questions du début).
De la lecture, au moins partielle, de « l’œuvre de Sri Aurobindo », Ya. dit que « l’énergie particulière qui l’habite infuse en nous une forme de connaissance intuitive interne qui touche notre être psychique et contribue directement à notre sadhana. Au fur et à mesure de la lecture, nous intériorisons et comprenons l’œuvre, l’action et le travail ». Ce passage dans un tel article signifie que Ya. se raconte des histoires (et cet emploi du nom « être psychique » en fait partie). Il s’imagine des choses et il met ce qu’il a lu au service de lui-même. L’existence de cette attitude de Ya. est confirmée dans la suite de son texte. L’auteur a créé un pompeux « Centre Sri Aurobindo et Mère France » dont l’adresse internet est sriaurobindo-france suivi par .com . Si l’idée de le créer était venue de son psychique, se serait-il retrouvé en train de demander une autorisation à l’Ashram de Pondichéry !? L’avoir fait montre que l’auteur ne comprend pas ce qui peut venir ainsi de son intérieur et montre aussi ce qu’il pense de l’Ashram. La réponse, telle que rapportée dans l’article commenté, faite par l’ashramite, est donc ceci : « faites comme vous le sentez, si vous avez lu et compris de l’intérieur l’œuvre de Sri Aurobindo et de Mère et que vous vous sentez inspirés, cela suffit et pour le reste vous aurez les indications au fur et à mesure ! » C’est utilisé par Ya. comme soutenant sa position. Pourtant, en elle-même, elle ne dit pas forcément cela puisque, par exemple, elle peut se rapporter à ce qui provient du psychique mais pas à ce qui provient de l’incompréhension, de l’inspiration par celle-ci et l’orgueil, et du sentiment qui va avec. (Sur le Blog S. A. et M. France, dans celle des « Catégories » d’articles qui est titrée « Présentation », il y a l’article du 10 mars 11, ou du 3 octobre ?, qui est titré : « Avec un administrateur de l’Ashram : Manoj Das Gupta ». Dans les paroles de celui-ci, telles que rapportées, il y a ceci « Faites ce que vous ressentez » et « Faites donc comme vous sentez, avec votre sincérité ». Dans la bouche d’une telle personne qui a, normalement, le vocabulaire de Sri Aurobindo et la Mère, ce mot « sincérité » désigne ce qui est conforme au psychique, conforme à l’indication qui en vient, et c’est correct.)

L’auteur écrit d’abord : « Mère s’inspirait sans cesse et continuellement de l’œuvre de Sri Aurobindo. Jusqu’au bout l’œuvre et l’action de Sri Aurobindo auront été au cœur de son expérience évolutive ». Plus loin, il écrit : « l’œuvre de Sri Aurobindo [...] se trouve constamment en filigrane, vécue, commentée, convoquée, invoquée par Mère tout au long de son expérience des limites ». Il y a « l’œuvre et l’action » mais il y a aussi deux fois seulement « l’œuvre ». Que désigne ce dernier mot ? Est-ce que ce sont seulement les écrits de Sri Aurobindo ? Par ailleurs, ces manières de s’exprimer font passer un peu l’idée que la Mère aurait été seulement une disciple de Sri Aurobindo.

« Beaucoup de gens entrent directement dans l’Agenda de Mère via l’œuvre de Satprem. » (Il y a deux éléments, se mettre à lire l’Agenda comme premier livre ou l’un des premiers, et le faire comme conséquence de la lecture d’un ou plusieurs livres de Satprem.) Globalement, ce qui est dit est vrai alors qu’il faudrait commencer par le début.

Ce qui est dit ensuite de Satprem est mauvais.
Celui-ci n’eut pas l’idée de « relayer Mère et de focaliser dans propre corps l’expérience supramentale terrestre » mais il se trouva que, continuant de s’offrir au supramental, quelque chose se passa en lui qui, finalement, fit faire la suite, fut la suite, de ce qui s’était passé en la Mère à propos de manifestation supramentale. Ya. ne le comprend pas et il montre ainsi une fois de plus qu’il ne comprend rien à l’action d’autre chose de ce genre qui se passe en soi. Par exemple il y a ce que Sri Aurobindo appelle la Force de la Mère que l’on peut sentir descendre en soi et qui réveille la koundalini qui se met à monter. Pour cela, il faut s’occuper de s’ouvrir toujours plus et, ensuite, il y a les conséquences naturelles, spontanées, des ouvertures et leurs propres conséquences. Et il y a aussi la suite. L’auteur est complètement étranger à tout cela.
Des individus qui font des reproches concernant certains éléments de Satprem admettent complètement la véracité de ses comptes-rendus concernant l’action supramentale en lui. (Exemple : au site Ohoettilto.) Ya., lui, mélange tout cela dans son reproche. Cette action supramentale en Satprem ne fut pas une focalisation et ne fut pas en contradiction avec ce qui est dit avoir existé pour la Mère : « l’expérience terrestre et généralisée du supramental ».
Ya. montre que, dans le fond, il est du camp de l’Ashram auquel il eut l’idée saugrenue d’aller demander une autorisation d’agir. C’est parce qu’il est de ce camp qu’il trouve (qu’il répète ?) que, dans l’Agenda, il y aurait « des notes déplacées et agressives » et qu’il y aurait eu une « série d’évènements malheureux » après 73.
En plus, autre erreur, c’est à cette prétendue série qu’il attribue la partie dite « libertaire et révoltée » de Satprem alors qu’elle datait d’avant 73. En outre, elle n’est pas condamnable, contrairement à ce qu’exprime Ya. qui, en plus, la dit être à l’origine de ce qu’il appelle « accents apocalyptiques ».

« [...] l’Agenda, il est évident que pour le comprendre, s’infuser de son expérience et partager l’aventure vivante de Mère, [...] » Ce passage dans un tel article signifie que l’auteur de ce dernier se raconte des histoires, s’imagine des choses, et qu’il met ce qu’il a lu au service de lui-même.

Par ailleurs, l’auteur dit que le « Yoga intégral » se pratiquerait seulement à « l’Ashram ». C’est parce qu’il est du camp de celui-ci qu’il dit cela. Dans ce que dit l’auteur, il y a le sous-entendu que tout ashramite pratiquerait ce yoga. Celui-ci se ferait par les comportements extérieurs énoncés. L’auteur place « karma yoga » à côté des autres éléments indiqués, montrant qu’il n’a pas compris ce qui est appelé ainsi. En bref, il n’y a rien de l’essentiel, rien qui permettrait de savoir ce qu’est celui-ci. Ce n’est pas étonnant puisque l’auteur n’a pas compris ce que c’est et que c’est la cause de son article.
L’auteur dit que, pour de « nombreux aurovilliens », « le fil d’ariane » serait « l’enseignement » « de Sri Aurobindo et de Mère ». Est-ce que c’est ce qu’on lui raconta ou est-ce qu’il déduisit cela ? Il ne parle pas de suivre son psychique. Il ne parle pas de suivre ladite « Conscience divine » dont il est parlé dans la Charte d’Auroville (« il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine »). L’auteur ne va pas à l’essentiel. En outre, suivre « l’enseignement » est compatible avec la pratique du « Yoga intégral » qui ne serait donc pas réservé à l’Ashram.
Dans ce que l’auteur appelle « tendance satpremienne », il mélange les satprémistes et les non-satprémistes. Ainsi, l’aspect « libertaire et révolté » peut convenir aux membres des deux courants et, en plus, des individus des deux courants n’eurent pas besoin de Satprem pour se retrouver dans la position de « rébellion intérieure contre la société et le système » (sans s’interroger sur cette différence faite entre « société » et « système »). Ce qui relève du satprémisme, c’est l’idée de trouver « "la vibration de vérité nue" qui suffit à guider sur le chemin » (quels que soient les mots employés), alors que l’on ne s’occupe pas de trouver en soi l’indication qui provient de son psychique et de la suivre. Ce qui relève aussi du satprémisme est : « On minimise l’intellect, l’effort mental quand on ne le dénigre pas ». L’auteur aurait pu dire : on rejette « l’intellect, l’effort mental », au nom du rejet du « bocal » mental et vital, etc.
Si l’auteur s’était occupé de l’essentiel, il aurait pu chercher à savoir comment il était vécu à l’Ashram, à Auroville et ailleurs dans le monde. Il n’aurait pas pu établir un comportement-type pour chacun de ces trois lieux car il y a les variations selon les individus.
En plus, l’auteur distingue donc d’abord deux lieux, l’Ashram et Auroville puis « la tendance satpremienne » qui n’existe pas à l’Ashram mais qui pourrait exister à Auroville. Est-ce qu’il fait comme si elle était la seule manière d’être dans tout le reste du monde pour les individus intéressés par Sri Aurobindo, etc. ? Non ! mais c’est plus loin qu’il l’indique, comme suit.

L’auteur dit que, lorsque l’on n’a « ni la volonté ni la possibilité de vivre à l’ashram ou Auroville, et que l’on ne se retrouve pas en affinité avec la voie révoltée et libertaire satprémienne comment fait-on pour vivre au quotidien le Yoga Intégral ? » Si quelqu’un a son psychique qui le pousse à aller à l’Ashram ou à Auroville mais qu’il n’en a pas « la possibilité », il cherche à se créer celle-ci jusqu’à pouvoir y aller car, sinon, il se trahit, il trahit son psychique. Mais l’auteur ne parle pas de ce cas parce qu’il n’imagine même pas que ça puisse exister. Il y a probablement un équivalent pour son mot « volonté ». L’auteur ne parle pas de quelqu’un dont le psychique ne le pousse pas à aller à l’Ashram ou à Auroville mais il n’envisage que le cas de quelqu’un qui ne veut pas y aller, quelle que soit la cause de cette volonté, quelle que soit l’origine de celle-ci. Ce que dit l’auteur peut correspondre à quelqu’un dont le psychique le pousse à aller à Auroville mais qui ne décide pas d’y aller, qui ne veut pas y aller, car il veut continuer de vivre avec beaucoup d’argent, ou car il veut rester avec son partenaire de vie qui ne veut pas y aller, ou pour d’autres motifs.

Une cause des questions de l’auteur est qu’il n’a pas cherché à comprendre les écrits de Sri Aurobindo et la Mère.
Une cause plus profonde est qu’il ne s’est jamais retrouvé en situation de constater que la voie indiquée par eux était celle qu’il devait suivre. S’il avait constaté cela, il aurait cherché à savoir ce qu’il devait faire pour y avancer et il se serait mis à agir en ce but. Il n’y a pas besoin d’avoir lu de nombreux livres pour commencer. (On peut même commencer sur la voie de suivre son psychique et de faire d’autres progrès avant de connaître quoi que ce soit à propos de Sri Aurobindo et la Mère et de psychique.)
L’auteur a une position qui lui fait avoir ses questions et ses absences de réponse. Dans la fin de l’article, elle est indiquée ainsi : « si on se sent inspiré par l’Œuvre et l’Action de Sri Aurobindo et de Mère ». Se dire « inspiré » signifie que l’auteur ne s’est pas mis au service de l’action évoquée, ne s’est pas mis à pratiquer ce qui est indiqué, mais qu’il met des apports de Sri Aurobindo et la Mère à son service. Il en utilise des éléments pour agir selon les décisions de son mental et son vital, quoi qu’elles soient.

L’auteur avait dit que c’était seulement à l’Ashram que se pratiquait le Yoga Intégral mais finalement, il demande « comment fait-on pour vivre au quotidien le Yoga Intégral » ailleurs qu’à l’Ashram ou à Auroville.
S’il continue d’agir selon son ego en s’inspirant de ce qui est indiqué, pourrait-il finir par trouver ?
Il pourrait trouver s’il acquerrait la position contraire suivante : « si on se sent » intéressé « par l’Œuvre et l’Action de Sri Aurobindo et de Mère », etc., « comment fait-on pour vivre au quotidien le Yoga Intégral ? ». Il faudrait alors commencer par se mettre enfin à chercher à comprendre.

Il faut comprendre que l’évolution n’est pas terminée, que la suite est indiquée par Sri Aurobindo et la Mère qui firent aussi le pas décisif pour le changement, qu’en Satprem exista la suite la plus avancée de la manifestation supramentale, que l’on peut contribuer à favoriser l’évolution promue par Sri Aurobindo et la Mère si on le décide. Alors, on se demande comment faire pour contribuer, comment se mettre au service de cela. (On peut formuler autrement.) La réponse n’est pas forcément d’aller à Auroville, contrairement à ce que pensent certains individus, à Auroville et ailleurs.
Connaître ce qui concerne le psychique est important, pour ensuite agir, ou continuer à agir, en conséquence. Entretiens 57, 16.1.57, p. 22. « […] du moment même de la naissance dans un corps physique, il y a dans l’être, au fond de l’être, cette présence psychique qui pousse tout l’être vers cet accomplissement. Mais qui le sait et qui le connaît, cet être psychique ? Ça aussi, cela ne vient que dans des circonstances particulières, et malheureusement la plupart du temps il faut que ce soit des circonstances douloureuses, autrement on se laisse vivre sans réfléchir. Et dans le fond de son être, on a cet être psychique qui cherche, cherche, cherche à éveiller la conscience et à rétablir l’union. On n’en sait rien. » Sur le site http://ohoettilto.free.fr, il y a un article concernant ce sujet. L’adresse exacte est ceci : http://ohoettilto.free.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=89:-concernant-le-psychique-idee-pour-saa-65-p-en-caract-14&catid=90:le-psychique-idees-pour-des-editions&Itemid=153
Il faut aussi connaître ce qui est appelé la Mère. Pour cela, lire le livret titré La Mère. Son premier paragraphe est ceci. « Seuls deux pouvoirs, par leur conjonction, peuvent accomplir la grande et difficile tâche qui est le but de notre effort : une aspiration constante et infaillible appelant d’en bas, et une grâce suprême répondant d’en haut. » On peut aussi lire Sri Aurobindo parle de la Mère, au moins son début.
On peut lire aussi ce qui concerne « Plans et Parties de l’Être ». À ce sujet, il y a aussi un article spécial sur le site Ohoettilto. L’adresse exacte est ceci : http://ohoettilto.free.fr/index.php?option=com_content&view=article&id=90:concernant-qplans-et-partiesq-52-p-en-caract-14&catid=91:qplansq-idees-pour-des-editions&Itemid=154
On peut lire aussi les textes où est racontée la formation de l’univers, où il y a notamment les quatre premiers émanés. Il faudrait faire un livret pour les regrouper.

Maintenant, voici des cas pratiques pour Ya.

Ils concernent le projet Aurovillage dont l’adresse principale est formée de 3w suivi par un point puis par Aurovillage.org . Une autre page internet est indiquée plus loin.

Premièrement, faut-il supprimer « Auro » qui est au début du nom « Aurovillage » ?
Auroville est une ville en construction qui fut créée par la Mère et avec des buts spéciaux. Il y a le Matrimandir dont elle indiqua en anglais : « Construisez le Matrimandir, mettez mon symbole en place et celui de Sri Aurobindo, et le globe. Je prends sur moi d’en faire un centre très fort. » Il ne peut donc exister qu’une seule Auroville.
Or, Ya. est en train de créer en Afrique un lieu qui est appelé « Aurovillage ». Lorsqu’il place « Auro » au début d’un autre mot, il a l’idée de faire une sorte de copie, au moins une singerie d’Auroville. L’auteur s’est « inspiré » de « l’Œuvre et l’Action » de la Mère pour faire ce qui lui plaît. Il met cela à son service. L’auteur, sur son blog titré « Blog Sri Aurobindo et Mère France » publie un article titré « Auroville-monde » dans lequel il y a ceci : « Il ne fait aucun doute que l’expérience incarnée par Auroville prendra d’autres formes en différents points du monde. » L’auteur n’a pas compris ce qu’est Auroville. (Sur son Blog, il indique d’autres singeries. De tels projets existèrent dès les années qui suivirent la création d’Auroville.)
Le reste du nom « Aurovillage » ne vaut pas mieux. L’auteur ne pouvait pas dire ville puisque le nom Auroville était déjà pris et que ça aurait trop montré le caractère de copie. Alors, il plaça village, qui correspond quand même à ville (et qui montre aussi que Ya. sait que son projet ne pourrait qu’avoir moins d’ampleur). Le nom « Aurovillage » sans « Auro » deviendrait « village » et ce n’est pas un vrai nom de village. Tout le nom s’écroulerait.
Pour Ya., le cas pratique est donc, face à la question posée ci-dessus, de savoir ce que dit son psychique, ce que dit son mental, ce que dit son vital. Lorsqu’il aura fait les distinctions, il lui faudrait suivre l’indication de son psychique, (la vraie indication, pas celle du mental et du vital recouverte à tort par le mot psychique). S’il le fait, son psychique sera davantage exprimé dans sa vie, c’est-à-dire qu’il sera dans une situation qui permettra à son psychique de pouvoir s’exprimer encore plus, jusqu’au moment où un autre problème apparaîtra au premier plan et qu’il faudra solutionner pareillement, etc. Chaque pas de ce genre fait dans la présente vie fait quelque chose qui est gagné pour la vie suivante.
Ici, il est pensé qu’il faut supprimer « Auro » qui est au début du nom « Aurovillage » mais que dira Ya. ?

Deuxièmement, que le nom soit changé ou non, que vaut le projet de ce qui est actuellement nommé « Aurovillage » ?
Un « plant », une pousse, de l’arbre banyan qui est au centre d’Auroville fut prise et transportée pour être planté à Aurovillage. Rien que cela montre qu’il y a l’idée de faire une sorte de copie, au moins une singerie d’Auroville, en recevant les transformations apportées volontairement par l’auteur. (Il est dit que ce plant sert à « matérialiser le lien symbolique entre l’Aurovillage et Auroville ». Quel est ce « lien symbolique » ? C’est celui d’un copiage, qui reçoit des transformations volontaires.) Aurovillage est présenté comme étant « en lien avec l’expérience d’Auroville en Inde » et, dans la partie « Liens », il y a « Auroville, notre référence ». Dans l’Aurovillage, est prévue la construction d’un « Institut Mirafrica ». Il est parlé du but de « l’unité humaine » (en plus de l’unité africaine). Des individus peuvent recevoir la disposition d’un morceau de terrain et se faire construire une maison mais sans en être propriétaire, (la propriété restant au propriétaire d’Aurovillage).
Faire des imitations grotesques de ce qui se passe sur d’autres continents est un aspect de l’Afrique noire depuis plusieurs décennies mais ce n’est pas le meilleur de cette Afrique.
(Dans ce village, l’aspect copie d’Auroville reçoit des transformations volontaires, notamment les suivantes. L’équivalent du Matrimandir est une pyramide inspirée de celles d’Égypte, Sri Aurobindo et la Mère à l’origine d’Auroville sont remplacés par quelques « grandes figures de l’humanisme africain », mais c’est Ya. qui fait cela, qui est le fondateur d’Aurovillage dans lequel il est prévu qu’il ait sa « Maison » de « directeur du centre ». Voir le plan en bas de la page d’accueil du site Aurovillage.org . Il est prévu un espace dans le nom duquel il y a « St Jean », nom utilisé dans plusieurs religions chrétiennes, peut-être dans toutes.)
Même si le nom « Aurovillage » était changé, faut-il supprimer aussi le reste de l’aspect copie d’Auroville ? Face à cette question, le cas pratique pour Ya. est le même que ci-dessus. Ici, il est pensé que la réponse est oui mais que dira Ya. ?

Troisièmement, dans son village en construction Ya. parle de Sri Aurobindo et la Mère aux gens présents. Ça se fait notamment à travers les références à Auroville. Pour les jardins de l’Aurovillage, il est dit « De nombreux arbres, arbustes et fleurs dont les qualités et les attributs ont été décrits par Mère, la fondatrice d’Auroville ». Le groupe africain « Mouvement Sénéwé » agirait dans Aurovillage et il en est dit qu’il « se fonde sur une palette de concepts et d’outils réunis dans le cadre de l’approche intégrale évolutive inspirée de la vision de Sri Aurobindo et la Mère ». Dans l’article du Blog titré « Sri Aurobindo et Mère en Afrique de l’Ouest ! », Ya. dit avoir reçu à l’Aurovillage un premier colis de livres envoyés par Sabda, de l’Ashram. « Une cinquantaine de livres, dont une majorité de petits livrets de compilation sont bien arrivés. Pour l’instant nous allons diffuser quelques ouvrages auprès d’amis et familiers, [...]. » Ces livrets surtout sont faits pour être distribués. Vu la très mauvaise connaissance que Ya. a des apports de Sri Aurobindo et la Mère, vu qu’il ne pratique rien de véritable, vu qu’il se raconte des histoires, il ne peut que transmettre des erreurs. Fait-il de l’endoctrinement ? Si oui, celui-ci serait fait avec sa propre conception.
En tout cas, même si le projet d’Aurovillage n’avait plus aucun élément de copie d’Auroville, Ya. devrait-il cesser d’y parler de Sri Aurobindo et la Mère ? Ici, il est pensé que oui mais que dira-t-il ?

Quatrièmement, en admettant que l’aspect copie d’Auroville soit supprimé, notamment le début du nom du village, et qu’il ne soit plus parlé de Sri Aurobindo et de la Mère, de supramental, que vaut le projet ? Ici, on n’en sait rien. Est-ce que Ya. n’y trouverait plus aucun intérêt !? Il resterait un projet avec de l’écologie comme grand critère, image qui est donnée à Auroville par le projet Aurovillage. Il y a aussi les mots d’unité africaine et d’unité humaine. Il y aurait tout le fatras intellectuel de Ya. qui se perçoit dans des articles de son Blog. Peut-être que, s’il était enlevé, et que si tout ce qui est artificiel l’était, quelque chose de bien pourrait exister. Ya. pourrait aussi apprendre à s’ouvrir au vrai en commençant par se débarrasser des éléments mauvais qui encombrent, qui font de la fermeture, de l’enfermement.

Ce quatrième cas pratique est le dernier.

Ce qui suit concerne des éléments qui sont dans les commentaires qui, sur la page internet du blog de Ya., sont placés, par des lecteurs, sous l’article titré « Quelles pratiques pour le yoga intégral ? ».
Il n’y a pas besoin d’avoir tout lu, ni même d’avoir lu beaucoup pour se retrouver engagé et faisant des progrès en conséquence de ses efforts faits selon les indications.
Il n’y a pas besoin de lire La Vie divine si ça ne correspond pas à son propre mental. Les six derniers chapitres (le quatrième tome français) sont plus faciles à lire, furent traduits par la Mère et publiés sous le titre L’évolution spirituelle. On peut aller fouiller dans les autres chapitres pour chercher des informations spéciales, par exemple quelque chose concernant le prétendu dieu créateur des religions monothéistes.
« concentration assidue dans le chakra du cœur ». Ce qui est appelé ainsi est le centre du vital supérieur et ne correspond donc pas au psychique. Si la « compilation » indiquée parle de « chakra du cœur » à propos du psychique, il y aurait de l’incompréhension des textes compilés. Mais est-ce que c’est l’auteur du commentaire qui s’exprime mal, ou qui n’a pas compris la compilation !?


AUTRES INFORMATIONS

LES SOUTIENS D’AUROVILLAGE, À AUROVILLE ET AILLEURS


Le projet Aurovillage est soutenu à Auroville et par d’autres personnes. Surtout s’ils ne reprochent pas l’aspect copie d’Auroville, c’est qu’ils ne valent pas grand chose actuellement.

Pour connaître des soutiens annoncés, auroviliens ou non, il faut aller sur plusieurs pages internet de Ya.
Aller sur la page d’accueil d’Aurovillage (3w suivis par aurovillage.org), puis cliquer sur le titre de gauche « Bienvenue sur le site en français ». On arrive sur une page où, vers le haut il y a les titres de pages qui sont chacun dans un cadre, sur deux lignes de cadres. En cliquant sur le bouton « partenariat Auroville », on arrive sur une page avec des photographies d’Auroviliens. Le dernier bouton de la deuxième ligne est « Le Blog ». En cliquant dessus, on arrive sur une page où, dans la colonne de droite, le troisième titre écrit dans une ligne épaisse orange est « Remerciements ». Dessous, il y a une liste d’individus présentés comme des soutiens.
Pour en connaître d’autres, il faut aussi aller sur le « Blog Sri Aurobindo et Mère France ». Dans la colonne qui est à droite, il y a des catégories, chacune correspondant à des articles. Fouiller dedans.

D’abord, certains individus indiqués sont visiblement des soutiens.
Pour d’autres, on ne sait pas. Il y a des Auroviliens qui se retrouvèrent photographiés à côté de Ya., à la demande de celui-ci, peut-être sans savoir ce que celui-ci allait faire dire à ces photos alors que le projet ne leur avait peut-être pas été présenté tel qu’il apparut ensuite ou alors qu’ils émirent des réserves ou de l’opposition. Il y a aussi des individus qui ne sont pas Auroviliens et qui sont présentés comme soutiens alors qu’ils ne le sont peut-être pas. Ici, tous ces individus ne sont pas considérés comme de vrais soutiens tant qu’ils ne se seront pas présentés expressément comme tels.(Si des individus présentés sur les pages internet de Ya. comme étant des soutiens d’Aurovillage ne le sont pas ou ne veulent plus l’être, ils peuvent demander à Ya. de supprimer leur nom de ses pages. En cas de refus, se faire connaître au site Ohoettilto qui publiera leur nom après un contrôle pour savoir qui est vraiment l’auteur de la demande.)

Parmi les vrais soutiens qui sont à Auroville, et qui sont indiqués dans divers articles de pages de Ya., il y a notamment Georges van Vrekhem. Son hostilité à Satprem et d’autres aspects sont présentés dans l’article du site Ohoettilto dont le titre est Appel pour de grands changements.
Il y a aussi les membres du groupe nommé « Pavillon de France ». Sur le site de celui-ci, à la page « partenaires », on voit que le soutien est apporté à Aurovillage en tant que « Centre écologique international Aurovillage ». Il n’y a pas seulement un soutien puisqu’Aurovillage est considéré comme l’un des « partenaires » du « Pavillon de France ». (Un vrai Pavillon de la France dans la zone internationale d’Auroville ne ferait pas cela.)
Il semble qu’il y ait aussi un ou plusieurs membres de l’équipe de la Revue d’Auroville puisqu’il est écrit ceci : « nous avons eu ce matin une rencontre avec une journaliste d’Auroville-presse pour remettre des photos liées à la parution d’un prochain article sur l’Aurovillage dans la Revue d’Auroville ». (Blog S. A. et M. France, catégorie « voyages », article du 27 février 12 titré « Dans le toboggan d’énergie d’Auroville ».) Voir si au moins un article existe dans cette revue et s’il est favorable.
Comme soutiens, il y a des gens qui s’occupent de la zone internationale d’Auroville et qui sont dans ce qui est nommé Pavillon de l’Unité. (Blog S. A. et M. France, catégorie « voyages », article du 19 mars 11 titré « Auroville : le Pavillon de l’Unité ».) Des photographies montrent une exposition dans celui-ci, qui exista et qui existe peut-être encore. Elle concerne la Z. I. Elle est faite par de grands panneaux le long des murs et ailleurs. Sur l’un d’eux, il est parlé d’Aurovillage.
Il y a aussi Auroville en elle-même (indépendamment de l’idée personnelle que peuvent avoir certains de ses habitants), puisque, selon Ya., dans « le nouveau guide officiel d’Auroville », titré The Auroville Handbook, il serait parlé d’Aurovillage dans « le cadre d’une présentation du Pavillon Africain ». (Blog S. A. et M. France, catégorie « présentation », article du 13 mars 11 titré « L’Aurovillage cité dans le guide officiel d’Auroville ! »)

Comme indiqué au début du présent texte, voici quelques lignes qui proviennent du Complément et qui forment le présent bloc de paragraphes.
Le site internet pour Aurovillage est 3w suivis par aurovillage.org . Dessus, le symbole d’Auroville est utilisé, placé sur des images de l’Afrique, centré sur le lieu d’Aurovillage au Burkina Faso. (Il l’est dans la même position mais même s’il avait été placé à l’envers, ça n’aurait rien changé.)
Auroville soutient le projet Aurovillage. Il y a deux possibilités.
Si elle ne donna pas son accord pour l’utilisation de son symbole pour ce projet, elle devrait interdire celle-ci et s’occuper de donner effet à cette décision. Visiblement, elle ne le ferait pas et elle aurait tort.
L’autre possibilité est qu’Auroville ait donné son accord. La situation serait encore plus mauvaise pour cette ville.
Car cette utilisation du symbole est un abaissement d’Auroville, qui est mise au même niveau que l’Aurovillage en cours de construction.
Ce sont forcément des ennemis d’Auroville qui n’agissent pas ou qui autorisèrent, même s’ils sont des Auroviliens.
Il n’y a pas que des Auroviliens qui sont concernés par l’affaire.
Chercher à connaître la situation et à la révéler publiquement.

À l’Ashram de Pondichéry, il y a aussi de vrais soutiens d’Aurovillage. Fouiller dans les articles et voir dans la liste de noms d’individus qui est sous le titre « Remerciements » écrit dans une ligne épaisse orange et indiqué plus haut.


LES « INSPIRATEURS » DE L’IDÉE D’AUROVILLAGE À YA.

Sous le titre « Remerciements », il n’y a pas que des soutiens car la dernière phrase est ceci : « Et un hommage appuyé à nos inspirateurs que sont Richard et Kailash de l’Ashram Sri Aurobindo de Pondicherry ». Ces deux individus sont des blancs comme on peut le voir sur la photographie qui est dans un article du 13 mars 11 qui est dans la catégorie d’articles « Présentation » du Blog S. A. et M. France. Il est titré « Avec Richard et Kailash ». Ceux-ci vivent depuis très longtemps à l’Ashram. Pour ces ashramites, est-ce qu’ils donnèrent l’idée comme moyen de lutter contre Auroville ? Est-ce que ce fut un moyen indirect pour tenter de la dévaloriser et de la ridiculiser ? Cela dit, est-ce qu’ils furent vraiment les inspirateurs ou est-ce que c’est seulement Ya. qui dit cela d’eux ? Par ailleurs, celui-ci exprime ainsi que l’idée de créer Aurovillage ne lui vint pas de son intérieur, quelle qu’en soit la partie, psychique ou autre. Comme ça se voit dans d’autres expressions de Ya., il est un instrument volontaire de l’Ashram de Pondichéry.


LA NÉGATION PAR YA. DE L’ESSENTIEL DE SATPREM

Sur le Blog S. A. et M. France, dans celle des « Catégories » d’articles qui est titrée « Auteurs », il y a un article titré « Et Satprem ? » qui date du 13 août 12.
Il montre que l’auteur ne comprend pas, ne pratique pas, mais se raconte des histoires. Ça commence dès le début qui est ceci : « Comme tous ceux qui ont intégré, ou qui tentent d’intégrer avec autant de bonne volonté possible l’Action évolutive de Sri Aurobindo et de Mère comme fondation de leur histoire de vie, [...]. » Dans la suite, il y a d’autres expressions (et l’on apprend que l’auteur fut, selon ce qu’il écrit, un satprémiste parmi les pires).
C’est à cause de son état que, malgré les expressions « job de Sri Aurobindo et Mère » et « travail de Mère [...] et celui concomittant de Sri Aurobindo », il voit surtout du « message » : « le message de Mère », « Le message essentiel du supramental », « le message majeur de Sri Aurobindo et de Mère ».
Ce message concernerait « la plus grande émancipation imaginable de l’humanité », « cette émancipation fondamentale ».
« Hors [Or,] ce processus, depuis le départ de Mère, n’est plus porté par une "personne", mais par la terre et tous les êtres humains. » « Nous n’avons plus besoin de complot fondateur et d’un sauveur qui continue l’expérience. Nous sommes tous l’Expérience ! » (Et c’est l’auteur qui dit ne rien pratiquer qui dit cela ! C’est parce qu’il ne comprend pas ce qui est en jeu et se raconte des histoires. Est-ce qu’il y eut un « complot » ? Premières questions : Est-ce que Satprem fut empêché d’aller voir la Mère durant les derniers mois ? Autrement dit, est-ce que la Mère eut l’interdiction de recevoir Satprem, et alors qu’elle en avait besoin ? Par ailleurs, la conception selon laquelle une action de Satprem aurait consisté à imaginer un complot qui correspondrait à un « complot fondateur » pour qu’il puisse alors se présenter en « sauveur qui continue l’expérience » ne tient pas debout. Et, cela, non seulement parce qu’il y eut vraiment des actions ashramites de rejet de Satprem mais parce que ce n’est pas celui-ci qui décida de continuer « l’expérience ». Il continua de s’offrir au supramental, et ce fut la pointe avancée de celui-ci en manifestation qui s’activa en Satprem, de telle manière que ça fit une continuation de ce qui s’était passé en la Mère, comme l’avait indiqué celle-ci. Et cela ne signifie pas que personne avant 73 ne sentait ce que Sri Aurobindo appelle la Force de la Mère agir en lui et ses suites. Voir des livres.)
Ya. désapprouve donc Satprem et les individus qui pensent qu’il est « un "continuateur" de l’expérience supramentale de Mère ». (Ça correspond à : la pointe avancée de la manifestation supramentale a continué d’agir, en Satprem. On peut peut-être trouver une expression meilleure que « pointe avancée ».)
Un argument de Ya. est : « Il suffit d’ouvrir les yeux pour voir l’effectivité inouïe de ce processus à tous les niveaux de la réalité ». Vu ce qu’est l’auteur, lorsqu’il dit cela il se raconte des histoires.
Un autre argument est : « Et que depuis le retrait de la Force incarnée par Mère à Pondichéry, tout est en marche partout et en tous. » Pourquoi dire « depuis » ? Avant, rien n’aurait-il existé en des êtres humains autres que la Mère !? L’auteur ne sait pas de quoi il parle !
Un autre argument est : « Il suffit de bien lire l’Agenda pour comprendre que le job a été fait ! » Est-ce que les citations suivantes pourraient faire penser différemment ? Agenda, tome 2, 4 février 61 : « Voilà, mon petit, ne te fais pas de soucis, TU ES SÛR, n᾿est-ce pas, tu es sûr non seulement d᾿avancer mais d᾿arriver au bout. ». Agenda, t. 13, 10 janvier 73 : « Toi, tu iras jusqu’au bout ». Agenda, t. 12, 14 avril 71 : « Et toi, mon petit, c’est ton destin. C’est ton destin : que tu deviennes conscient et que tu manifestes le Divin – c’est ton destin. » Indépendamment de citations, Ya. montre qu’il n’a pas compris la place de Satprem, sa fonction, comme premier humain, etc. Il montre aussi qu’il n’y a pas en lui d’élément de compréhension pouvant lui faire admettre ce qui se passa en Satprem, ni d’élément d’une autre sorte. Ça se comprend puisqu’il dit lui-même implicitement ne rien pratiquer.
L’auteur dit que le changement d’opinion qu’il eut concernant Satprem lui arriva d’abord par l’influence de sa femme.
Après, semble-t-il, il lui arriva aussi par l’Ashram de Pondichéry. Sur le Blog S. A. et M. France, dans celle des « Catégories » d’articles qui est titrée « Présentation », il y a l’article du 10 mars 11 (ou du 3 octobre ?) qui est titré : « Avec un administrateur de l’Ashram : Manoj Das Gupta ». (C’est le compte-rendu d’un entretien avec cet ashramite, celui qui indiqua qu’il n’y avait pas besoin d’autorisation de l’Ashram pour créer le Centre Sri Aurobindo et Mère France de Ya.). Dedans, il y a notamment ceci. « Il n’y a pas d’enseignants labellisés, de "continuateurs" ou de personnes qui ont plus que d’autres la légitimité de faire connaître l’enseignement et l’action de Sri Aurobindo et Mère. » « surtout ne donner [donnez] jamais de crédit à la prétention de qui que ce soit, de l’Ashram ou d’ailleurs, de représenter l’enseignement de Sri Aurobindo et Mère. » Il est parlé seulement d’enseignement mais on comprend, par le mot « continuateur » qui n’en concerne pas principalement, que c’est Satprem qui est évoqué, au moins en premier. C’est une opposition à lui qui est indiquée.
(Pour un individu, le refus d’admettre que, en Satprem, il y eut la suite de ce qui, dans la manifestation en cours, avait existé en la Mère correspond peut-être à avoir de la fermeture au moins partielle à l’action supramentale. Si c’est le cas, et si le refus continue, il produira peut-être tôt ou tard des effets.)


AUTRE MOYEN DE CONSTATER QUE YA. NE COMPREND PAS ET SE RACONTE DES HISTOIRES

Ci-dessus, il y a des citations où il y a « ce processus, depuis le départ de Mère, n’est plus porté par une "personne", mais par la terre et tous les êtres humains. » « Nous sommes tous l’Expérience ! », « depuis le retrait de la Force incarnée par Mère à Pondichéry, tout est en marche partout et en tous. » Pourquoi ces deux « depuis » ? Avant, rien n’aurait-il existé en des êtres humains autres que la Mère !? L’auteur ne sait pas de quoi il parle et se raconte des histoires !
La même position est exprimée dans le Blog S. A. et M. France, dans la catégorie d’articles « Présentation ». Il y en a un du 3 juin 11 qui est titré « Dans l’atmosphère de Mère et Sri Aurobindo ». Ya. y parle d’une sensation générale à Pondichéry. « on sent ici la densité particulière d’une expérience », « Cela se sent comme une étrange fragrance dans l’air », « Avec une différence, c’est que même si on le sent un peu plus ici, on peut à présent le ressentir partout ! » Il semble que ce soit donc seulement cela que Ya. appelle « l’Expérience ». En tout cas, on comprend qu’il ne comprend rien à beaucoup de choses, notamment à ce que Sri Aurobindo appelle la Force de la Mère. Ce n’est pas étonnant puisqu’il annonce lui-même implicitement ne pas pratiquer. Et il se raconte des histoires.


AUTRE MOYEN DE CONSTATER CELA, AVEC LE NOM ÊTRE PSYCHIQUE

Selon le vocabulaire caractéristique de Sri Aurobindo et la Mère, le mot psychique désigne tout à ce sujet, que le psychique n’en soit qu’à son début de développement ou soit très développé.

Le nom être psychique correspond à un psychique développé mais il n’y a pas de limite catégorique entre ce qui n’est pas développé et ce qui l’est suffisamment pour qu’il y ait un être psychique, ni entre les niveaux de développement de celui-ci. Par contre, il y a de la différence entre, par exemple, peu développé et très développé.
La Mère employa parfois le nom être psychique même là où c’est le nom psychique qui aurait convenu. Elle s’expliqua à ce sujet quelque part, disant en gros que tout ce qui existe correspond à être mais que, avec le vocabulaire caractéristique, ce qui n’est d’abord qu’une étincelle psychique ne devient un être psychique, et de plus en plus développé, qu’à mesure du développement.

Il y a des individus intéressés par Sri Aurobindo et la Mère qui, même lorsqu’ils sont encore débutants et jeunes, aiment parler de leur être psychique. Ça leur donne une impression de grand développement et ça plaît à l’orgueil.

Dans des publications de l’Ashram et d’individus à l’étranger qui sont dans son orbite, on aime bien parler de « l’être psychique », titrer avec cela. Comme déjà dit, il n’y a pas que des individus de cette orbite qui sont ainsi.

Ya. est de ce genre. Alors que, arrivé à environ cinquante ans, il en est encore à l’état qu’il montre, il aime parler de son « être psychique ». Voici deux exemples où l’on voit cela et aussi qu’il se raconte des histoires.
Blog S. A. et M. France, catégorie « Présentation », article du 13 mars 11 qui est titré « Avec Richard et Kailash ». « Nous retrouvons nos amis avec plaisir cette année. [...] Ce sont toujours des minutes intenses et précieuses que nous partageons avec eux. Nous éprouvons ces moments comme des "darshans" tout nimbés de l’influence subtile de Mère et Sri Aurobindo. Nos êtres psychiques en sortent irradiés, illuminés et enthousiastes. »
Même blog, catégorie « Voyages », article du 15 mars 12 qui est titré « Lecture de Sri Aurobindo ». « La lecture du Cycle Humain a achevé ma cuvée d’élixir. [...] Non seulement je goûtais une série d’expériences d’expansion des limites de mon mental, du surmental, et toutes sortes de flux expressifs de l’être psychique, mais voilà que je m’inscrivais dans une expérience globale et historique progressive. »


YA., À PROPOS DES RELIGIONS

Sur le blog déjà indiqué de Ya., il y a, à droite de chaque page, une colonne dont le premier titre en haut est « Catégories ». Dans sa liste, il y a « Lectures de Sri Aurobindo ». En cliquant dessus, on arrive à l’article titré « Les religions en transition évolutive ». Il y a notamment ceci. « On ne peut faire l’économie du phénomène religieux. C’est me semble-t-il une attitude trop fréquente dans l’environnement aurovillien ou aurobindonien. On peut faire l’autruche évolutive. Mais le réel résiste. Et la résistance au réel est un déni de soi. Et on ne pourra inventer de futur sans que les religions elles-mêmes, à reculons peut-être et parfois à l’insu de leurs appareils, ne participent à la mutation. »
Lorsqu’il y a de la présence religieuse dans un individu ou dans la vie publique d’un pays, Ya. ne comprend pas qu’il y a une différence entre la situation actuelle et celle qui existera plus tard lorsqu’il y a un bon développement évolutif. Et il ne distingue pas entre ce qui est individuel et ce qui est collectif.
Ce qu’il veut, c’est qu’il n’y ait pas d’évacuation de la présence religieuse dans les individus qui cherchent à progresser ni dans la vie publique de pays. Dans ces vies publiques, les présences de religions ne sont pas seulement des faits religieux car il y a des règles juridiques qui créent de telles présences. Ce sont des tyrannies religieuses. Ya. se présente objectivement comme étant partisan des religions en général, et partisan des tyrannies religieuses. Il est un tyran religieux. C’est pour cela que, dans son Aurovillage, il y a un espace dans le nom duquel il y a « St Jean ». (Ce nom semble être celui d’un village proche mais ça ne justifie pas sa reprise dans le projet Aurovillage.) Ya. pense que les religions sont en cours de transformation positive. Ici, il est considéré que, par rapport aux individus qui n’en sont pas membres, il n’y a aucun intérêt à ce qu’elles le soient ou non, l’important étant d’abord qu’elles ne soient plus dans la vie publique de chaque pays, au moins de la France. Pour cela, il faut lutter en faveur de la suppression des règles juridiques qui existent déjà et qui font ces présences religieuses dans la vie publique, et d’abord lutter éventuellement contre la création de nouvelles règles.
Concernant l’évolution d’individus, il y a notamment ceci, exprimé par la Mère. Pensées et Aphorismes, sous le n° 242, commentaire du 21 décembre 69. « Tant qu’il y aura des religions, l’athéisme sera indispensable pour les contrebalancer. Tous les deux doivent disparaître pour faire place à une recherche sincère et désintéressée de la Vérité et à une consécration totale à l’objet de cette recherche. » Éducation, S.A.A., 81, p. 131. Du 12 février 72 : « L’enseignement religieux appartient au passé et arrête le progrès ». Entretiens de 53, 29 avril : « [...] je sais que vous êtes tous ici libérés des religions. Si j’avais en face de moi quelqu’un qui ait une religion à laquelle il croie [croit], je lui dirais : "C’est très bien, gardez votre religion, continuez." Heureusement pour vous tous, vous n’en avez pas. Et j’espère que vous n’en aurez jamais parce que c’est la porte fermée à tout progrès. »
Ya. ne s’intéresse pas à cela. Il s’inspire des écrits de Sri Aurobindo et la Mère pour soutenir sa propre position, il les met à son service. Il en prend des éléments, il en laisse d’autres d’après ce qui lui plaît, d’après son ego.
Ce que dit Ya. s’explique, de son point de vue, par le fait qu’il ne parle que du « futur » et de ladite « mutation » auxquels il pense : un futur peu éloigné et une mutation petite. Ils ne correspondent pas à de véritables changements par rapport au présent.


UN BUT DU CENTRE S. A. ET M. France

Sur le Blog S. A. et M. France, dans la catégorie d’articles qui est titrée « Présentation », il y a l’article du 10 mars 11 (ou du 3 octobre ?) qui est titré : « Avec un administrateur de l’Ashram : Manoj Das Gupta ».

C’est le compte-rendu d’un entretien avec l’ashramite qui indiqua qu’il n’y avait pas besoin d’autorisation de l’Ashram pour créer le Centre Sri Aurobindo et Mère France de Ya.
Parmi ce qu’indiqua cet individu, il y a ceci. « Vous pouvez naturellement ouvrir un Centre, vous avez la liberté de [...] partager ainsi directement votre expérience avec les gens. L’enseignement de Sri Aurobindo et Mère n’est pas la propriété de l’Ashram. [...] Il n’y a pas d’enseignants labellisés, [...] de personnes qui ont plus que d’autres la légitimité de faire connaître l’enseignement et l’action de Sri Aurobindo et Mère. [...] l’enseignement de Sri Aurobindo et Mère. Si vous ouvrez un tel lieu, vous serez les personnes les mieux qualifiés pour parler de votre expérience. »
Lorsque Ya. alla demander l’autorisation de créer un Centre en France, il indiqua probablement le but ou l’un des buts et c’est pour cela que l’ashramite répondit ce qui vient d’être reproduit (d’après le compte-rendu fait par Ya.).
Le Centre servirait donc à « faire connaître l’enseignement et l’action de Sri Aurobindo et Mère ». Ya. y ferait aussi connaître son « expérience ».
Vu ce qu’est Ya. actuellement, est-ce que quelque chose de vraiment bien pourrait exister ?


YA. APPROUVE LE DÉVELOPPEMENT DE RAPPORTS QU’IL DIT « BONS » ENTRE L’ASHRAM ET AUROVILLE

Ya. annonce que de bonnes relations sont en train d’être créées dans Auroville entre celle-ci et l’Ashram. Il en est content et ce n’est pas étonnant vu ce qu’il est.

Sur internet, sur le Blog S. A. et M. France, dans la catégorie « Présentation », il y a un article du 21 mars 11 qui est titré « Avec Christiane, près du Matrimandir ». De cette personne, Ya. écrit ceci. « Elle occupe [...] l’après-midi en réalisant des mandalas de fleurs dans la pépinière du Matrimandir. Ces mandalas sont réalisés avec les pétales de fleurs qui ornent le Samadhi de Sri Aurobindo à l’Ashram… Ce qui traduit les bons rapports qui s’instaurent de plus en plus entre les deux entités. »
L’auteur aime que ce qu’il appelle « bons rapports » existent. Ce qu’il dit de cette femme qui récupèrent les pétales est que, par cette action, Auroville est mise à la traîne de l’Ashram, à sa remorque, dans son orbite. Comment cette histoire de récupération des pétales de fleurs commença-t-elle d’exister ? Et puis, à propos de « mandalas », est-ce qu’il y a ces figures tantriques qui existeraient et qui pourraient apporter de la nuisance si d’autres conditions existaient ? Si ce n’est pas encore fait, est-ce que ça pourrait finir par arriver ?

Sur ce même blog et aussi à « Présentation », il y a un article du 7 mars 12 qui est titré « Nouvelles comme-ci comme ça ». Il y a ceci : « Juste un point à noter, particulièrement remarquable et positif pensons-nous : il y a quelques jours s’est déroulé une rencontre entre des administrateurs d’Auroville et des représentants de la Sri Aurobindo Society en provenance de plusieurs branches indiennes ! Une nouvelle génération se fait jour dans cette institution créée par Mère, mais qui a posé tant de problèmes aux aurovilliens dans les années 80. La rencontre a été positive avec un souhait mutuel de regarder vers l’avenir et d’envisager un rapprochement entre les deux entités dans le respect des différences et des approches, et dans le respect de l’intégrité d’Auroville. »
L’auteur approuve ce qui rapproche l’Ashram et Auroville. C’est peut-être profitable au premier mais est-ce que ça l’est à la deuxième ? Est-ce qu’Auroville a un intérêt à avoir de bonnes relations avec l’Ashram, à chercher à créer cela ?
Quels sont les buts des mouvements d’approche faits par des éléments de l’Ashram vers Auroville ? (Car c’est lui qui tente de se rapprocher puisque la rencontre exista dans Auroville.) Quel est le contenu des discussions ? Il n’y a pas que des Auroviliens qui ont à connaître cela.
Ya. ne parle que de problèmes « dans les années 80 », pas de ceux d’avant. Cette position obscurantiste est renforcée puisque, même à propos des années 80, la création de bons rapport se ferait seulement en regardant « vers l’avenir ». On oublierait donc tous les problèmes du passé ! On ferait comme s’ils n’avaient pas existé !
Qui sont les « administrateurs d’Auroville » qui acceptent d’entrer dans cette combine obscurantiste, qui la créent ?
Ce qui est ainsi dit par sous-entendu est que l’Ashram qui est en train de vouloir se rapprocher d’Auroville serait le même qu’avant, au moins en gros. Le cas des pétales de fleurs montre comment Auroville est déjà en train d’être mise dans l’orbite de l’Ashram. Ça commence de manière petite puis la glissée fait grandir. Il y a une volonté ashramite d’attraper Auroville, de mettre son grappin dessus.
L’élément caractéristique de la « nouvelle génération » de la S.A.S. serait-il seulement l’hypocrisie ?
Le passé se continue dans le présent. Il y a d’abord ceci. Quelle est la position actuelle de l’Ashram concernant ce qui suit : avoir considéré la Mère comme disant des sottises et devenant folle, l’avoir empêchée de recevoir la visite de Satprem les derniers mois, s’être dépêché de faire la mise au tombeau malgré les indications contraires, s’être opposé à la publication intégrale de l’Agenda. Est-ce que l’Ashram a désormais admis officiellement l’Agenda en treize volumes, sans aucune coupure, y compris des notes de bas de page ? Est-ce que cet ouvrage a fini par être placé officiellement dans ses bibliothèques et mis en vente dans ses librairies et celles qui lui sont rattachées ?
Enfin, voici la reproduction d’un passage qui est dans la fin d’un article du présent site Ohoettilto, qui est l’étude du texte de Venet en 07 et dont le titre commence par Contribution à l’affaire du conflit. (Une faute est corrigée : pliée au lieu de plié.)
« Chaque année depuis novembre 73, lors de dates anniversaires caractéristiques, 15 août, etc., l’Ashram diffuse en grand nombre un feuillet qui est une petite feuille de papier, pliée en deux pour former quatre pages. Sur la première il y a notamment une date d’après novembre 73 et, à l’intérieur, il y a, selon les cas, un portrait de Sri Aurobindo ou de la Mère et une courte citation y correspondant. L’ensemble signifie : message de l’un ou l’autre pour la date indiquée. C’est évidemment un simulacre, un mensonge, une expression du mensonge qui est à l’Ashram et dans sa relation avec le reste du monde. La réalité est que, pour chaque date, il y a le message de l’Ashram, celui-ci choisissant de publier telle citation plutôt que telle autre. C’est cette vérité qui devrait être exprimée sur chaque feuillet.
Par ailleurs, si la S.A.S. n’est pas encore dissoute, elle devrait l’être.
Par ailleurs, il y a le problème de l’existence-même de l’Ashram. Selon Sri Aurobindo et la Mère, un ashram ne peut pas continuer d’exister après qu’ils ne soient plus présents dans un corps physique au sens ordinaire. (L’Ashram d’après novembre 73 admet cette conception, au moins de manière implicite et dans du brouillard, car le contenu des feuillets qu’il distribue pour les anniversaires postérieurs à cette date semble en être une conséquence, peut-être inconsciente : faire objectivement comme si les deux personnages continuaient d’exister dans un corps physique au sens ordinaire, pour justifier la continuation de l’Ashram.) Cela dit, le Samadhi (le tombeau) continue d’exister avec son entourage immobilier et le personnel faisant fonctionner ce lieu. Un éditeur de livres est utile, avec son imprimerie et sa boutique de vente. Et il y a des visiteurs qu’il est intéressant de pouvoir loger. Et il faut la nourriture pour tous ces gens, et des lieux de production agricole, des lieux d’entretien des vélos, etc. Tout ça semble mériter d’exister, sans être encombré de mauvais éléments. Pour améliorer la situation générale, contribuant un peu à solutionner le problème de fond, il faudrait cesser d’employer le mot Ashram pour nommer ce qui existe. Quelqu’un de l’Ashram qui comprend bien ce qui vient d’être indiqué, qui est persuadé que ce changement devrait exister, qui est certain qu’une solution existe, et qui se mettrait à chercher quel mot nouveau employer, pourrait finir par se retrouver en harmonie avec la partie du plan de conscience d’où pourrait lui arriver la lumière indiquant le mot (ou d’où pourrait lui arriver seulement le mot si lui seul est perçu). Il y a probablement d’autres méthodes pour trouver celui-ci. En attendant, il y a les noms correspondant aux noms français Ex-Ashram et Post-Ashram et, en anglais dit par un Français : the After-Ashram. »
(Ya. approuve la simagrée de l’Ashram des feuillets de jours d’anniversaire. Sur le Blog S. A. et M. France, dans celle des « Catégories » d’articles qui est titrée « Présentation », il y a un article du 21 février 11 qui est titré « Darshan de Mère pour le 21 février 11 ». Son contenu est les photographies des pages du feuillet correspondant.)

Autre exemple. Ya. est du camp de l’Ashram et son projet Aurovillage provient d’ashramites. Il alla à Auroville, pas pour apporter quelque chose mais pour en prendre quelque chose. Des individus et des organismes internes à Auroville soutiennent Ya. et son projet.

Des Auroviliens ou d’autres individus présents à Auroville devraient enquêter pour connaître toutes les relations entre Auroville ou des Auroviliens et l’Ashram, et les analyser pour connaître celles qui mettent les premiers dans l’orbite de l’autre. Ils devraient notamment enquêter pour savoir ce qui se passe au niveau des administrateurs d’Auroville. Un représentant de l’Inde pourrait-il s’en occuper aussi ? Il n’y a pas que les Auroviliens qui sont concernés par tout cela. (On pourra envoyer des informations au site Ohoettilto. Merci.)

À la fin de la citation, il y a ceci : « dans le respect des différences et des approches, et dans le respect de l’intégrité d’Auroville ». C’est notamment ce qui se dit pour endormir un adversaire, pour faire accepter une domination qui existe déjà et probablement dans d’autres cas.



POSITION QUE YA. A DE LUI-MÊME PAR RAPPORT À AUROVILLE

Blog S. A. et M. France, catégorie « Voyages », article du 22 février 12 qui est titré « Sur Auroville ». « Notre relation à Auroville est un peu paradoxale dans le sens où nous avons le sentiment "d’en être" tout en vivant "à l’extérieur". »
Sur le Blog S. A. et M. France, dans celle des « Catégories » d’articles qui est titrée « Voyages », il y a un article du 29 février 12 qui est titré « Chez Jaya et Nico ». Dedans, il y a ceci. « Pour la première fois nous nous retrouvons logés chez des aurovilliens ! Et pas chez n’importe qui, chez notre amie Jaya et son mari Nico, de vrais anciens, des durs de durs ! Cela change pas mal de choses, et commence à nous donner un profil plus "aurovillien". Cela augmente notre capital de confiance aux yeux de tous nos nos nouveaux amis et collaborateurs. » (Il y a deux fois le mot nos.) Il est abusif de penser que le fait de loger ainsi fasse devenir « aurovilien », que ce mot soit un adjectif ou le nom. Penser que cela augmenterait le « capital de confiance » relève-t-il complètement de l’illusion ?
Dans les deux citations, il y a l’idée qu’il faudrait vivre à Auroville et que, n’y vivant pas, il est bon de pouvoir quand même se dire aurovilien. Ainsi, certains individus se disent Auroviliens de cœur.
C’est de l’incompréhension qui est à l’origine de cela.

On peut penser que Ya. n’est finalement pas complètement du camp de l’Ashram, ou de celui d’Auroville ou de tout autre sauf du sien. Il est du camp où il est lui-même et prend des appuis, se crée des appuis ou s’en donne l’illusion, partout où il peut le faire. (C’est exprimé implicitement dans sa phrase déjà citée : « On ne peut faire l’économie du phénomène religieux. C’est me semble-t-il une attitude trop fréquente dans l’environnement aurovillien ou aurobindonien ». Ya. ne se considère pas être dans ce qu’il nomme « environnement [...] aurobindonien » car il est dans son petit monde dont il est le centre, et il prend à l’extérieur des éléments qui lui plaisent.) Objectivement, il est quand même du camp de l’Ashram et se fait soutenir à Auroville et par celle-ci. Ça correspond à la situation des prétendues bonnes relations entre l’un et l’autre.


CONCLUSION

Pour découvrir davantage ce qu’est Ya. et la valeur de ce qu’il fait, lire ou au moins jeter un coup d’œil sur ses autres articles. On y découvrira notamment un état mental mauvais qui n’est pas montré ci-dessus.

Il est normal que des individus comme Ya. existent, qui prennent par-ci par-là des idées qu’ils mettent au service d’eux-mêmes et de leurs activités. Sur son Blog, on constate qu’il va chercher ses inspirations aussi ailleurs que dans les livres de Sri Aurobindo et la Mère, et dans son imagination. Personne n’est obligé de se laisser entraîner par de tels individus. Pour l’Aurovillage en construction, quelques africains de villages proches s’y activent : ils y trouvent de l’activité et des moyens matériels de vivre. S’il y en a qui lisent le présent article, vont-ils entreprendre un assainissement ?
Face au présent article, Ya. peut publier une réponse sur son blog. (Probablement, il révèlerait ainsi davantage ce qu’il est.) Il y sera répondu.

 

 

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