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Ohoettilto-3 (oho-et-til-to-3)
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  • Blog faisant partie d’une série de plusieurs. Il concerne l’intérieur d’Auroville, surtout sa Zone internationale, notamment tout Pavillon à propos de la France, dont tout ce qui est nommé -Pavillon de France- est mauvais et finira par être détruit.
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À bas le projet de Zone internat.(74p. environ.)

 

À BAS LE PROJET AUROVILIEN POUR
LA ZONE INTERNATIONALE D’AUROVILLE !

 

Est mauvais par nature le projet d’Auroville datant d’environ 2010* pour sa Zone internationale et il mérite d’être évacué comme un autre de 2001* l’avait été. Ces affirmations sont démontrées ci-après et l’un des buts est de contribuer à cette suppression. (By its nature, the Auroville project dating from around 2010 * for its International Zone is bad, and it deserves to be evacuated as another one of 2001* had been. These affirmations are proved below and one of the goals is to contribute to that suppression.)
L’Inde, par sa loi de septembre 1988*, s’appropria Auroville. Tout habitant de celle-ci comme tout autre individu qui pense agir en faveur de la construction d’un Pavillon de son pays dans la Zone internationale de cette ville, veut que son pays se soumette à l’Inde. Il agit en traitre (graphie nouvelle) à son pays. Il est un traitre.
Mais les individus qui s’occupent de cela ne bâtissent que de pseudo-Pavillons de pays, des impostures, car ils ne sont même pas des embryons de vrais Pavillons de pays. Cela dit, puisque leurs partisans pensent le contraire, ils sont vraiment des traitres à leurs pays.

Des contestations qui suivent avaient déjà été publiées sur internet le 18 avril de l’année 2012* : la compréhension naïve de la Zone internationale d’Auroville et de ses Pavillons de pays, le reproche du projet de groupement de Pavillons par continent incluant le texte de Sri Aurobindo, les reproches adressés aux deux plans de Z.I. et à plusieurs des institutions placées en parasites dans la Z.I., ainsi que l’emploi déformateur d’un texte de la Mère d’avril 52. (Cette publication avait été faite sur le site Ohoettilto, ohoettilto.free.fr, qui est désormais interdit. L’interdiction fut faite d’abord en Inde par le Département des télécommunications du Gouvernement de l’Inde, « Department of Telecommunications, Government of India » dans la fin de l’an 2014* ou après mais avant le 21 janvier 15.) D’autres parties de ce qui suit furent publiées sur ce site le 14 octobre de l’année numérotée 2014 par tyrannie chrétienne. Quelques rares autres parties furent publiées dans un article du 19 octobre 14. L’ensemble fut retravaillé pour être publié en octobre 18 sur le présent blog Ohoettilto-3, de Canablog.
Un avantage de la publication sur un blog, pas sur un site, est qu’elle continuera d’exister après la mort de son auteur… si un prétexte n’est pas trouvé pour l’interdire.

La nouvelle graphie de la langue française est employée mais pas dans les citations. Ci-après, les mots concernés le sont surtout à propos de l’accent circonflexe :
août : aout,
apparaître : apparaitre,
chaîne : chaine,
connaître : connaitre,
déplaît (de : plaire) : déplait,
disparaître : disparaitre,
enchainement : enchainement,
entraîner : entrainer,
événement : évènement,
une île : une ile,
(plaît) (de : plaire) : plait,
reconnaître : reconnaitre,
sûrement : surement,
traître : traitre,
trois cents : trois-cents.
Par ailleurs, tant pis pour les fautes de français.


COMPRÉHENSION NAÏVE DU PROJET DE LA MÈRE

Dans la future Auroville indiquée par la Mère, il y a une Zone internationale avec, dedans, des Pavillons de pays.

Vers le moment de la création de cette ville ou peu après alors que celle-ci en formation avait encore peu de bâtiments, lorsque l’on prenait connaissance de ce projet de zone internationale, on pouvait avoir aussitôt la conception suivante.
Chaque Pavillon serait bâti lorsque le pays correspondant aurait fait avancer nouvellement l’évolution d’une manière forte, lorsqu’un grand pas aurait été fait nouvellement dans le développement de la conscience collective de l’humanité ou le développement d’autre chose, lorsqu’une grande contribution aurait été apportée nouvellement au développement évolutif en cours. (La question de savoir s’il fallait que ces pays aient la conscience de contribuer, même lointainement, à la manifestation supramentale, pouvait ne pas être posée. Lorsqu’elle l’est, la réponse semble qu’il ne le faille pas, sauf pour l’Inde.)
Dans chaque pays (méritant d’exister), des individus agiraient en suivant consciemment leur guide intérieur, etc., et leur action mènerait finalement à ce qui vient d’être indiqué, avec comme conséquence la construction du Pavillon de leur pays à Auroville. La décision de construire, les individus impliqués, le projet architectural, etc., apparaitraient spontanément.
C’est le mot « internationale » qui est dans le nom « Zone internationale » qui faisait penser cela car il se rapporte à nations (au pluriel), c’est-à-dire à des pays (dont un des éléments qui composent chacun est sa nation). Il en est ainsi dans traité international et dans le nom Organisation des nations unies.


CONFIRMATION DE LA COMPRÉHENSION NAÏVE, À PROPOS DE LA NOTION DE PAVILLON DE PAYS

C’est le mot « pays » qui fut employé lorsque, le 23 juin 1965*, la Mère parla pour la première fois d’Auroville à Satprem et indiqua ce qui est lisible dans le tome 6 de L’Agenda de Mère, page 144, et que voici. « La section internationale... On a déjà approché un certain nombre d’ambassadeurs et de pays pour que chacun ait son pavillon : un pavillon de tous les pays (c’était ma vieille idée) ; certains ont déjà accepté, enfin c’est en route. » (Fin de citation.) (En combinant avec d’autres affirmations de la Mère et en tenant compte aussi de considérations politiques indépendantes de cela, il y a le sous-entendu qu’il est parlé de « tous les pays » méritant d’exister.) Même mot « pays » dans le tome 8 de l’Agenda, p. 450, 30 décembre 67 : « D’abord, chaque pays aura son pavillon ».

La notion de Pavillon de pays contient l’idée que l’origine d’un tel bâtiment est le pays correspondant. Dit en parlant de nation : l’origine est la nation de ce pays. L’origine ne peut donc pas être un ou plusieurs individus vivant à Auroville, ni des membres de cette nation qui vivent sur le territoire particulier à celle-ci (ou un autre mais pas dans Auroville) et qui agissent à titre personnel, même s’ils sont groupés en association selon la loi française de 1901* ou autrement. De tels individus n’ont donc pas à s’agiter pour construire un (prétendu) Pavillon de leur pays. S’ils le font, leur création est forcément mauvaise. (L’origine ne peut évidemment pas être des étrangers à la nation en jeu.)
(La Mère indiqua qu’un « certain nombre d’ambassadeurs et de pays » avaient été approchés. Elle sembla exprimer qu’il suffirait qu’un représentant gouvernemental de tel pays décide de construire le Pavillon de son pays pour que ça puisse exister, même si la nation n’est pas informée, c’est-à-dire même si elle est laissée dans l’ignorance. Une telle décision n’aurait pas de valeur si la nation n’avait pas, directement ou non, mandaté ce représentant pour agir ainsi, sauf si le régime politique du pays en jeu est celui d’un pouvoir public central qui est considéré titulaire de la souveraineté et qui fait donc ce qu’il veut.)

Dans L’Agenda de Mère, tome 7, il y a quelque chose qui fut dit par la Mère le 23 avril 66. Parlant de « la Russie » et de l’« Amérique » (l’État nommé É.U. A.), elle annonça ceci. « Et c’est justement ce que je veux, que ces deux pays qui se heurtent viennent ici, puis qu’ils aient tous les deux un pavillon de leur culture et de leur idéal, et qu’ils soient là, l’un en face de l’autre, qu’ils se serrent la main. »
Lorsqu’il est parlé de « pays » qui viennent, ça concerne des représentants de ceux-ci.
Il y a l’idée de quelque chose qui est une action du pays qui a pour conséquence l’arrivée « ici », « puis » la création d’un Pavillon de ce pays. Il y a donc notamment l’idée d’un évènement dans le pays, une action du pays, et l’idée d’un titulaire de Pavillon. Ça soutient ce qui apparait du seul mot internationale qui est dans le nom section internationale qui devint Zone internationale.

(Ce sujet est développé en d’autres articles du présent blog, notamment celui titré : En mai 16, concernant les Pavillons de la Z.I. d’Auroville : une conception folle où le mot université est employé.)


DANS AUROVILLE, L’IDÉE MAUVAISE D’UN GROUPEMENT DES PAVILLONS DE PAYS PAR CONTINENT

Une idée est admise par Auroville puisqu’elle se retrouve dans tous ses écrits concernant la Zone internationale. C’est celle que, dans cette Z.I., tous les pavillons de pays situés, selon Auroville, sur un même continent seraient groupés.
C’est donc la base matérielle des terres qui émergent de l’eau qui serait le critère du classement, du groupement. Choisir cet élément matériel comme critère est mauvais en soi.

Ce critère est mauvais aussi car il ne tient pas compte des parties de pays qui sont sur d’autres continents lorsque ça pourrait continuer d’exister. Un exemple pour la France est la Guadeloupe, ile des Antilles qui font partie du continent américain. La situation n’y est pas celle de la domination d’un peuple sur un autre alors que celle-ci existe par exemple pour les iles françaises de l’Océanie. (Autrement dit, il y aurait aussi les mensonges qui existent déjà pour des pays qui sont dans le mouvement des traités internationaux concernant ce qui est appelé actuellement Union européenne, qui est rétrograde, anti-évolutif, par sa nature et par son développement, qui est donc mauvais dès l’origine et de plus en plus désastreux.)
C’est cette idée archaïque du groupement par continent qui est en voie de perdition qui serait le critère du classement, du groupement, dans la zone internationale d’Auroville !

L’idée de grouper les Pavillons par continent est très mauvaise et, ici, on ne sait pas quand elle commença d’être admise par Auroville.

Sri Aurobindo, dans son livre titré L’Idéal de l’unité humaine, chapitre XXXI, écrivit que, dans une « union mondiale libre », organisation à laquelle il est favorable, le groupement selon la « libre volonté » et les « affinités naturelles » passerait avant le critère du groupement géographique. Comprendre ce dernier mot comme correspondant à : territorial, notamment continental. Voici des extraits. « Essentiellement, une union mondiale libre doit être une unité complexe fondée sur la diversité, et cette diversité doit se fonder sur le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Un système unitaire mécanique considérerait les groupements géographiques humains comme autant de commodités pour opérer des divisions [...] ; il organiserait probablement son système par continents et subdiviserait les continents suivant des démarcations géographiques commodes. Au contraire, d’après la conception diamétralement opposée d’une union mondiale libre, le principe d’union géographique et physique serait subordonné à un principe psychologique ; car son but ne serait pas une division mécanique mais une vivante diversité. Pour arriver à ce but, il faudrait laisser les peuples de l’humanité se grouper selon leur libre volonté et selon leurs affinités naturelles ; aucune contrainte, aucune force ne pourrait obliger une nation récalcitrante ou un groupe de peuples distinct à entrer dans un autre système, à s’y joindre ou à y rester en dépit de ses vœux, au nom de la commodité, de l’agrandissement ou de la nécessité politique d’un autre peuple, ni même pour la commodité générale. Des nations ou des pays géographiquement très éloignés les uns des autres, comme l’Angleterre et le Canada, ou l’Angleterre et l’Australie, pourraient rester unis. Des nations étroitement groupées localement pourraient choisir de rester séparées, comme l’Angleterre et l’Irlande ou comme la Finlande et la Russie. L’unité serait le vaste principe de la vie, mais la liberté en serait l’assise fondamentale 1. » (Fin de citation.) Ce nombre 1 renvoie à la note suivante de bas de page : « Il faut nécessairement une limite raisonnable de chaque principe, sinon des absurdités fantastiques et irréalisables pourraient se substituer à la vérité vivante. (Note de l’auteur) » (F.d.c.)
Les pays pourraient donc se grouper dans des organisations internationales selon la libre volonté de chacun d’eux et selon leurs affinités naturelles mais, dans Auroville, cela ne pourrait pas exister pour les Pavillons de pays !
La cause est les tyrans qui tentent d’imposer leur conception arriérée ! Il y a des Auroviliens et le Gouvernement indien, l’Inde en général, et ses obéissants Auroviliens.

Les habitants d’Auroville qui correspondent aux zones résidentielle, culturelle, industrielle et à la ceinture verte, ceux qui s’occupent du Pavillon de l’Inde, et les individus qui sont dans des organismes ayant des responsabilités envers Auroville n’ont pas à s’occuper de l’emplacement des Pavillons de pays à l’intérieur du secteur d’Auroville qui finira par être la zone internationale ! Ils n’ont pas à décider cela !
L’Inde plaça son bâtiment où elle voulut et pourrait finalement en construire un autre ailleurs.
Ce pays n’a pas à s’occuper de l’emplacement des autres Pavillons de pays de cette Zone comme, de manière générale, elle n’a pas à imposer ses règles, elle-même, dans Auroville, et n’a donc pas à vouloir que les autres pays qui auront leur Pavillon s’y soumettent, se soumettent à elle-même. Elle n’a pas à s’occuper de dominer les autres pays, ne serait-ce que dans Auroville !

Par ailleurs, la délimitation de la surface de la Z.I. faite par les Auroviliens n’est pas forcément définitive. La vraie apparaitra dans les faits.
(Information sans relation avec ce qui précède. Lorsque le livre L’Idéal de l’unité humaine est lu la première fois par quelqu’un qui n’a pas encore l’habitude de lire les écrits de Sri Aurobindo, on peut découvrir le développement que celui-ci présente comme inévitable. C’est celui d’une épouvantable tyrannie dans un seul pays mondial. On peut se dire que même si Sri Aurobindo dit que c’est cela qui devra exister, il faudra combattre tout ce qui favorisera la création de cela et, si cet État (État-pays avec, donc, son État-pouvoir public) mondial devait finir par exister, il faudra aussi le combattre sans répit, chercher à le détruire, à le faire exploser. Lors de la lecture des pages relatives à cela, on étouffe de plus en plus et puis, ouf ! Sri Aurobindo dit que quelque chose peut intervenir, interviendra, qui fera que cet avenir cauchemardesque n’existera pas. S’il existait, ce serait donc seulement momentanément.)


LE MAUVAIS PROJET AUROVILIEN DE Z.I. QUI DATE DE L’AN NUMÉROTÉ 2001 P.T.C.

COMMENT VOIR LE PLAN EN MÊME TEMPS QUE LE PRÉSENT TEXTE ?

1. Dans la fenêtre internet que vous avez devant vous, cliquer une fois dans la barre dadresse qui est en haut de la page, qui apparait en bleu car elle est sélectionnée (et, sinon, sélectionner ladresse : touche Ctrl maintenue enfoncée + touche A) et la copier (touche Ctrl maintenue enfoncée+ touche C).
2. Il faudra coller ladresse dans la barre dadresse dune autre page, en cliquant dans cette barre et en appuyant sur la touche Ctrl maintenue enfoncée + touche C et, ensuite, il faudra lancer la recherche et la même page que la présente apparaitra, et il faudra aller à la même phase que la présente et, seulement alors, pas maintenant, cliquer ici et aller vers le bas de la page (avant les boutons illustrés) où il y a le plan, puis revenir sur la présente page en cliquant dans son onglet. Pour faire ce qui vient dêtre indiqué, ouvrir une autre page avec un autre onglet, en cliquant sur la petite croix qui est en haut à droite de l’onglet de la page que vous lisez.
3.
Réduire la fenêtre de manière à rendre le bureau de l’écran d’ordinateur visible partiellement. Cliquer dans l’onglet de la page où il y a le plan et, en maintenant enfoncé, glisser le curseur sur le Bureau et lâcher. Il y a désormais deux fenêtres, une avec le présent texte, l’autre avec le plan. Leur donner la taille convenable pour que les deux soient côte à côte et que le plan puisse donc être visible pendant la lecture.


INFORMATIONS SUR LA PAGE OÙ EST LE PLAN

La page est titrée « Auroville International Zone – Planning and development », Zone international d’Auroville – Planification et développement.


INFORMATIONS SUR LA PAGE OÙ EST LE PLAN

La page est titrée « Auroville International Zone – Planning and development », Zone international d’Auroville – Planification et développement.
Sa dernière mise à jour au moment de la dernière préparation du présent texte est annoncée comme ayant été effectuée le 13 aout 2014*.


DESCRIPTION DU PLAN

Sur fond blanc, il y a beaucoup de vert, et du rouge, du noir, du rose et un peu de bleu ciel dans le bas.

Au premier regard, en lisant globalement de gauche à droite, on voit en même temps les noms « Europe » et « America » et une zone de formes rouges qui est en arc de cercle autour d’un grand rond qui est au centre. On pense alors que la zone internationale qui est envisagée entoure la zone du Matrimandir, et l’on pense qu’il est étrange de créer une telle séparation, un tel barrage, entre ce bâtiment et les autres zones.
Mais lorsque le regard arrive dans le grand rond qui est au centre, on lit : « India » puis « Bharat Niwas », nom du Pavillon de l’Inde. La situation est étonnante. On cherche à comprendre.
Dans le rond, il y a plusieurs formes géométriques noires dont on comprend que l’une ou plusieurs correspondent au Pavillon de l’Inde, et l’on comprend que cette couleur est celle de bâtiments qui existent déjà, et que les formes ayant une autre couleur correspondent aussi à des bâtiments. On cherche le Matrimandir sans voir son nom, on cherche l’amphithéâtre, et toute la zone ovale correspondant à cela, sans trouver. Alors, le regard glisse vers d’autres formes noires qui sont à droite en-dehors du rond. Elles correspondent à des bâtiments avec des noms « Unity Pavilion » et « Savitri Bhavan ».
Il n’y a rien, en dessin ou en mots, permettant de savoir où est le Matrimandir.
Le premier constat est que ce plan est fait pour des individus qui connaissent déjà très bien la disposition de bâtiments indiqués et qui peuvent se repérer par rapport au Matrimandir. En bref, ce plan est fait pour des habitants d’Auroville, et quelques visiteurs qui, pour une raison ou une autre, savent se repérer concernant les bâtiments indiqués et le Matrimandir.
C’est donc un plan qui est fait pour des individus repliés sur eux-mêmes, pas pour des individus vivant dans le reste du monde. Un manque de conscience des autres apparait donc déjà et fait envisager que d’autres défauts existent.

On cherche donc où est le Matrimandir pour pouvoir se repérer mais on constate que c’est impossible. Il faut consulter ailleurs un plan général d’Auroville pour commencer à comprendre ceci.
La zone du Matrimandir est en-dehors du plan, à droite.
Ce qui est montré est seulement la zone internationale qui est envisagée.

Le secteur « India » est indiqué avec la surface de « 7 ha » (7 hectares) et en contenant un seul nom qui est : « Bharat Niwas ». Celui-ci désigne le Pavillon de l’Inde, le Bharat Nivas. Cette construction, quels que soient son emplacement et l’état de son développement, est la seule qui, encore en octobre 2018*, est considérée ici comme étant un Pavillon de pays, c’est-à-dire comme étant légitime. Elle fut une conséquence de l’acceptation par l’Inde de l’existence d’Auroville, c’est-à-dire de son acceptation que cette ville existât sur son territoire, quoiqu’en ayant une conception superficielle de celle-ci. (Voir le long texte sur le blog Antiténèbres.)
Vu la surface de 7 hectares, c’est plus qu’un Pavillon de pays qui est ainsi prévu pour l'Inde, et ça valorise encore beaucoup celle-ci. Son projet de Pavillon fut choisi par la Mère parce qu’elle considéra qu’il serait le plus facile à modifier. Ce qui est à vivre et à montrer dans le Pavillon de l’Inde est surtout ce qui fait que ce pays est un, c’est-à-dire la position de la nation indienne dans l’humanité telle qu’indiquée par Sri Aurobindo et la Mère. Visiblement, l’Inde n’a pas encore compris cela puisqu’elle en est encore à se placer au niveau de la diversité superficielle des variations internes selon ses différentes parties composantes territoriales, chacune avec sa population caractéristique, chacune étant conçue comme devant avoir son Pavillon dans le secteur « India ». L’Inde ne reconnait pas encore ce qui lui est essentiel et s’égare dans des détails. Ça va avec son absence de reconnaissance de l’essentiel d’Auroville.


C’est autour de cette surface circulaire que plusieurs surfaces sont placées sauf du côté est. Au nord, il y a « Asia », à côté vers l’ouest-nord, il y a « Europe », plus bas, à l’ouest-sud, il y a « America » (sans lettre s finale), et au sud, il y a « Africa ».
Ce furent probablement des Indiens orgueilleux concernant leur pays et animés par un esprit de domination qui produisirent cela. Ils créèrent en idée et sur du papier ce qui correspond à un empire mondial indien. Le projet est mauvais. D’autres habitants d’Auroville l’acceptèrent.
Par ailleurs, rien ne fut donc prévu pour l’Océanie ! Est-ce qu’il fut considéré que tout ce continent finira par disparaitre sous les flots et qu’il n’est donc pas besoin de prévoir une place pour les Pavillons de ses pays tels qu’ils existent actuellement ou existeront dans l’avenir !? Car cela seul peut expliquer raisonnablement l’absence de place prévue pour les Pavillons de pays de ce continent. Sinon, ces pays, dont les territoires sont une partie de la Terre, avec leurs populations qui sont une partie de l’humanité, ne pourraient être complètement en-dehors de l’évolution prévue, et tous les pays de ce continent qui existeront finiront donc forcément par se retrouver dans la situation de bâtir leur Pavillon à Auroville, même si c’est dans très longtemps. L’absence de place pour les Pavillons de pays du continent océanien confirme que la conception qui fit produire ce plan est mauvaise.
Sur le plan, l’Inde n’est pas considérée comme faisant partie de l’Asie puisque sa surface est en-dehors de celle prévue pour ce continent. C’est du mensonge, de l’incohérence. C’est une autre confirmation du caractère mauvais de la conception qui fit produire ce plan. Le projet est mauvais.

Des surfaces sont indiquées : « Inde » : « 7 ha » (7 hectares), « Asia » : « 7,5 ha », « Europe » : « 7,5 ha », « America » : « 4 ha », « Africa » : « 4 ha ».
L’Inde est grandement valorisée, par la quantité. Est-ce que ce furent des Indiens orgueilleux concernant leur pays qui produisirent cela ? L’attribution de quantité aux continents indiqués est ridicule et, surtout, elle tombe dans le reproche général indiqué plus haut du classement par continent. Le projet est mauvais.
La position géographique des Pavillons des pays ferait que ceux-ci seraient centrés sur le pavillon indien. Est-ce que ce furent des Indiens orgueilleux concernant leur pays qui produisirent cela ? Le projet est mauvais.

Le pire est ceci. Les Pavillons des pays autres que l’Inde étant centrés sur le Bharat Nivas, ils ne le seraient pas sur le Matrimandir. Ce projet de zone internationale leur enlève ce centre ! Il leur enlève le centrage sur la Mère. C’est son aspect le plus mauvais : c’est de l’abjection ! Ce projet est abject ! Ce que fait l’Inde relève d’une tentative d’usurpation, qui est condamnée à échouer !
Ce détournement, est-ce que ce furent des individus affiliés à l’Ashram qui le produisirent ? Ou le Gouvernement indien lui-même ?

Tous les individus qui approuvent tout cela ne peuvent pas être eux-mêmes bien centrés.

Le fait d’avoir voulu centrer sur le Bharat Nivas fit placer un espace de zone internationale à son nord, fit remonter vers le nord. Est-ce que ça mérite d’exister ? Si c’est non, il y aurait aussi une mauvaise disposition prévue pour la zone internationale dans Auroville, et ce n’est pas forcément la seule cause.
La situation finale apparaitra au moins partiellement d’après les faits qui existeront.

Sur le plan, à propos de bâtiments et mis à part ceux qui sont noirs, c’est la couleur rouge qui apparait le plus mais il y en a aussi qui sont roses, qui sont donc moins visibles et sont donc à un plan secondaire. La légende placée en bas de l’illustration exprime que le rouge correspond aux installations communes, « Common facilities ». Le rose correspond aux Pavillons. Même par ces couleurs, les Pavillons des pays autres que ceux de l’Inde sont abaissés, dévalorisés. Pareil pour ces autres pays.


PRÉCISIONS ÉCRITES AU-DESSUS DU PLAN

Au-dessus du plan il y a un texte dont une des parties est titrée : The development areas », Les zones de développement. Elle contient des précisions qui accompagnent le plan.
Voici certains paragraphes dans leur ordre sur le site, la traduction étant mise en premier en lettres italiques,

Premier paragraphe du texte commenté.
Le sous-continent indien joue un rôle particulier en tant qu’hôte de l’ensemble d’Auroville. La zone de ses pavillons culturels (avec le Bharat Nivas et le pavillon tibétain déjà établis) est située au centre de la zone internationale. Tous les bâtiments - même en tenant compte du scénario le plus ambitieux - seront entourés de verdure, formant une sorte de parc central pour la zone dans son ensemble.
Texte original en anglais :« The subcontinent of India has a special role, as the host of the whole of Auroville. The area of its cultural pavilions (with Bharat Nivas and the Tibetan Pavilion already established) are positioned in the centre of the International Zone. All buildings - even considering the most ambitious scenario - will be surrounded by greenery forming a kind of central park for the zone as a whole. »
Il est dit que l’Inde a un rôle spécial en tant qu’hôte d’Auroville et que c’est pour cela que son Pavillon est placé au centre des autres pavillons. C’est une mauvaise idée comme indiqué ci-dessus : ça enlève le centrage sur le Matrimandir, sur la Mère. En tant qu’« hôte » ou, plutôt, en tant que pays ayant admis l’existence d’Auroville (même si elle n’en a pas encore accepté son essentiel), il n’y a pas à créer, dans la Z.I., autre chose que le Pavillon indien.

À ce sujet, l’Inde en est encore à se placer au niveau de la diversité superficielle des composants de la nation indienne, et elle conçoit donc l’existence de ses pavillons (au lieu de son Pavillon).
Elle les conçoit comme étant culturels car elle a cette erreur qui est celle d’Auroville.

Il est dit que le Pavillon tibétain est rattaché au Pavillon de l’Inde et qu’il est aussi dans le cercle central. Le nom Pavillon tibétain correspond au vrai nom qui est Pavillon de la culture tibétaine, et aussi au nom qui n’existe pas et qui est Pavillon du Tibet. Le nom Pavillon tibétain est donc une hypocrisie, une perfidie, permettant de glisser mentalement vers ce dernier nom. Les individus qui sont conscients de la différence ne devraient jamais employer le nom Pavillon tibétain. Selon le cheminement de pensée ci-dessus relatif à l’Inde comme « hôte », puisque le pays Tibet, qui n’existe pas actuellement, n’est pas l’hôte d’Auroville, ce Pavillon tibétain, ne devrait pas être dans le cercle central de ce projet mauvais. Par ailleurs, ce bâtiment n’est pas celui d’un pays, qui n’existe pas actuellement et il n’aurait donc pas dû être placé dans la Z.I. Les défauts indiqués ci-dessus qui se rattachent à l’existence du Pavillon de l’Inde et à la conception de ce qui devrait en exister, montrent que létat de conscience des titulaires du Pavillon de l’Inde est encore très insuffisant, en contenant notamment un manque de compréhension de ce qu’est la Zone internationale d’Auroville. Leur état de conscience fit quils ne s’opposèrent pas à la création d’un bâtiment concernant quelque chose en relation avec le mot Tibet et dans le secteur « India », et même quils soutinrent cela. (Ce qui est appelé Tibet ne fait pas partie des régions qui sont actuellement extérieures à l’Inde mais qui sont considérées comme devant tôt ou tard finir par faire partie de celle-ci.) C’est aussi cet état de conscience très insuffisant qui provoqua l’absence d’opposition à la création dans la Z.I. de folies concernant plusieurs pays.

Paragraphe suivant du texte commenté.
Les autres zones continentales (avec un total de 23 ha) sont disposées en cercle autour de "l’Inde", à peu près dans l’ordre où elles apparaissent sur une carte du monde. Chacune d’entre elles possède un espace ouvert central (servant de nœud de développement), entouré des bâtiments les plus importants. La subdivision des zones disponibles est flexible et peut être adaptée en fonction des besoins.
Original en anglais : « The other continental areas (with a total of 23 ha) are arranged in a circle around ‘India’, roughly in the sequence they appear on a world map. Each one has a central open area (to serve as a development node), to be surrounded by the most important buildings. Subdivision of the available areas is flexible and can be adapted according to need. »
Comme ça se voit sur le plan, il est expressément indiqué qu’il y a un groupement par continent et qu’il y a un centrage autour de l’Inde, les deux étant mauvais par nature.

Par ailleurs, pour faire les placements comme « sur une carte du monde », c’est encore l’élément matériel des terres émergées qui est pris comme critère de classement, et c’est mauvais en soi en étant ridicule.
Est-ce que ce fut à cause de la sottise relative audit Pavillon de la culture tibétaine que le rédacteur plaça des guillemets autour de son mot « India », l’Inde ou est-ce que ce fut en remplacement des mots Pavillon de l’Inde, au singulier ou au pluriel ?
On ne sait pas ce qui est désigné par les mots « les plus importants ». Qui attribuera ce caractère ? À quoi pensèrent les auteurs du plan ?

Paragraphe suivant du texte commenté.
L’Asie au nord-est permettra une extension maximale de 7,5 ha. Dans ce domaine, les cultures des pays du Pacifique ainsi que de l’Australie sont incluses.
« Asia in the northeast will allow for a maximal expansion to up to 7.5 ha. In this area the cultures of the Pacific countries as well as Australia are included. »
C’est mauvais à cause du classement par continent, et parce que l’Inde n’est pas indiquée comme étant dans l’Asie, et aussi parce que l’Océanie (pays du Pacifique et Australie) est incluse dans l’Asie.


Derniers paragraphes du texte commenté.
L’Europe adjacente inclura la Russie et est aménagée sur 7,5 ha au maximum.
L’Amérique peut occuper jusqu’à 4 ha.
Le secteur de l’Afrique comprend les cultures du Moyen-Orient et s’élève à 4 ha.
Original en anglais : « Adjacent Europe will include Russia and is laid out for 7.5 ha maximally.
America can occupy up to 4 ha.
The area of Africa includes the cultures of the Middle East and amounts to 4 ha. »
(Comprendre : L’Europe adjacente au secteur de l’Asie.)

C’est mauvais à cause du classement par continent, parce que le mot Europe inclut la Russie alors que celle-ci est presque entièrement située en Asie, parce que ledit secteur de l’Afrique inclut les cultures du Moyen-Orient, parce que pour cette dernière région il n’est pas parlé de pays mais de cultures. En outre, il est probable que le nom Moyen-Orient inclut ce qui, en Europe, est appelé Proche-Orient. Ces dernières sottises n’existeraient pas s’il n’y avait pas de groupements par continent.


LE PROJET MAUVAIS DE Z.I. DATANT DE VERS L’AN NUMÉROTÉ 2010 P.T.C.

COMMENT VOIR LE PLAN EN MÊME TEMPS QUE LE PRÉSENT TEXTE ?

1. Dans la fenêtre internet que vous avez devant vous, cliquer une fois dans la barre dadresse qui est en haut de la page, qui apparait en bleu car elle est sélectionnée (et, sinon, sélectionner ladresse : touche Ctrl maintenue enfoncée + touche A) et la copier (touche Ctrl maintenue enfoncée + touche C).
2. Il faudra coller ladresse dans la barre dadresse dune autre page, en cliquant dans cette barre et en appuyant sur la touche Ctrl maintenue enfoncée + touche C et, ensuite, il faudra lancer la recherche et la même page que la présente apparaitra, et il faudra aller à la même phase que la présente et, seulement alors, pas maintenant, cliquer ici et le plan apparaitra aussitôt, puis revenir sur la présente page en cliquant dans son onglet. Pour faire ce qui vient dêtre indiqué, ouvrir une autre page avec un autre onglet, en cliquant sur la petite croix qui est en haut à droite de l’onglet de la page que vous lisez.
3.
Réduire la fenêtre de manière à rendre le bureau de l’écran d’ordinateur visible partiellement. Cliquer dans l’onglet de la page où il y a le plan et, en maintenant enfoncé, glisser le curseur sur le Bureau et lâcher. Il y a désormais deux fenêtres, une avec le présent texte, l’autre avec le plan. Leur donner la taille convenable pour que les deux soient côte à côte et que le plan puisse donc être visible pendant la lecture.



INFORMATIONS SUR LA PAGE OÙ EST LE PLAN

La page est titrée « International Zone (IZ) and National / Cultural Pavilions
Zone internationale (ZI) et Pavillons nationaux / culturels ».
Sa dernière mise à jour au moment de la dernière préparation du présent texte est annoncée comme ayant été effectuée le 18 avril 2018*.


DESCRIPTION DU PLAN

Le nord n’est pas indiqué mais il est censé être en haut de tout plan. On ne sait pas si ça existe sur celui en jeu.

Sur celui-ci, il y a à droite l’indication de la zone de l’ovale du Matrimandir et de ce qui lui est proche, entourée par une grande ceinture d’eau marquée en bleu ciel. Par rapport à cela, on peut donc situer à peu près la Zone internationale dans Auroville.
Dans le quasi-rectangle blanc qui est dans l’angle bas droit de l’illustration en contenant la légende, il y a le nom qui correspond à chaque lettre placée sur le plan. Il y en a treize. Le Matrimandir aurait dû être indiqué en premier avec, donc, la lettre A, car il est connu et ça aurait pu servir de repère dès le début pour situer le reste du plan. Mais il fut placé en dernier avec la lettre M. La lettre A correspond à « India », l’Inde, qui fut donc placée en premier.
Qui furent les orgueilleux Indiens qui firent cela ? Est-ce que ce furent des Auroviliens (peut-être membres de la S.A.S. ou ashramites ou les deux) ou le Gouvernement central indien ? La cause ne peut pas être la lecture de gauche à droite puisque les lettres ne suivent pas toutes cet ordre. On indiqua d’abord les secteurs de continents avant d’autres informations mais ça n’empêchait pas de situer le Matrimandir en premier, comme l’indication de la lettre L pour « VISITOR’S CENTER » est vers l’extrême gauche et est suivi par le M du Matrimandir qui est à l’extrême droite. (Ici, il n’est pas considéré envisageable que le Matrimandir avec sa première lettre M, fut placé en dernier pour correspondre à la lettre M.)


LE SECTEUR DE L’INDE

Comme sur le plan de 2001 P.T.C., il y a une grande surface qui correspond à l’Inde, environ ¼ de l’ensemble de la Zone internationale. (Selon la légende qui est placée dans le quasi-rectangle blanc, la lettre A placée dans un petit rond blanc sur le plan qui correspond à « India », l’Inde, n’est pas dans le rond central qui correspond surement à ce pays mais elle est hors de lui. L’espace où elle est écrite est entouré par une ligne, qui ne contient pas une autre lettre indicative, et c’est au-delà de cette ligne qu’il y a les espaces pour des secteurs de continent. Ça donne donc l’idée que tout cet espace fait partie de ce qui est appelé Inde. Lui, incluant le rond central, correspond à environ 1/4 de l’ensemble de la Z.I.) Le grand ego de quelques Indiens d’Auroville et du Gouvernement indien fit placer cela.


EN PLUS DE LA ZONE DE L’INDE, RÉPARTITION PAR CONTINENT

Le grand espace marqué « Inde » est entouré du nord au sud en passant seulement par l’ouest, par des secteurs qui correspondent chacun à un continent. —Répartir selon les continents est mauvais et, donc, tout ce qui est fait en conséquence de ce critère l’est forcément aussi.

Au nord de la zone « India », il y a le secteur de l’Asie et au sud celui de l’Afrique, mais, du côté ouest, il n’y a que celui de l’Europe. La place pour le continent américain n’est donc pas là. Par rapport au projet de 01, il y a donc la renonciation à placer les continents selon leur position géographique (approximative) par rapport à l’Inde.
Un secteur est prévu pour le « Middle East ». Littéralement c’est le Moyen-Orient mais ça inclut probablement ce qui, en Europe, est appelé Proche-orient. Cette région n’est donc plus incluse à tort dans ce qui concerne l’Afrique.

C’est complètement à droite de ce qui était prévu dans le plan de 2001 P.T.C. qu’il y a des nouveautés.

Deux longues bandes de bâtiments sont indiquées.
Elles sont courbées de manière à suivre globalement la limite de la zone centrale où il y a le Matrimandir. Il y a donc un centrage sur celui-ci et plus sur l’Inde et c’est bien.

Une de ces bandes correspond notamment au continent américain désigné par « Americas ». Cette dernière lettre marque le pluriel. Sur le plan, on distingue deux groupes de bâtiments. Il est probable que ce qui est ordinairement appelé Amérique centrale soit dans l’un des deux.
La bande correspond aussi à l’Océanie (« Oceania ») et celle-ci n’est donc pas omise, ce qui est bien… lorsqu’on groupe par continents mais, comme déjà dit, il est mauvais de faire cela.

L’autre bande est globalement parallèle à la précédente, du côté où il y a notamment le secteur « India ». Elle ne concerne pas des bâtiments de secteurs correspondant à des continents et il en est donc parlé plus loin.



IL EST AUSSI PRÉVU DEUX SECTEURS QUI NE CORRESPONDENT PAS À UN CONTINENT

Il y a quelque chose qui n’est pas indiqué sur le plan de vers 2010* mais qui est écrit sous lui, sous le titre de partie « National/Cultural Pavilions », Pavillons nationaux/culturels. Il est prévu la création d’un « Mediterranean Space », Espace méditerranéen. Ça ne correspond pas à un pays ni à un continent.
Il y aussi un secteur pour la Scandinavie « Scandinavia ».


LES BÂTIMENTS CORRESPONDANT À DES PAYS

Des routes et chemins sont indiqués ainsi que des surfaces de végétation. Entre eux sont indiqués des bâtiments.
Beaucoup le sont par des formes géométriques variées et rouges. D’autres formes sont blanches.
En comparant avec le plan de 2001*, ce qui était noir est désormais blanc et ça correspond à des bâtiments qui existent déjà.
Ci-après il y a ce qui correspond aux bâtiments rouges du plan, ceux qu’il est prévu de construire.

Pour eux et contrairement au plan de 2001*, il n’est plus fait de distinction de couleurs entre des Pavillons correspondant chacun à un pays ou autre chose d’après l’imagination des Auroviliens, ou à des installations communes.
Sous le plan, il y a un texte dont le deuxième paragraphe est celui dont voici la traduction en lettres italiques.
Dans l’agencement [« layout »] de la zone internationale, les pavillons sont regroupés en zones continentales, avec une forme de base différente inspirant le tracé [« layout »] et l’expression architecturale de chacun : le cercle pour l’Afrique, le triangle pour l’Asie, le carré pour l’Europe, l’hexagone pour l’Amérique, et un mélange d’hexagone et de triangle pour l’Océanie.
Original en anglais :« In the layout for the International Zone, the Pavilions are grouped into continental areas, with a different basic shape inspiring the layout and architectural expression of each one –the circle for Africa, the triangle for Asia, the square for Europe, the hexagon for America, and a mix of hexagon and triangle for Oceania. »

On perçoit un manque d’inspiration véritable, et même un manque d’imagination, qui fait qu’on se rabat sur des formes géométriques en commençant par les plus simples.
Tous ces bâtiments exprimeraient le même style, le style aurovilien, et ne correspondraient donc pas aux pays. Ils ne seraient pas des Pavillons de pays mais des Pavillons de l’idée qu’Auroville a de ceux-ci. Ça correspond à l’idée générale qui est en vogue dans Auroville, celle que les Auroviliens à eux seuls vont faire ladite unité humaine.

Le plan fait penser à des lotissements, ou à des ensembles d’immeubles qui sont proches les uns des autres et qui sont plus ou moins semblables car construits en même temps par le même architecte.

Une exposition concernant la Z.I. exista en 2010-2011 P.T.C. dans ledit Pavillon de l’unité présenté plus loin. Ensuite, elle fut placée en plein air audit Centre des Visiteurs près de l’entrée qui exista en premier, celle qui n’est pas du côté du nouveau parking, face à la guérite d’accueil qui est devant le bâtiment des toilettes. Avant ou après le transfert, l’exposition reçut des modifications.
Lorsque l’on était à cette entrée dudit Centre des Visiteurs, le premier panneau d’exposition que l’on voyait était celui où il y a le plan du projet de Z.I. Des précisions avaient été ajoutées, qui n’étaient donc pas visibles sur le panneau qui était reproduit sur l’ancien site internet officiel d’Auroville. (Sur le site actuel d’Auroville, aucun de ces panneaux d’exposition n’est présenté.)

Ces précisions concernaient la forme des bâtiments, celles qui sont indiquées ci-dessus ainsi que ceci. Pour le « Middle East », la forme n’était pas décidée mais il était proposé un rectangle courbé. (« Middle East », Moyen-Orient mais qui inclut probablement ce qui, en Europe, est appelé Proche-Orient.) Il était dit qu’il y avait un champ de recherches appliquées sur les expressions symboliques de l’esprit essentiel et du caractère de chaque continent. Il était dit aussi que, pour éviter l’uniformité, d’autres formes pourraient être incluses occasionnellement si ça correspondait à la culture du pays.
Ce qui est prévu est fondé sur la mauvaise idée de base d’un classement par continents, et on y ajoute donc des formes. C’est ridicule, aberrant, produit par de l’agitation mentale et en prévoyant d’en créer davantage. Des Agités se rendent compte, pas de la sottise de tout cela, mais de l’uniformité qui en résulterait mais, au lieu de tout supprimer, ils envisagent la création de nuances, en posant une condition de correspondance... dont ils pensent probablement qu’ils seront les juges de son existence ou de son absence.

Ladite première pierre de quelque chose appelé « Pavillon de France » fut posée par une cérémonie de février 1993*. C’était une folie. Il semble que ce soit à la suite de cela qu’il y eut dans la Zone internationale une épidémie de début de constructions de folies du même genre, pose de première pierre ou davantage mais qui ne vaut pas mieux. (Ici, le mot construction est employé même pour une seule pierre lorsqu’elle est considérée comme étant la première d’un édifice à construire.)
En plus du Pavillon de l’Inde qui est légitime, voici la liste, en octobre 18, des pays pour lesquels il y aurait un début de construction, un début d’imposture : Allemagne, Bulgarie, Canada, Corée, Espagne, États-Unis d’Amérique, France, Grande Bretagne, Italie Japon, Russie, Slovénie.
D’autres pays sont aussi indiqués mais sans avoir de page internet particulière : Hongrie, Kazakhstan, Philippines et Suisse.
À propos de cela, presque rien n’a été lu.

Par hasard, l’on apprit de l’ancien site d’Auroville que la personne qui fut à l’origine du début de la construction concernant la Russie partit de ce qui est maintenant ce pays lorsqu’il avait 18 ans, c’est-à-dire peu après la Révolution de 1917*, alla s’installer aux U.S.A. où il fit de l’enseignement, et mourut à cent ans à l’Ashram. Sur le site actuel, on ne dit pas la date de ce départ mais il y a celle postérieure de sa naturalisation étatsunienne. Par ailleurs, on ne dit plus clairement qu’il fut à l’origine de ce début de construction mais on emploie les mots Stimulés fermement, en les égarant en début de phrase. Voici d’abord la traduction mise en lettres italiques du passage qui est sur la page du site d’Auroville qui est titrée « Russian Pavilion », dernière mise à jour le 17 novembre 17. À l'heure actuelle, quelque soixante-cinq Russes résident à Auroville, tandis qu'environ soixante Auroviliens sont originaires de l'ex-URSS. Stimulés fermement par un ami de longue date d'Auroville, le regretté Dimitri von Mohrenschildt – né en Russie en 1902 et citoyen américain depuis 1926 où il a enseigné comme professeur d'études russes à l'Université de Stanford et est décédé à l'Ashram de Sri Aurobindo en juin 2002 à l'âge de 100 ans – les plans, idées et projets pour un pavillon de la culture russe vont et viennent au cours des dix dernières années. Ils peuvent maintenant porter des fruits. (« Presently some sixty five Russians are residing in Auroville, while all together some sixty Aurovilians hail from the former USSR. Staunchly stimulated by a longtime friend of Auroville, the late Dimitri von Mohrenschildt - born in Russia in 1902 and American citizen since 1926 where he lectured as Professor in Russian Studies at Stanford University, and who passed away in the Sri Aurobindo Ashram in June '02 at the age of 100 - plans, ideas and designs for a Pavilion of the Russian Culture have been coming and going during the last ten years. They may now bear fruit. ») Pense-t-on vraiment que cet individu pouvait être compétent pour s’occuper d’un vrai Pavillon de la Russie ? Non ! mais il fut à l’initiative d’une folie. Cela dit, sur le site il nest pas parlé d’un Pavillon de pays, mais seulement d’un Pavillon de la culture russe car c’est l’erreur commune à Auroville. Selon cette même page du site aurovilien, le prénom de ce personnage est celui d’un petit guest-house pour des Russes qui passent à Auroville !

 

LES BÂTIMENTS CORRESPONDANT À DES CONTINENTS

Il y a quelque chose qui n’est pas indiqué sur le plan mais qui se voit sur le site internet d’Auroville en suivant le chemin suivant : « Home », « Activities », « Planning & Architecture », « National Pavilions », « Africa House – The Pavilion of Africa ». On conçoit la création d’un seul Pavillon pour l’Afrique noire, l’Égypte, ainsi que le reste de l’Afrique du nord. Des individus font comme si quelque chose relatif à l’Afrique méritait déjà d’exister dans la zone internationale d’Auroville. Ils décidèrent aussi que, contrairement à ce qui fut prévu par la Mère, chaque pays africain qui existera finalement ne pourrait pas avoir son Pavillon mais que tous les pays d’Afrique auraient un bâtiment pour eux tous. Un seul bâtiment, donc, pour les pays de l’Afrique noire, l’Égypte, les autres pays du nord de l’Afrique qui furent, avec le précédent, internes à l’Empire romain avant de recevoir la domination arabe et mahométane, etc. ! Le bâtiment n’est pas un prétendu Pavillon de l’Afrique puisque la création d’un tel bâtiment n’a pas à exister. C’est aussi une folie dont son avenir est sa disparition tôt ou tard. Des Agités d’Auroville et d’ailleurs décidèrent cela ! De quoi se mêlent-ils !? Une rumeur dit qu’ils pensèrent qu’il n’y avait pas assez de place, dans leur projet, pour que tous les pays actuels aient chacun un Pavillon. Si c’est vrai, et aussi dans le cas où ça ne l’est pas, il y a que des Agités réfléchissent dans le cadre de leur mauvaise conception de la Z.I. avec des groupements par continents et, en plus, certains des pays actuels, qui sont artificiels, disparaitront et d’autres seront créés, comme l’U.R.S.S. éclata. Il n’y a donc pas à spéculer sur tout cela.
Il y a encore autre chose. En plus de débuts de construction qui sont dits exister déjà en correspondant chacun à un pays situé principalement ou complètement en Europe mais qui ne sont même pas des embryons de véritables Pavillons de pays, il y a aussi un soi-disant début de « Pavillon de l’Europe ». (Ce nest pas le premier élément qui montre l'acceptation dans Auroville de l’être hostile, subalterne du Seigneur des nations, qui s’active sous le nom Europe sur le continent européen.)


APPRÉCIATIONS DE TOUT CE QUI PRÉCÈDE

Des Agités auroviliens agissent comme s’ils étaient des propriétaires d’Auroville et pouvant décider ce qu’ils veulent à propos de la Z.I. Ces gens sont incompétents pour s’occuper de celle-ci. Ils l’encombrent, la gâchent, empêchent le vrai d’exister. Ils sont des ennemis de la Z.I.
Le fait d’être incompétents a pour effet que ces Agités s’occupent de construire depuis l’extérieur vers l’intérieur, s’occupant de décider l’emplacement de coquilles telles que conçues par eux, et décidant même que des pays seront groupés dans un seul Pavillon. Il semble d’abord qu’ils espèrent que chaque pays, ou groupe de pays, envisagé viendra construire sa coquille selon le modèle préparé par des Auroviliens, et la remplira par ce que ceux-ci ont aussi imaginé.
Même si on ne tient pas compte de l’incompétence, le mouvement depuis l’extérieur montre que leurs actions sont mauvaises.

C’est l’Inde qui est derrière cela car elle s’est approprié Auroville, en contradiction avec le début de la Charte.

Auroville et le Gouvernement indien auquel elle fit obéissance lorsqu’elle prépara ce projet veulent attraper le reste du monde. Ils veulent attraper entre leurs griffes les pays autres que l’Inde qui a déjà son Pavillon, pour les mettre, les coincer, dans les petites boîtes, les petites cases qu’ils préparent dans leur imagination agitée, et qui sont des prisons étouffantes.
Enchainement et étouffement ! Oppression par des Agités de l’idéal de l’unité humaine !
Oui ! Auroville et le Gouvernement indien veulent emprisonner le reste du monde ! Ce qu’ils prévoient est suffoquant, étouffant ! Ils écrasent, oppriment, sous leur domination, sous leur tyrannie, sous un idéal mal compris d’unité humaine, sous de l’agitation mentale, sous leur orgueil, qui est très grand. Ils s’opposent au reste du monde, créent de la division, du conflit. Tout ça sent la mort !

Les bâtiments qu’ils préparent sont des cercueils dans lesquels il resterait à mettre des cadavres.
L’action de pays autres que l’Inde envahissante dominatrice dans Auroville n’est conçue que pour soutenir, surtout par de l’argent, les projets et embryons de folie créés par les tyrans auroviliens. Ils vivent dans leur petit monde ridicule, étriqué, en jouant à l’unité humaine et en souhaitant que le reste du monde se mette à leur service.
Auroville est très inconsciente à ces sujets, et elle ignore ce qu’est la liberté.
Les individus qui firent le plan et ceux qui l’approuvent sont comme ceux qui firent et approuvèrent le plan de 2001 P.T.C. Ils sont mauvais, au moins à ce sujet.

Il faut combattre cette tyrannie qui est déjà en place par la seule existence du projet. Il faut se révolter contre elle. Ce projet doit être entièrement poussé dans le passé, rendu inexistant dans le présent, sans être remplacé par un autre mauvais.
Il faudrait laisser le développement se faire de lui-même, c’est-à-dire selon ce qui est nécessaire aux Pavillons, à partir des pays.


LEDIT CENTRE DES VISITEURS PLACÉ ENTRE DEUX SECTEURS CONTINENTAUX

Sur le plan, vers l’angle bas de gauche, entre le secteur « Europe » et celui du « Middle-East », il y a les formes de plusieurs bâtiments dont la couleur blanche exprime qu’ils sont déjà construits. Selon sa lettre L et la légende, c’est le « Visitor’s Center », le Centre des visiteurs.

Est-ce qu’il est bien d’avoir placé ce lieu dans la Z.I. ? La réponse semble positive même en pensant aux Indiens vivant hors d’Auroville. La cause est que même le Pavillon de l’Inde est dans cette Zone.

Est-ce qu’il est bien d’employer le mot visiteurs ?
Il y a des gens qui voyagent en Inde et qui, parmi les nombreux sites qu’ils vont voir, se retrouvent notamment en train de visiter Auroville et qui peuvent même se retrouver dans le Matrimandir rien que pour voir comment c’est dedans.
Il y a aussi des gens qui ne sont pas de tels touristes, qui sont intéressés d’abord par Auroville ou d’abord par l’apport de Sri Aurobindo et la Mère et les conséquences dans leur vie, et qui peuvent aussi se retrouver en train de visiter Auroville.
Il y a d’autres gens qui ne sont pas intéressés à visiter Auroville et qui y vont pour une démarche évolutive avec le but d’aller dans le Matrimandir pour cela et certains y arrivent en car.

Le mot visiteurs ne convient pas pour cette troisième sorte de personnes. Il les abaisse.
De manière générale, ce mot fait que tous les individus qui ne sont pas des Auroviliens sont mis dans la même classe que les touristes d’un jour ou de quelques jours.
Ce mot donne aussi la forte impression que des Auroviliens pensent que ce sont eux que l’on vient regarder, visiter, et qu’ils se valorisent ainsi.
Le mot visiteurs ne convient pas.
Ce fut d’ailleurs l’opinion qui fut exprimée sur un des panneaux d’une exposition qui exista dans Auroville, déjà indiquée plus haut et qui est présentée plus loin, puisqu’il y était écrit : « visitors and more interested guests alike », des visiteurs et même des invités plus intéressés.

Il faut donc trouver un autre nom.
Il semble que le mot visiteurs pourrait être remplacé par passants : le Centre des passants.
Ce mot fait la distinction avec les résidents, qui sont les Auroviliens.
Il ne dit rien sur les motivations des gens qui passent. Ceux-ci ne sont donc pas mis dans une petite case. Aucun ne se retrouve obligé de subir la conception aurovilienne, de se soumettre à un mensonge, de se retrouver avec une étiquette mensongère collée sur lui. Il n’y a donc pas cette tyrannie mais il y a de la vérité et de la liberté.

Au Centre des visiteurs, Centre des passants, il y a, derrière le bâtiment des toilettes, une cafétéria qui est grande par rapport à la petite boutique placée un peu plus loin. Lorsqu’un vendeur rend la monnaie, compter les billets et réclamer s’il le faut. Est-ce qu’elle est une concession, c’est-à-dire prise en main, par la volonté d’Auroville, par une entreprise privée ?

(Par ailleurs, le mot « guests » est employé dans la citation ci-dessus du panneau d’exposition. Il signifie invités. Il ne convient pas pour des gens qui arrivent de leur propre initiative et qui vont se loger dans un des lieux prévus pour les recevoir. Le mot français passants apporte la solution à ce problème.
Les Auroviliens ne pourraient pas légitimement décider d’empêcher des gens de l’extérieur de venir dans Auroville, précisément de les priver d’aller dans le Matrimandir, de les priver d’aller dans cet espace de forte concentration de la Force de la Mère. Cela dit, ils peuvent décider d’expulser les perturbateurs néfastes, ou les nuisibles, et peut-être d’autres cas, dans le cadre de ce qui est prévu pour cette ville par la Mère. Un guest house, est une maison pour invités, une maison d’hôtes. Si ce nom n’était pas employé, un nom pourrait être, en français, hôtel aurovilien, Il faudrait en faire l’équivalent d’une marque déposée pour que des hôtels non-auroviliens ne puissent pas se l’attribuer ou que, s’ils le faisaient, le nom puisse leur être enlevé juridictionnellement. Ça servirait à distinguer d’avec lesdits guests houses qui existeraient près d’Auroville mais sans être de celle-ci.)


ANNONCE QU’IL EST PRÉVU D’ENCOMBRER LA Z.I. D’AUTRES BÂTIMENTS

Plus haut est indiqué que, sur le plan de 2010* environ, deux longues bandes de bâtiments sont indiquées qui sont courbées de manière à suivre globalement la limite de la zone centrale où il y a le Matrimandir. Une bande est décrite ci-dessus et l’autre est globalement parallèle à la précédente, du côté où il y a notamment le secteur « India » et elle ne concerne pas des bâtiments de secteurs correspondant à des continents. Ce sont des constructions parasites.
Sur le plan, cette bande est désignée par le mot « Crown », Couronne, qui ne correspond pas à un continent, et aucune définition n’est indiquée sur le plan ou dans le texte qui est au-dessus. (Les auteurs de ce plan le firent pour eux-mêmes, pas pour les autres qu’eux-mêmes.)
Par contre, il y a une information dans un document de onze pages qui était publié sur le site d’Auroville mais qui ne l’est plus. (Titre : « Auroville’s International Zone », La Zone internationale d’Auroville. Sous-titre : « Auroville’s International University and its Cultural Pavilions », L’Université internationale d’Auroville et ses Pavillons culturels. Lorsque le texte était publié, le lien internet pour y accéder indiquait la date de février 03. Sur la page de titre, il est aussi écrit : « Compiled by Gilles G. - Samasti ». Le texte est une compilation de citations et il y avait quelques autres lignes de texte. L’auteur est Gilles Guigan. « Samasti » est le nom d’un lieu d’Auroville.) Le nom « Crown » employé à propos de la géographie interne à Auroville désigne « the chain-like development of institutional buildings along the ring-shaped ‘Crown’-road at the centre of the township ». Traduction approximative : le développement comme une chaine de bâtiments institutionnels le long de la route ‘Couronne’, qui est en forme d’anneau au centre de la ville. Autrement dit, le mot désigne d’abord une route circulaire autour du Matrimandir sans lui être proche, dont il est prévu que sa portion au moins qui est dans la Z.I. soit bordée de bâtiments institutionnels.
Des Auroviliens et leur chef le Gouvernement central indien encombrent et veulent encombrer encore plus la Zone internationale, qui est normalement la zone des pavillons de pays, par d’autres bâtiments.

Sur le plan, dans le quasi-rectangle blanc qui est dans l’angle bas droit de l’illustration qui contient la légende, il y a d’autres informations, celles qui indiquent la signification de lettres noires placées chacune dans un petit rond blanc sur l’image. La lettre I = « CIRHU », J = « UNITY PAVILION », K = « SAVITRI BHAVAN ».
Ainsi est la fin de la description du plan et il reste à commenter ces dernières informations.

En complément du plan, il y a ce qui est écrit dessous, dont voici d’abord la traduction en lettres italiques du troisième paragraphe.
Dans la Zone internationale, en plus des Pavillons nationaux, il existe aussi plusieurs institutions de premier plan, telles que le Pavillon de l’Unité, le Hall de la Paix, Savitri Bhavan, le Bureau international d’Auroville (AVI), le Centre de recherche internationale sur l’unité humaine (CIRHU), l’Université de l’Unité Humaine (UHU), le SAVI (Service des volontaires et des stages d’Auroville) et le Centre des visiteurs d’Auroville. (Original en anglais : « In addition to the National Pavilions, there are also several overarching institutions in the International Zone, such the Unity Pavilion, The Hall of Peace, Savitri Bhavan, the Auroville International Office (AVI), the Centre for International Research on Human Unity (CIRHU), the University of Human Unity (UHU), SAVI (Auroville Volunteer & Internship Service), and the Auroville Visitors Centre. »

Ledit Centre des visiteurs, Centre des passants, est présenté plus haut. Voici des informations sur les autres bâtiments.


LE « UNITY PAVILION », PAVILLON DE L’UNITÉ, ET SON « HALL OF PEACE », HALL DE LA PAIX

Ce bâtiment est déjà construit et il apparait donc en blanc sur le plan. Il fait partie de la bande de constructions désignée par « Crown », couronne, ladite chaine de bâtiments institutionnels.

Sur la page de l’ancien site officiel d’Auroville qui est particulière au Pavillon de l’unité, il y avait ceci.
On y disait qu’il était cherché à promouvoir les idéaux de l’unité humaine et leur compréhension. « promoting the ideals of human unity and understanding ».
Il était dit : Nous espérons que notre rêve d’exprimer les thèmes de l’Unité dans la Diversité à travers des expositions, des activités culturelles, des projets éducatifs, des conférenciers invités et des ateliers peut être réalisé, (...). Original en anglais :« We hope that our dream of expressing the themes of Unity in Diversity through exhibitions, cultural activities, educational projects, guest speakers and workshops can be realized, […]. »
Il était dit que sont invités à participer des experts connus, des individus et groupes. Il était dit que ça consistait en la recherche pour trouver l’esprit vrai de chaque nation et son dharma, son vrai travail, comme une part du développement de l’humanité et de l’évolution de la vie sur Terre.
Donc, on percevait l’activité d’individus, cancanant beaucoup, qui apportent ce qu’ils sont ou ont déjà, et nulle part on ne perçoit l’aspect de développement individuel qui ferait avoir de nouvelles idées. Aucune n’est indiquée.
Par ailleurs, c’est chaque nation qui peut se développer selon son esprit vrai et son dharma et, donc, manifester davantage cela et reconnaitre ce que c’est.

Sur le nouveau site d’Auroville relatif à ce bâtiment, Il y a une description qui est placée selon le chemin suivant : « Home », « Community », « Auroville in Brief », « Auroville - A to Z ». Dans la liste, chercher « Unity Pavilion ».
Dernière mise à jour le 29 décembre 2017*. Voici le texte complet du paragraphe, d’abord en traduction mise en lettres italiques.
Le Pavillon de l’unité, situé dans la Zone internationale à côté de Savitri Bhavan, sert de centre de coordination pour le développement général de la zone et est considéré en attendant [« meanwhile »] comme un espace de transition, un point de convergence et un terrain expérimental pour l’émergence des pavillons culturels individuels des nations diverses. Actuellement, il héberge une série d’activités liées à la Z.I. et à la recherche sur l’Unité humaine et l’Unité dans la diversité ; fournit des bureaux au Groupe pour le développement de la Z.I., aux Pavillons africain, russe, coréen, espagnol, scandinave et suisse ainsi qu’à l’Association Auroville International ; et accueille régulièrement diverses réunions et événements collectifs - tels que des lancements de livres -. Il abrite aussi la Table de la paix asiatique (voir "Table de la paix").
Original en anglais :« The Unity Pavilion, located in the International Zone next to Savitri Bhavan, acts as a coordination centre for overall development of the zone, and is meanwhile seen as a transitional space, focal point and experimental ground for the emergence of the individual cultural pavilions of the various nations. Presently it hosts a range of activities related to the IZ and research on Human Unity and Unity in Diversity ; provides office space for the IZ Development Group, the African, Russian, Korean, Spanish, Scandinavian and Swiss Pavilions, plus the Auroville International Association ; and hosts various collective meetings and events – such as book launches – on a regular basis. It also houses the Asian Peace Table (see “Peace Table”). »

Les commentaires placés plus haut conviennent aussi pour ce site. Il y a notamment la confirmation que ce bâtiment est un haut lieu du cancanage sur ladite unité humaine, ladite unité dans la diversité et sur ladite Zone internationale.
Il sert aussi aux folies relatives aux territoires indiqués ainsi qu’à l’association Auroville International, pour laquelle est employé plus haut le nom Bureau international d’Auroville (AVI).
Il sert aussi à des activités dont l’exemple donné, le lancement de livres (sans précision), n’a pas sa place dans la Z.I. mais l’aurait dans la Zone culturelle.
Concernant l’activité de réunions indiquées dans la fin, puisqu’il n’est pas dit à quoi elles servent, on ne peut rien en dire.

Il y a une brochure qui fut publiée par le groupe d’Auroviliens nommé Pavillon de France, après 98 selon une date indiquée dedans et vers *08 (car aucun date précise n’est indiquée dedans). Elle a dix-sept pages en comptant celles de couverture, qui sont écrites en français et il y a des illustrations, notamment celle sur la page 10 qui est le plan du projet de Z.I. datant de 2001 P.T.C. (En octobre 18, elle est encore téléchargeable sur le site d’Auroville en suivant le chemin suivant : « Home », « Activities », « Planning & Architecture », « National Pavilions », « French Pavilion – Pavillon de France ». Dernière mise à jour de cette page effectuée le 8 aout 17. Le bouton de téléchargement est près de l’illustration, dessous.) Il y est écrit que « L’objectif du Pavillon de l’Unité est de créer un espace de transition et un terrain expérimental pour la conception et la construction des pavillons nationaux. » Ça semble être un bon résumé de ce qu’est ce Pavillon.
En plus de la détermination des lieux pour les Pavillons de pays, il est donc prévu que l’équipe de ce Pavillon détermine le plan de chacun d’eux, le nombre d’étages, l’apparence extérieure, etc.
Pour construire les Pavillons, il faudrait copier ou, au moins, s’inspirer de ce que des Auroviliens agités préparent ! Ladite « Unité » est de l’uniformité sous domination aurovilienne. Il y a comme une pieuvre qui veut dominer, enserrer, étouffer, les Pavillons des pays, et les individus qui en sont les causes, les peuples, les pays. Le projet exprime aussi qu’Auroville a la volonté de dominer le reste du monde, de se le soumettre.
Comme déjà écrit, Auroville et le Gouvernement indien auquel elle obéit lorsqu’elle prépara ce projet veulent attraper le reste du monde. Ils veulent attraper entre leurs griffes les pays autres que l’Inde qui a déjà son Pavillon, pour les mettre, les coincer, dans les petites boîtes, les petites cases qu’ils préparent dans leur imagination agitée, et qui sont des prisons étouffantes. Ils préparent des cercueils dans lesquels il resterait à mettre des cadavres. Enchainement et étouffement ! Oppression par des Agités de l’idéal de l’unité humaine !
Beaucoup de cancanage est prévu.

C’est de chaque pays qui aura son Pavillon que doit partir l’impulsion à la création de celui-ci qui sera ce qui apparaitra naturellement dans ce déroulement.

Au moins une partie du mauvais projet de Zone internationale provient de ce « Pavillon de l’Unité ».
Lorsque la véritable Zone internationale se manifestera, existera de manière saine, il n’y aura pas ce Pavillon de l’Unité. Actuellement, il encombre cette Zone, comme d’autres bâtiments. Il est nuisible. Il mérite de disparaitre le plus tôt possible.
D’autres noms lui conviendraient. Il y a Pavillon de l’Usurpation puisqu’il prétend agir pour les Pavillons de pays à la place des titulaires de ceux-ci sauf à propos de l’Inde. Il y a Pavillon de l’Unité par uniformité puisqu’il y a l’idée de Pavillons de pays qui ont telle forme pour les pays de tel continent, etc. Il y a aussi les noms suivants : Pavillon de l’Uniformité imposée, Pavillon de l’Unité par ingestion, Pavillon de l’Unité par rapacité, Pavillon de la Mise en soumission du reste du monde, Pavillon de la Voracité aurovilienne, Pavillon de la Rapacité aurovilienne, Pavillon pour Faire suffoquer le reste du monde, Pavillon de l’Enfermement, Pavillon de l’Assujettissement, Pavillon de l’Oppression et de l’Étouffement, Pavillon de l’Opposition d’Auroville au reste du monde, Pavillon de la Division, Pavillon de l’Illusion unitaire.
Le nom choisi ici est finalement Pavillon de l’Usurpation et de l’Unité par uniformité. (P.U.U.U. ou P3U.)
Tous ces noms peuvent être faits avec le mot Palais à la place de Pavillon.
On peut inventer d’autres noms.

Dans le paragraphe cité plus haut qui est sous le plan, le Pavillon de l’Unité et le Hall de la Paix sont présentés comme distinct.
Dans la citation ci-dessus, il est écrit que le Pavillon de l’Unité abrite aussi la Table de la paix asiatique (voir "Table de la paix").
Sur la page « Auroville - A to Z », il est écrit que cette table est actuellement abritée dans le Pavillon de l’Unité d’Auroville qui est dans la Zone internationale. « The table is presently housed in Auroville’s Unity Pavilion in the International Zone. »

En écrivant « peace table », table de la paix, dans le moteur de recherche du site d’Auroville, on arrive sur un premier article qui commence par « George » et où est visible ceci. « Auroville’s Hall of Peace in the Unity Pavilion complex » : Hall de la paix d’Auroville dans le complexe du Pavillon de l’unité.
On comprend que ce qui est nommé Pavillon de l’Unité est composé de plusieurs bâtiments dont l’un est nommé Hall de la paix.
On comprend aussi qu’il y a un problème d’organisation et que ce sont pourtant les gens faisant cela qui ont la prétention de s’occuper d’agencer la Zone internationale. Leur projet est mauvais et, si sa réalisation devait exister, elle serait pire que prévue.

Puisque ledit Hall de la paix fait partie dudit Pavillon de l’unité, il en est parlé dans la même partie du présent texte.
Dedans, un objet est déposé. Il est appelé Table de la Paix d’Asie. C’est un objet en bois qui est une table basse que l’on n’utilise pas mais que l’on regarde. Quelqu’un qui se retrouve dans ce bâtiment ne risque pas de ne pas le voir car il est encombrant.
Il fut inauguré le 11 février 2014*
Cet objet est le troisième d’une série de six tables.
Selon la page internet qui lui est relative, le premier objet, qui correspond au continent américain, est à New York, dans une cathédrale chrétienne qui n’est pas de la variété papiste mais qui fait partie des variétés qui, au moins autrefois, étaient opposées au papisme. Elle y fut l’objet d’une cérémonie religieuse.
Le deuxième objet correspond au continent européen, fut préparé pour le cinquantième anniversaire de l’O.N.U. et fut, pour cela, l’objet d’une cérémonie religieuse dans la cathédrale papiste indiquée ci-dessus avec des représentants de nombreuses religions. Elle fut finalement placée à Moscou, dans l’Académie des Arts, lors d’une cérémonie avec des représentants de religions traditionnelles.
Le troisième objet est donc celui qui est à Auroville. Celle-ci se laissa donc recevoir cet objet.
Lui comme les autres est sans intérêt en lui-même sauf que c’est un gros morceau de bois d’un arbre ayant vécu longtemps Il exprime un concept, celui de la niaiserie internationale dominante à propos de « paix » et de ladite « unité humaine » en baignant dans des fadaises religieuses.
Toutes ces tables expriment qu’il est compté sur les religions qui s’activèrent sur elles pour créer « la paix ». C’est une idée du vieux monde et c’est une idée contraire à l’apport de Sri Aurobindo et la Mère, contraire à ce que devrait être Auroville.
Autour de cette table en cette ville, on médite !
Est-ce que c’est vraiment dans cette ville que tout cela existe ? Oui ! Auroville s’est laissée chuter jusque-là ! Disons que, dans son ensemble, elle ne s’est peut-être jamais élevée plus haut que cela.
Cette Table de la Sottise de la Bonne conscience béate et nuisible, relevant de religions, entraine tout ce qui se passe dans le reste d’Auroville, notamment dans sa Z.I. Tous les pays du monde qui sont faits pour y avoir un Pavillon de pays sont aussi entrainés.
Tôt ou tard, il faudra se débarrasser de cet objet. Il semble que le mieux serait de le donner aux héritiers de son créateur, qui en feront ce qu’ils voudront.


LE BÂTIMENT NOMMÉ « SAVITRI BHAVAN ».

Ce bâtiment est déjà construit et il apparait donc en blanc sur le plan, près dudit Pavillon de l’unité. Il fait partie de la bande de constructions désignée par « Crown », couronne, ladite chaine de bâtiments institutionnels.

Sur le site internet d’Auroville et sur la page relative à ce bâtiment, il y a d’abord un paragraphe dont la dernière mise à jour date du 7 juillet 2015*.
En voici la traduction en lettres italiques.
Savitri Bhavan à Auroville est un centre voué à la promotion d’un sens vivant de l’unité humaine grâce à une éducation spirituelle fondée sur la vision et les enseignements de Sri Aurobindo et de la Mère. L’objet principal est l’épopée mantrique de Sri Aurobindo, Savitri : une légende et un symbole, que la Mère a appelé "la révélation suprême de la vision de Sri Aurobindo".
Original en anglais :« Savitri Bhavan in Auroville is a centre dedicated to fostering a living sense of Human Unity through spiritual education based on the vision and teachings of Sri Aurobindo and the Mother. The central focus is Sri Aurobindo’s mantric epic Savitri : a legend and a symbol, which the Mother has called ‘The supreme revelation of Sri Aurobindo’s vision. »
la promotion d’un sens vivant de l’unité humaine : est-ce que ça correspond à autre chose que de l’agitation mentale ?

éducation spirituelle : est-ce que ce qui est prévu sous ce nom serait vraiment cela ?

Paragraphe suivant.
Savitri Bhavan a pour but de rassembler et de créer, d’héberger et de mettre à disposition toutes sortes de matériels et d’activités propres à favoriser une meilleure compréhension de Savitri, de la vie, du travail et de la vision de Sri Aurobindo et de sa Mère, ainsi que des objectifs et des idéaux d’Auroville, dans un espace qui respire l’atmosphère de Savitri.
Original en anglais :« Savitri Bhavan aims to gather and create, to house and make available all kinds of materials and activities that will foster a deeper appreciation of Savitri, of the lives, work and vision of Sri Aurobindo and the Mother, and of the aims and ideals of Auroville, in a space that breathes the atmosphere of Savitri. »

Des paragraphes suivants de la page internet, on dit seulement qu’une institution nommée « Maison de l’Agenda de Mère », « House of Mother’s Agenda » s’y retrouva et qu’il n’est pas parlé de la Zone internationale.
L’institution Savitri Bhavan n’a pas sa place dans la Zone internationale. Elle l’encombre et devra en être évacuée. Quel élément de corruption l’y fit placer ? Est-ce que l’on voulut être près du Matrimandir !? Ce ne serait pas une bonne cause.
Il y a une rumeur selon laquelle un ashramite aurait donné de l’argent et quelqu’un d’Auroville aurait décidé de l’employer en construisant ce bâtiment. Que vaut cette rumeur ?

Devant le bâtiment, il y a une statue de Sri Aurobindo debout, noire. (Ici, il est pensé qu’elle est laide.)
Le bâtiment Savitri Bhavan est relativement proche du Matrimandir en étant entre celui-ci et le Centre des visiteurs (Centre des passants). Il a quelques chambres pour passants et sa situation est donc plutôt avantageuse pour les personnes qui ont des difficultés à marcher. Des chambres pourraient exister même sans le reste.
L’institution Savitri Bhavan est faite pour être dans la Zone culturelle. Est-ce que toutes lesdites recherches censées effectuées dans ce Bâtiment arriveront à le faire comprendre ?


LE CENTRE DE RECHERCHE INTERNATIONALE EN UNITÉ HUMAINE (C.I.R.H.U. ou Cirhu)

Sur le plan comme sur la page internet de sa description, ce bâtiment apparait comme n’étant pas encore construit. C’est la forme en grand arc de cercle qui est proche du lac qui entoure la zone centrale où il y a le Matrimandir, le banyan, l’amphithéâtre et ce qui va avec. Sa surface est d’environ deux tiers de cette zone centrale, c’est-à-dire très grande.

Concernant les mots « unité humaine » qui sont dans le nom de l’institution, ce qui suit date d’aout 64 semble-t-il. Ça vient du tome 3 de Paroles de la Mère, p. 66 mais ce fut surement publié avant. Question : « Comment l’humanité peut-elle devenir une ? ». Réponse de la Mère : « En devenant consciente de son origine ». Cette origine est le supramental.
Ce qui suit date du 8 octobre *69. Ça se lit dans le tome 10 de l’Agenda, au 15 novembre 69, mais ce fut surement publié avant. Question : « Si l’on veut vivre à Auroville, qu’est-ce que cela signifie pour soi ? » Réponse de la Mère : « Essayer d’atteindre à la perfection suprême ».
Il y a aussi ce qui est dans la Charte : « pour séjourner à Auroville, il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine », et ce qui est dans le texte titré Pour être un bon Aurovilien, et il y a probablement d’autres textes.
En bref, la bonne position consiste à pratiquer le yoga intégral et il y en a des conséquences.
Comme c’est lisible dans L’Agenda de Mère au 19 novembre 69 et qui fut surement publié avant, la Mère annonça « qu’à Auroville, la seule bonne volonté de faire une expérience collective pour le progrès de l’humanité suffit pour être admis ». Premièrement, ça concerne l’admission à Auroville mais, après y être entré, c’est le comportement selon la Charte d’Auroville et d’autres textes de la Mère à propos de cette ville qui devrait exister, à la mesure de chacun. D’ailleurs, lorsque l’on a compris qu’Auroville existe dans le cadre de la manifestation supramentale, si l’on veut y contribuer et la hâter (notamment à cause de sa Z. I. bien comprise), il est évident qu’il faut chercher à se développer, à avoir la bonne attitude, le bon comportement selon le yoga intégral, à la mesure de chacun (malgré les résistances, les chutes éventuelles momentanées, etc., et en les surmontant). Deuxièmement, ce texte concernait l’année 69, c’est-à-dire le début d’Auroville. Il est possible que, plus le temps passera, plus il faudra davantage pour être admis. (Selon une rumeur, il y aurait pour l’instant un mouvement contraire.) Un message de la Mère datant du 1er décembre 72 est ceci : « Auroville est pour ceux qui aspirent au supramental et font effort pour y parvenir ». C’est dans Paroles de la Mère, tome 1, p. 238, mais ce fut surement publié ailleurs avant.
Sur le site d’Auroville, à propos du Cirhu il n’y a rien qui fasse penser à ce qui devrait exister pour tout Aurovilien qui est d’être « serviteur volontaire de la Conscience Divine » ou « Essayer d’atteindre à la perfection suprême ». En plus, ça ne concerne pas seulement ces individus mais tous ceux qui sont intéressés par l’apport de Sri Aurobindo et la Mère, où qu’ils soient sur la Terre ou dans l’espace. Le Cirhu, comme tout Auroville qui le produisit, passe à côté du vrai moyen d’agir, l’oublie, l’ignore.
Le nom Centre de recherche internationale en unité humaine
à lui seul montre que ce bâtiment serait un haut lieu du cancanage aurovilien.


Sur le site internet d’Auroville et sur la page relative à ce projet, il y a un seul paragraphe dont le début fait référence au nom de l’institution (C.I.R.H.U. ou Cirhu) et dont la dernière mise à jour date du 12 aout 2014*. En voici d’abord la traduction en français.
Un projet axé sur des études et des recherches sur les thèmes de la transformation humaine et des conditions favorables à l’évolution de la conscience et à la réalisation de l’unité humaine. Le CIRHU souhaite être un point de rencontre pour Auroville et d’autres personnes du monde entier en rapport avec ces thèmes - expérimenter, dialoguer et échanger, et contribuer à la compréhension croissante de ce que signifie créer et vivre dans une société véritablement spiritualisée. CIRHU étant encore à ses débuts, ses activités se font actuellement en tant que SAIIER [Institut international Sri Aurobindo de recherches sur l’éducation] et incluent le Laboratoire de l’Évolution.
Original en anglais :« A project focusing on study and research into the themes of human transformation, and the conditions favourable to evolution in consciousness and the realisation of human unity. CIRHU wishes to be a meeting point for Auroville and others around the world concerned with these themes – to experiment, have dialogue and exchange, and contribute to the growing understanding of what it means to create and live in a truly spiritualised society. CIRHU, still in its early stages of development, its activities come under SAIIER and include the Laboratory of Evolution. »
SAIIER : Sri Aurobindo International Institute of Educational Research. Il n’est pas parlé de la Mère.
Pour contribuer à la réalisation de l’unité humaine, si ce but intéresse particulièrement, il y a la pratique du yoga intégral. Pareil à propos de transformation humaine.
Parmi les conditions favorables à l’évolution de la conscience, il y a notamment les grandes difficultés dans la vie, mais il semble que certains individus nourris et logés dans Auroville et qui ne semblent pas en avoir cherchent à faire passer le temps.

Il y a la confirmation que le C.I.R.H.U. serait un haut lieu du cancanage aurovilien, auquel d’autres bavards participeraient.
Le Cirhu n’a pas sa place dans la Zone internationale. Elle l’encombre et devra en être évacuée. Il ne mérite pas d’exister ailleurs dans Auroville.


TRANSITION

Ici se termine la présentation de ce qui est indiqué sur le plan.
Mais, dans le paragraphe qui est dessous, il est parlé de deux autres institutions placées dans la Zone internationale, qui sont l’Université de l’Unité Humaine (UHU) et le SAVI (Service des volontaires et des stages d’Auroville). Que sont-elles ?


L’UNIVERSITÉ DE L’UNITÉ HUMAINE (U.H.U ou Uhu))

Comme pour le Cirhu, le nom à lui seul de l’Université de l’unité humaine montre qu’elle serait un haut lieu du cancanage aurovilien.

Sur le site internet d’Auroville, en écrivant UHU dans le moteur de recherche, on arrive sur une page dont la première annonce concerne « University of Human Unity », Université de l’unité humaine. En cliquant dessus, on arrive sur la page relative à cela dont la dernière mise à jour date du 4 novembre 2014*.
Il y a six paragraphes que voici, en commençant d’abord, pour chacun, par une traduction en français.

Premier paragraphe.
Le concept d’unité n’est certainement pas nouveau pour l’humanité et, dans la complexité de notre monde actuel, dans cette extraordinaire diversité culturelle, sociale et économique, l’homme s’est dirigé vers la découverte de nouvelles valeurs et un transfert de vie sur une nouvelle fondation qu’"un esprit fondamental dans l’espèce humaine et un sentiment de nécessité" "réclament d’une façon assez pressante".
Original en anglais :« The concept of unity is definitely not new to humanity and in the complexity of our present world, in this extraordinary cultural, social, economic diversity, man has been moving toward a discovery of new values and a transfer of life to a new foundation, "urgently demanded by an underlying spirit and sense of need in the race". »
Les deux groupes de mots qui sont entre des guillemets sont des citations de ce qui est dans le début du chapitre XI du livre de Sri aurobindo titré L’Idéal de l’unité humaine, mais ce n’est pas indiqué.

Sa traduction en français placée ci-dessus est celle faite par la Mère.
Le chapitre commence ainsi. « Si nous examinons les possibilités d’unification du genre humain par des voies politiques, administratives et économiques, nous constatons qu’une certaine sorte d’unité ou un premier pas dans cette direction parait non seulement possible mais qu’un esprit fondamental dans l’espèce humaine et un sentiment de nécessité la réclament d’une façon assez pressante. »
Dans le premier paragraphe, il n’y a donc rien à propos de l’apport de Sri Aurobindo et la Mère, de ce qui, selon eux, permettra l’unité humaine et qui se rattache au supramental, et il n’est même pas tenu compte de ce qui, selon Sri Aurobindo, fait que « les possibilités d’unification du genre humain par des voies politiques, administratives et économiques » ne correspondent pas à des méthodes permettant de créer la bonne situation.
Au mieux, ce premier paragraphe exprime que ladite Université de l’unité humaine pourrait être créée n’importe où sur Terre par des humains qui agiraient selon leur propre idéal de l’unité humaine, à partir de ce qu’ils sont déjà et sans pratiquer le yoga intégral, mais en employant cependant quelque mots relevant de Sri Aurobindo.

Paragraphe 2.
En réponse à la recherche instinctive de l’humanité vers la redécouverte de la constitution d’unité qui lui est inhérente, le terrain fut préparé, il y a 39 ans, pour [par ?] une ville universelle en Inde du Sud, connu sous le nom "Auroville". Aujourd’hui, Auroville est une expérience vivante de 2000 personnes différentes provenant de plus de 30 pays du monde, toutes dédiées à la réalisation d’une humanité unie. La large gamme de programmes de développement d’Auroville conçus pour le progrès de l’humanité concerne les domaines suivants : arts et culture, recherche en éducation, régénération de l’environnement, artisanat et petites industries, santé et guérison, technologies innovantes de construction, urbanisme intégré, agriculture biologique, énergies renouvelables, développement rural, etc.
Texte original en anglais :« In response to humanity’s instinctive search toward the rediscovery of mankind’s inherent constitution of unity, the ground was prepared 39 years ago for a universal township in South India, known as "Auroville". Today Auroville is a living experiment of 2000 diverse people from over 30 countries of the world, all dedicated to the realization of a united humanity. Auroville’s wide range of development programs designed toward the advancement of humanity span the areas of : arts & culture, educational research, environmental regeneration, handicrafts & small scale industries, health & healing, innovative building technologies, integrated urban planning, organic farming, renewable energy, rural development and more. »
Ladite constitution d’unité qui lui est inhérente est relative au supramental.
Les personnes qui vivent à Auroville sont dites toutes dédiées à la réalisation d’une humanité unie mais chacune devrait, selon la Charte, être dédiée à « être le serviteur volontaire de la Conscience Divine », c’est-à-dire à pratiquer le yoga intégral. On comprend que les responsables et approbateurs de ladite Université de l’unité humaine ne s’occupent pas de pratiquer celui-ci mais agissent d’après un idéal, d’après leur conception de ce qu’est l’unité humaine, même s’ils parlent de ce yoga.
C’est confirmé par le fait que, dans la large gamme de programmes de développement d’Auroville, il n’y a rien concernant la pratique du yoga intégral et pas de référence au passage reproduit de la Charte.
Par ailleurs, il y a l’illusion orgueilleuse que les résidents d’Auroville à eux seuls pourraient créer une humanité unie.

Paragraphe 3.

Auroville est désormais largement reconnue comme un lieu d’apprentissage qui "cherche à assurer la compréhension internationale, la paix, une éducation de type nouveau, l’avènement de la cité éducative et un développement matériel et spirituel global permettant l’épanouissement harmonieux des individus ["].
Original en anglais :« Auroville has become widely recognised as a place of learning that "seeks to ensure international understanding, peace, innovative education, a learning society and an all round material and spiritual development of harmonious individual and collective growth. ["] »

Il y a une citation d’un passage de la résolution numéro 11.19 décidée par la Conférence générale de l’Unesco en novembre 1983* mais ce n’est pas indiqué, et il y a l’erreur d’avoir remplacé « for » par « of » devant le mot « harmonius ».
Le texte en français qui est ci-dessus est celui produit par l’Unesco. (Il commence ainsi : « Reconnaissant que les buts d’Auroville sont la compréhension internationale ». Le texte officiel en anglais commence ainsi : « Recognizing that Auroville seeks to ensure international understanding », c’est-à-dire : Reconnaissant qu’Auroville cherche à assurer la compréhension internationale ».)
Dans le texte présenté et commenté, il y a l’invention consistant à annoncer qu’Auroville est désormais largement reconnue comme un lieu d’apprentissage alors que ça n’est pas dans le texte de l’Unesco.
L’Unesco n’a jamais reconnu, accepté, l’essentiel d’Auroville, l’apport de Sri Aurobindo et de la Mère, et elle ignore la partie de la Charte qui est : « pour séjourner à Auroville, il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine ». Ladite Université de l’unité humaine est à son niveau.

Paragraphe 4.
L’Université de l’unité humaine est conçue comme un genre alternatif innovant d’université, expressif de l’exploration d’une conscience nouvelle dans l’univers émergeant qu’est Auroville, la ville universelle des valeurs et du savoir, libre de beaucoup des nombreuses contraintes traditionnelles qui caractérisent les établissements d’enseignement supérieur dans le monde aujourd’hui. Il existe actuellement à Auroville un certain nombre de centres qui recherchent une vaste coopération entre eux et le [reste du] monde, dans le domaine de la recherche et des études intégrales.
Original en anglais :« The University of Human Unity is being conceived of as an innovative alternative genre of university, expressive of the exploration of a new consciousness in the emerging universe-city that is Auroville, the universal city of values and knowledge, free from many of the conventional restraints that characterize higher educational institutions in the world today. At present there are a number of centres in Auroville which are looking for a wider cooperation among themselves and the world, in the field of research and integral studies. »

Le groupe de mots « exploration d’une conscience nouvelle » ne signifie pas s’ouvrir à son psychique, à la Mère, etc. et recevoir, avec des conséquences. Il correspond à l’activité mentale d’individus qui agissent à partir de ce qu’ils sont déjà pour tenter de créer de l’unité humaine.

Paragraphe 5.
L’Université de l’unité humaine sera une plate-forme d’exploration et de découverte dans tous les domaines de la connaissance et des activités humaines où les étudiants seront ainsi en mesure de concevoir et de poursuivre des programmes d’études dans une atmosphère favorable et contemplative avec la participation et la coopération d’autres étudiants et facilitateurs dans leurs champs respectifs d’intérêt. À travers cette Université, nous explorerons de nouvelles approches de la connaissance et de nouvelles façons d’être, des méthodes d’autoapprentissage et des modalités d’apprentissage qui pourraient nous conduire à une nouvelle perspective et expression, à une compréhension plus profonde et à une force de conscience plus vraie qui se manifeste à Auroville et dans le monde.
Original en anglais :« The University of Human Unity will be a platform for exploration and discovery in all areas of human knowledge and activity where students themselves may conceive and pursue programs of study in a supportive and contemplative atmosphere with the participation and cooperation of other students and facilitators in their respective fields of interest. Through this University, we will explore new approaches to knowledge and new ways of being, self-educational methods and learning modalities which may lead us to a new perspective and expression, a deeper understanding and a truer force of consciousness that is manifesting in Auroville and the world. »

Il n’y a rien à propos de la pratique du yoga intégral et de ses conséquences, comme si ça n’existait pas, et on ne perçoit que les activités besogneuses d’individus qui agissent à partir de la conscience qu’ils ont déjà, et qui s’agitent.

Paragraphe 6, qui est le dernier.
Afin de soutenir davantage un processus d’apprentissage intégré et continu, les programmes de l’Université de l’unité humaine seront offerts au monde via une cyber plate-forme complète. Cette ville-univers en ligne [internet] proposera des portails personnels, des centres de collaboration de groupe pour les études et la recherche, un bureau interactif de conférenciers [« speakers »] / mentors, une bibliothèque complète de données contenant du texte, des images, du son, des didacticiels. En outre, le site comprendra des calendriers internationaux de programmes et d’événements, des forums sur des sujets spécifiques, des tableaux d’affichage, des blogs et des diffusions sur internet en direct.
Original en anglais :« To further support an integrated and continuing learning process, UHU programs will be offered to the world through the development of a comprehensive cyber-platform. This online universe-city will offer personal portals, group collaboration centres for study and research, an interactive speaker/mentor bureau, a comprehensive library of data that includes text, images, audio, video and self-study tutorials. In addition, the site will include international program and event calendars, topic specific forums, bulletin boards, blogs and live webcasts. »
À propos des « calendriers internationaux de programmes et d’événements », des Auroviliens passeront beaucoup de temps à guetter ce qui se passe dans le reste du monde, en considérant qu’Auroville est faite pour ça et que des sympathisants du monde entier devraient leur donner de l’argent pour ça.

Globalement, ladite Université de l’unité humaine semble faite pour beaucoup de cancanage. Elle semble prévue par des individus orgueilleux qui ont les yeux plus gros que le ventre. Le nom Université de l’unité humaine semble un nom pompeux pour des gens pompeux.

Sous le sixième paragraphe qui est reproduit ci-dessus, il y a le lien internet nommé « Go to UHU website » qui renvoie au site personnel de cette institution. Sur celui-ci, il y a notamment la liste des évènements qui existèrent dedans. Vu cela, un nom meilleur pour le futur bâtiment pourrait être Salle de conférences, de cinéma et d’autres activités.

Il y a la conception de la Zone internationale qui fait de celle-ci en entier une université. Dans ce cadre mauvais qui finira par disparaitre, ladite Université de l’unité humaine a sa place lorsqu’il est envisagé qu’elle mérite d’exister.

Mais la Zone internationale est prévue pour des Pavillons de pays et ladite Université de l’unité humaine n’y a pas sa place. C’est le cas, que sa nature soit plus ou moins bonne ou mauvaise. Cette institution encombre la Z.I. et devra en être évacuée.

Si le bâtiment de cette institution était construit, il pourrait être démoli ou un déplacement de la Zone internationale vers le bas, sur le plan, pourrait la faire être en son extérieur.


LE SERVICE DES VOLONTAIRES ET DES STAGES D’AUROVILLE (S.A.V.I. OU Savi)

Sur le site d’Auroville, suivre le chemin suivant : « Home », Accueil, « What can you do », Ce que vous pouvez faire, « Volunteer & intern », Volontaires et stagiaires. Aller sur « SAVI – Volunteer / Intern Service », Service des volontaires et stagiaires.

Il y a un article dont la dernière mise à jour date du 10 juillet 2018*.
Titre : « A doorway for a new learning », Une porte pour un nouvel apprentissage.
Seul le début est reproduit ci-après, la traduction en français d’abord.

Savi (mot tamoul pour "clé") est un service destiné aux étudiants et aux professionnels qui souhaitent participer et contribuer à Auroville pour une durée comprise entre 2 et 12 mois. Savi maintient une base de données pour les possibilités de volontariat, à la fois informelles et académiques, pour aider à trouver des projets pour les compétences et la bonne volonté qui se proposent depuis le monde entier. Savi soutient et aide les volontaires dans leurs divers besoins avant et pendant leur séjour à Auroville.
Original en anglais :« Savi (Tamil for “key”) is a service for students and professionals who wish to participate in and contribute to Auroville for a duration between 2 and 12 months. Savi maintains a database of volunteering opportunities, both informal and academic, to help find projects for the skills and goodwill offered from around the world. Savi supports and assists volunteers in their various needs before and during their stay in Auroville. »


Autre passage.
Titre : Auroville, un lieu pour des missions volontaires (6 à 12 mois)
Auroville est une ville en devenir. Une région rurale semblable au désert se transforme progressivement en une ville. On l’appelle souvent un "laboratoire humain".
La vision de Sri Aurobindo et de la Mère est sa raison d’être, c’est un endroit très spécifique, différent des nombreux "villages écologiques" et des communautés intentionnelles ou alternatives qui existent sur la planète.
Beaucoup de gens ont volontairement offert leur énergie et certains d’entre eux sont restés ou sont revenus pour rester.
Venir à Auroville en tant que volontaire bénévole implique que vous soyez en quelque sorte en accord avec les objectifs et les idéaux de la ville, que vous soyez prêt à donner votre énergie à ses différents projets et services et à participer à son développement.
Savi vous aidera à trouver le bon environnement pour votre intérêt, vos compétences et votre tempérament. Savi offre des opportunités de contact et de collaboration avec toutes sortes de projets et d’activités : nous avons répertorié de nombreuses activités à Auroville et documenté leurs offres. Savi peut communiquer ces "opportunités" après application appropriée
.

Original en anglais :Titre : « Auroville, a place for voluntary missions (6 - 12 months)
Auroville is a city in the making. A desert-like, rural area is gradually changing into a city. It is often called a ‘human laboratory’.
The vision of Sri Aurobindo and the Mother is its raison d’être, it’s a very specific place, different from the many ‘eco-villages’ and intentional or alternative communities that exist on the planet.
Many people voluntarily offered their energy and some of them stayed or came back to stay.
To come to Auroville as a volunteer implies that you somehow resonate with the city’s aims and ideals; that you are ready to give your energy to its various projects and services and take part in its development.
Savi will help you find just the right environment for your interest, skill and temperament. Savi offers opportunities for all kinds of projects and activities to contact and collaborate with: we have interviewed many activities in Auroville and documented their offers. Savi can communicate these "opportunities" after due application. »

Le passage : c’est un endroit très spécifique, ainsi que ce qui est écrit après dans la même phrase est exact. (Que désignent précisément les mots communautés intentionnelles ?)
Qu’est-ce qui est désigné par : La vision de Sri Aurobindo et de la Mère ?
Qu’est-ce qui est désigné par : les objectifs et les idéaux de la ville ?
Il est certain qu’il n’est pas parlé de la pratique du yoga intégral, pas de « pour séjourner à Auroville, il faut être le serviteur volontaire de la Conscience Divine ».
Il suffit d’être intéressé par l’idéal de l’unité humaine, selon la compréhension que chacun s’en fait.

L’institution aurovilienne S.A.VI ou Savi n’a pas sa place dans la Zone internationale. Elle l’encombre et devra en être évacuée.
Est-ce que certains individus considèrent le contraire car il y a des relations avec des individus qui vivent hors d’Auroville ? Mais la Z.I. est faite pour les Pavillons de pays et, en plus, de telles relations existent pour des parties d’Auroville qui sont autres que la Z.I.


RÉFLEXIONS FINALES

Mis à part ce qui concerne le Bharat Nivas, Pavillon de l’Inde, des individus s’occupent donc de la Zone internationale et de ses Pavillons jusqu’à des détails de ceux-ci.
Pour faire tout cela, est-ce qu’ils s’ennuient dans Auroville !? Est-ce qu’ils ont leur développement intérieur bloqué et ne produisant donc rien pour leur action extérieure, et ils se mettent donc à s’occuper de la Z.I. !? Cette zone (qui est objectivement encore grandement indéterminée) est en attente des Pavillons à venir depuis les pays. Elle n’est pas un terrain abandonné que des Auroviliens devraient remplir.

Est-ce que des individus cherchent à créer rapidement une ville idéale architecturalement comme le ferait un architecte renommé ? Est-ce que le but est de présenter une façade considérée belle, afin de se faire plaisir et afin d’attirer touristes et argent ? Est-ce que les Pavillons de pays sont considérés comme des décorations ? Est-ce que les Auroviliens qui s’activent à ce sujet cherchent à se valoriser ainsi ?
Dans les années 70, une ressortissante de l’U.S.A. annonça, dans une réunion à Auroville, que, dans son pays, on savait très bien créer des villes à partir de rien et rapidement mais qu’Auroville n’avait pas à être construite de cette manière car elle devait être construite par un mouvement allant de l’intérieur vers l’extérieur. Ce qui est appelé intérieur n’est pas l’agitation mentale qui produisit les nuisances auroviliennes concernant la Z.I. Cette annonce n’eut pas d’effet pratique.

À propos de la création d’autres Pavillons de pays après celui de l’Inde, rien ne doit émaner d’Auroville, de ses habitants. Tout doit émaner de chacun de ces pays, peu importe s’il y faut plusieurs siècles.
(Notamment, des Français qui sont d’Auroville, qui se disent même peut-être représentants d’Auroville à propos de Pavillon de la France, sont par nature incompétents pour initier quoi que ce soit à ce sujet. Il faudra savoir reconnaitre ce qu’il se passera en France et dans la lignée de cela à propos du Pavillon de la France à Auroville. Il faudra savoir recevoir. Pareil pour les autres pays.)

Les Auroviliens agités qui cancanent à propos de la Z.I. devraient arrêter de faire cela. Ils pourraient apprendre à se calmer, à se mettre en silence, à ne pas encombrer la Z. I, à ne pas empêcher les arrivées de véritables Pavillons de pays à cause de leurs conceptions erronées et de leurs encombrements. Quand se mettront-ils à désencombrer ? Faudra-t-il l’arrivée du début de manifestation d’un véritable Pavillon de pays, selon ses propres règles, pour provoquer le début du renversement des folies actuelles ?

Pour l’instant, les individus qui soutiennent le mauvais projet actuel, ou tout autre projet du même genre, ne sont pas des opposants, des adversaires, à l’action de pays qui agiront chacun en faveur de la construction de son pavillon. Ils ne sont que des Agités, faisant de l’agitation. Ils sont seulement non-réceptifs aux reproches. Ils deviendront adversaires lorsqu’ils s’opposeront à ce mouvement, et dès qu’ils ne renonceront pas à leur projet actuel ou à un éventuel autre du même genre. Leurs réactions révèleront de plus en plus ce qu’ils valent, ce qui les anime.

De l’énergie, du temps d’activité, et de l’argent sont dépensés pour le mauvais projet de Z.I., et ça finira par ne servir à rien, au moins directement, alors que l’argent aurait pu servir à acheter des terres
Des gens finiront-ils par comprendre qu’ils ont perdu leur temps, qu’ils n’ont pas su employer efficacement leur présence à Auroville ?

Pour la Z.I., il n’y a pas que l’action de quelques Auroviliens car il y a d’abord l’action nocive du Gouvernement indien et des Indiens qui vivent à Auroville, et aussi d’Auroviliens venant d’autres pays et qui s’en font les complices.

Il y a la publication aurovilienne titrée « News & Notes », Nouvelles et Notes, « a weekly bulletin for residents of Auroville », une publication hebdomadaire pour les résidents d’Auroville. Page 21 de son numéro 559 du 9 aout 2014*, il y a un appel à recevoir de l’argent, notamment ceci, la traduction en premier. Les donateurs recevront un certificat de contribution attestant de leur soutien loyal à Auroville, ainsi qu’un paquet de terre rouge d’Auroville, lien matériel avec la ville de l’Aurore. Original en anglais : « Donors will receive a Certificate of Contribution testifying to their loyal support for Auroville, as well as a packet of Auroville’s red earth, a material link to the City of Dawn. » Ce fut aussi indiqué sur une page internet aurovilienne de l’institution « Auroville International ». Ce fut aussi diffusé sur le site de l’association nommée Auroville International France.
Pour recevoir de l’argent, Auroville fit donc appel à l’instinct de propriété, à l’idée d’appropriation d’une partie d’Auroville, quelques grains de terre. C’est très bas. C’est pourtant avec cela que les meneurs de la campagne de recherche d’argent voulurent accroitre l’existence d’Auroville ! Les donateurs n’oublieront pas d’encadrer leur « Certificat » et de l’exposer chez eux de manière très visible !
L’annonce ne semble plus exister sur une page internet. Si c’est vraiment le cas, est-ce que ce fut parce que des individus finirent par comprendre ce qui n’allait pas dans cette annonce.

Dans le même numéro de « News & Notes », à sa page 22, il était indiqué que la campagne de récolte d’argent était faite en faveur du Matrimandir et la Zone internationale.
Vu de l’extérieur d’Auroville, ça semblait une position défaitiste, une position de repli. Une cause est qu’il semble qu’il faudrait plutôt s’occuper d’acquérir des terrains de la zone verte, qui subissent des poussées de conquête venant de l’extérieur pour des constructions de bâtiments, notamment par des promoteurs immobiliers. Même le rachat de tels terrains avant que les bâtiments soient construits serait intéressant. Une autre cause est que, face à la lenteur (naturelle) de l’élaboration d’Auroville et à la déception de ne pas la voir déjà entièrement construite, il y a l’idée de se dépêcher de créer une partie de la ville elle-même pour avoir le plaisir de cette réalisation… superficielle. (Des forces hostiles et leurs instruments humains poussent à la réalisation rapide d’Auroville car, plus ça se fait ainsi, plus cette ville perd sa raison d’être.)
Sur la même page il y avait une expression du désastreux Karan Singh selon lequel il fallait s’occuper d’acquérir des terres dans la Z.I. pour développer la Zone internationale en tant que centre d’unité humaine, « for developing the International Zone as a center of human unity ». Une conception répandue dans Auroville est que ce sont les Auroviliens de tout Auroville à eux seuls, quelques milliers de personnes, qui vont faire cette unité (car il n’est pas tenu compte de ce devrait représenter chaque Pavillon de pays). Singh exprime que ce serait seulement dans la Z.I. que cette unité humaine serait créée, par des Auroviliens habitants les autres parties d’Auroville !
Si tous les terrains de la Z.I. appartenaient à Auroville, ses Agités pourraient matérialiser davantage leur mauvais projet.
Aucun pouvoir public indien n’a à intervenir dans l’organisation et le fonctionnement d’Auroville. Par contre ce pays peut continuer d’agir concernant l’existence de cette ville, c’est-à-dire principalement l’achat de terrains. Est-ce qu’un de ces pouvoirs publics créa au moins un droit de préemption concernant des terrains achetés par des entités autres qu’Auroville ? En tout cas, des pouvoirs publics indiens donnent beaucoup d’argent à des éléments d’Auroville qui ne méritent pas d’exister, notamment les parties qui ne sont pas typiquement auroviliennes de l’organisme étatique nommé Fondation d’Auroville. C’est de l’argent gaspillé, et de l’argent de corruption.
Auroville arriva à comprendre qu’il était intéressant de favoriser l’achat des terres dans la ceinture verte et elle valorisa enfin cela sur son site, sous le nom « Green acres », Hectares verts.

Le mauvais projet concernant la zone internationale est une conséquence de la conception dans laquelle il y a l’idée que, pour bâtir Auroville, ce sont seulement les Auroviliens (les habitants permanents d’Auroville) qui agissent, et des individus du reste du monde ou des pays ne pourraient qu’aider ceux-ci, sans valoir quelque chose en eux-mêmes. Cette idée est rattachée parfois à celle qu’il faudrait être à Auroville parce que l’important serait d’être dans cette ville, pas de suivre son guide intérieur, de s’ouvrir à la Mère, etc., ce qui ne mène pas forcément à aller s’installer à Auroville.


POUR LA Z.I., L’ERREUR D’EMPLOYER UN TEXTE DE LA MÈRE D’AVRIL 1952* ET, DONC, DE CONCEVOIR LES PAVILLONS CORRESPONDANT À DES PAYS COMME ÉTANT SEULEMENT DES PAVILLONS CULTURELS, ET DE CONCEVOIR TOUTE LA Z.I. COMME ÉTANT UNE UNIVERSITÉ

L’ERREUR COMMUNE D’AUROVILLE

En avril 1952*, dans le Bulletin d’éducation physique publié par l’Ashram de Pondichéry, un texte fut placé aux pages 45 à 51. Il concerne un établissement d’enseignement créé à l’époque en cette ville. Il était prévu qu’il ait des pavillons culturels correspondant chacun à un pays.
(Ce texte et un autre publié dans le même Bulletin en aout 52 sont reproduits aux pages 45 à 51 du livre suivant en français Éducation, la Mère, Sri Aurobindo Ashram Trust, « 1981 ». C’est le livre de format 15,1 cm x 23,5 cm, de 555 pages, pas le livret de 67 pages qui a le même titre.)

Pour les Pavillons de pays de la Zone internationale de la ville nommée Auroville, des éléments du texte d’avril 1952* pouvaient être employés mais pas la totalité de celui-ci puisqu’il ne concernait pas la même chose. Pourtant, Auroville dans son ensemble commit l’erreur de l’employer pour la Z.I. Des publications sur papiers existent. Ça exista aussi sur l’ancien site internet d’Auroville, celui qui fut remplacé, sans être supprimé, par un nouveau site, le 19 aout *14, puis qui fut supprimé.

Sur le site actuel d’Auroville, les textes de 1952* ne sont plus indiqués expressément, sans qu’une explication soit apportée. Est-ce qu’il y a la volonté de ne pas montrer le développement de pensée qui fit aboutir à cette absence de profondeur historique ? Est-ce qu’Auroville veut donner une image d’elle-même plutôt que montrer la réalité ? Mais il est possible qu’il n’y eût pas de prise de conscience de l’erreur mais une autre cause, superficielle.
Quoi qu’il en soit, la référence aux textes de 52 continue d’exister avec ses mauvaises conséquences. C’est montré dans la partie suivante. Dans celle d’après il y a ce qui existait sur l’ancien site d’Auroville. Ensuite il y a d’autres développements.


SUR L’ANCIEN SITE D’AUROVILLE, DES CITATIONS (SANS RÉFÉRENCES) DU TEXTE D’AVRIL 52, QUI ÉTAIENT MISES AU SERVICE DE LA MAUVAISE CONCEPTION AUROVILIENNE DE MANIÈRE MALHONNÊTE

Le site internet actuel d’Auroville est présenté plus loin et l’ancien aide à le comprendre.

Sur cet ancien site, une page était titrée « International Zone », La Zone internationale.
Dans la large colonne de droite, il y avait de courts textes et des illustrations.
Il y avait d’abord une petite partie qui était une introduction : Auroville/forme de galaxie, quatre zones autour du secteur du Matrimandir, nombre d’Auroviliens de tant de pays.
Ensuite il y avait une bande horizontale bleue contenant le titre et le sous-titre de tout ce qui suit.
Ensuite, il y avait deux grandes parties avec de courts textes et des illustrations. (Celles-ci étaient souvent sans rapport avec les textes.)
Enfin il y avait le plan qui date de vers l’an numéroté 2010 P.T.C. et qui est présenté plus haut.
Comme déjà dit, cette page n’existe pas sur le site actuel d’Auroville. Pourtant, tout ce qui suit dans la présente partie est quand même utile à connaitre, premièrement car ça montre ce qui exista, deuxièmement car ça correspond à ce qui existe encore dans Auroville.

La bande bleue avec titre et sous-titre.
Dans la bande horizontale bleue, le titre est « The International Zone », La Zone internationale.
Le sous-titre est « a playground for human unity to unfold ». Peut-être : un terrain de jeu où l’unité humaine se déploie, ou : un terrain de jeu pour le déploiement de l’unité humaine.
Quelle que soit la signification exacte, il y a l’idée que l’unité humaine se ferait seulement dans la Z.I. et c’est une erreur.


La première grande partie de la page.
Tous ses textes sont reproduits ci-après sauf celui indiqué plus loin, et il est parlé d’une seule des huit illustrations.

Le premier paragraphe est ceci, la traduction en premier, mise en lettres italiques. La Zone internationale d’Auroville représente une opportunité pour les pays du monde de travailler au profit d’un noyau d’une large unité humaine mondiale, et de l’exprimer de manière concrète. Original en anglais :« The International Zone of Auroville represent [represents ?] an opportunity for countries of the world to work toward, and express in a concrete way, a nucleus of world-wide human unity. »
Il n’est pas envisagé que chaque pavillon soit une conséquence d’une action effectuée dans le pays. Selon ce qui est dit, les pays ne pourraient agir dans la direction finale indiquée (consciente ou non) qu’en agissant ainsi dans Auroville, et même seulement dans sa Z.I. Les pays, leurs nations, devraient se mettre au service du projet de Z.I., au service du projet des Auroviliens qui le promeuvent et, donc, à celui du Gouvernement indien qui poussa à sa création et qui le soutient.

Ensuite, sous le titre correspondant au français : Les conditions pour une unité durable, il y a un texte en deux paragraphes qui est une citation de la Mère, mais il n’y a aucune référence, même pas de l’auteur, et pas de guillemets. Il y a donc une mise au même niveau des écrits de la Mère et de ceux des auteurs du panneau. Les lecteurs qui reconnaissent un texte écrit par la Mère peuvent penser que les autres sont aussi de celle-ci.

Le texte en anglais en deux § est une traduction de l’écrit suivant de la Mère, mais son début correspond sur le site à La plus importante idée est que l’unité.
« Quelques idées générales […] La plus importante est que l’unité de la race humaine ne peut être accomplie ni par uniformité, ni par domination et sujétion. Seule l’organisation synthétique de toutes les nations, chacune occupant sa vraie place suivant son génie propre et le rôle qu’elle doit jouer dans l’ensemble, est capable de produire une unification compréhensive et progressive qui aura quelque chance de durer.
Et pour que la synthèse soit vivante, le groupement doit se faire autour d’une idée centrale aussi large et haute que possible, dans laquelle toutes les tendances, même les plus contradictoires, peuvent trouver leur place respective. Cette idée plus haute est de fournir aux hommes les conditions de vie nécessaires pour qu’ils puissent se préparer à manifester la force nouvelle qui créera la race de demain. » (Fin de citation.)
Ce texte vient du Bulletin d’éducation physique d’avril 52 et il ne concerne pas précisément la Zone internationale mais l’humanité en général, « toutes les nations ». Le mettre sous le titre Z.I. résulte donc d’une pensée à l’envers, faisant une déformation, du texte et de la Z.I.
À côté de ce texte est l’image d’un grand mandala fait sur le sol d’un bâtiment avec, soit des pétales de fleurs de plusieurs couleurs, soit des craies, et avec quelques personnes debout à côté. Quelle est la relation avec le texte ?

Ensuite il y a un titre qui est Un essai pour créer un monde de collaboration, « An attempt to create a world of collaboration ».

Sous ce titre, il y a d’abord ceci : La Zone internationale d’Auroville est un terrain destiné à accueillir le pavillon de chaque nation, et de recréer ainsi symboliquement le monde, dans un esprit de fraternité et d’harmonie au lieu de combat et de rivalités. Original en anglais : « The International Zone of Auroville is a piece of land destined to welcome the pavilion of each nation, thus recreating symbolicaly the world, in a spirit of brotherhood and harmony instead of fight and rivalries. »
Le groupe de mots recréer ainsi symboliquement le monde correspond-il à la mauvaise idée de positionnements géographiques continentaux (ou pseudo-continentaux) autour de l’Inde ?

Le § qui est aussitôt après ce qui précède est l’anglais qui correspond à ce qui suit dans le présent paragraphe. Une sorte d’exposition mondiale permanente serait organisée dans laquelle tous les pays seront représentés d’une manière concrète et vivante. Dans les pavillons nationaux "les cultures des différentes parties du monde y seront représentées […] de façon accessible à tous, non seulement intellectuellement dans les idées, les théories, les principes et le langage, mais aussi vitalement dans les habitudes, les coutumes, l’art sous toutes ses formes : peinture, sculpture, musique, architecture, décoration ainsi que physiquement par les paysages, les costumes, les jeux, les sports, les industries, la nourriture.
Il n’y a aucune référence, même pas de l’auteur. Il y a donc une mise au même niveau de ce texte et du précédent et des autres. (Les lecteurs qui pensent reconnaitre un écrit de la Mère peuvent penser que les autres sont aussi de celle-ci.)

À la base de ce texte, il y a celui de la Mère déjà indiqué qui fut publié dans le Bulletin d’éducation physique d’avril 52, le même que celui indiqué ci-dessus. Le guillemet ouvrant qui est placé avant les cultures n’est pas accompagné par un guillemet fermant mais il devrait y en avoir un à la fin. Le signe de points de suspension entre des crochets (qui est collé au mot qui le précède) ne correspond pas à une coupure dans le texte français, il ne correspond à rien. La première phrase correspond à une phrase du texte original français qui est après cette fin : « Il faut organiser une sorte d’exposition universelle permanente où tous les pays seront représentés de manière concrète et vivante ».
L’important est que, dans le texte de la Mère, ça concernait un « Centre universitaire international » avec des pavillons de nations « ayant une culture bien définie », alors que ce texte est utilisé sur cette page de l’ancien site d’Auroville pour des pavillons de pays dans la Z.I., et en faisant comme si ce texte de la Mère concernait celle-ci : Dans les pavillons nationaux. Il y a donc une déformation volontaire, une malhonnêteté intellectuelle, afin de mettre le texte de 52 au service des Auroviliens auteurs du texte et de leurs approbateurs.

Ensuite il y a le titre « First concrete steps », Premiers pas concrets. Ce passage concerne ce qui est en construction ou envisagé : Pavillon de l’Inde, etc. Il n’y a donc pas en parler dans le présent article qui concerne la Z.I. en général.

La fin de cette première grande partie est un paragraphe écrit en lettres grasses et dont on ne sait pas s’il est la fin de la partie titrée Premiers pas concrets ou s’il est la fin de toute cette première grande partie. Le voici. Mais l’unité n’a pas encore été exprimée assez systématiquement pour réaliser l’idée initiale. Nous sommes sur le chemin ; toutes les circonstances peuvent être considérées comme des occasions de progresser. Néanmoins, pour la détermination de l’humanité c’est un essai de réaliser le prochain pas de son évolution. Original en anglais : « But unity has not yet been expressed consistently enough to realise the initial idea. We are on the way ; all the circumstances can be considered as occasion to progress. Nevertheless it is a test for humankind determination to realise the next step of its evolution. »
La traduction n’étant peut-être pas complètement exacte, on dit seulement ceci.
Il est parlé de « l’idée initiale ». Celle-ci est probablement seulement la conception actuelle en vigueur dans Auroville.
« We are », Nous sommes. Il y a l’idée que des Auroviliens du moment vont faire l’unité humaine.


La deuxième grande partie de la page.
Tous ses textes sont reproduits ci-après sauf ceux de la dernière partie dont il y a un résumé. Il n’est parlé d’aucune des huit illustrations.

Le premier texte est ceci. Mais les pavillons n’ont pas seulement à se partager un morceau de terre. Une nation, pour trouver sa vraie place dans le concert mondial et être prête pour l’avenir, doit se tourner vers son intérieur et les peuples doivent s’élargir et devenir universels dans leur humanité par l’apprentissage les uns des autres. Original en anglais :« But the pavilions are not only about sharing a piece of earth. To find its true place in the world concert and to be ready for the future, a nation has to turn inwards and people have to widen themselves and become universal in their human hood by learning from each other. » (Human hood est écrit ainsi en deux mots.)
La première phrase de la citation concerne les Pavillons de pays dans la Z.I.

La deuxième ne concerne pas précisément la Zone internationale mais concerne les pays, c’est-à-dire, précisément, la nation de chacun d’eux : Une nation, les peuples. La mettre sous le titre Z.I. résulte donc d’une pensée à l’envers.
Une pensée pas claire semble à l’origine de cet emploi des mots nation et peuples, mais la traduction est peut-être mauvaise.
Il est dit que se tourner vers son intérieur servirait à trouver sa vraie place dans le concert mondial et être prête pour l’avenir. Il est dit aussi que s’élargir et devenir universels résulteraient de l’apprentissage à partir du génie de chaque nation. Il n’est donc pas envisagé que ça puisse venir d’abord du développement individuel de soi-même, de l’action de se tourner vers son intérieur et des conséquences de cela. Il y a donc une mauvaise pensée.

Ensuite il y a le titre Devenir universel par l’apprentissage à partir du génie de chaque nation. « To become universal by learning from the genius of each nation ».
Il y a la même idée fausse que dans la fin de citation précédente.

Sous ce titre, il y a d’abord la traduction en anglais qui correspond à un passage d’un texte écrit par la Mère et qui fut publié dans le Bulletin d’éducation physique du mois d’aout 52. « De même que chaque individu a un être psychique qui est son vrai moi et gouverne plus ou moins ouvertement sa destinée, de même chaque nation a un être psychique qui est son être véritable et qui façonne sa destinée de par-derrière le voile ; c’est l’âme du pays, le génie national, l’esprit de chaque peuple, le centre de l’aspiration nationale, la source de tout ce qui est beau, noble, grand et généreux dans la vie d’un pays. Les vrais patriotes sentent sa présence comme une réalité tangible. » (Fin de citation.)
Ça concerne d’abord les pays méritant d’exister. C’est seulement ensuite que ça concerne la Z.I. et chaque Pavillon de pays en général. Sur le site, il y a donc encore le résultat d’une pensée à l’envers.

Le texte précédent est écrit sans guillemets et sans aucune référence, même pas le nom de l’auteur.
Aussitôt après, il y a un deuxième paragraphe qui n’est pas de la Mère mais qui est présenté avec une forme pareille au précédent. Des lecteurs peuvent donc penser que c’est le même auteur, celui qui fit le panneau d’exposition. Les lecteurs qui reconnaissent que le premier § est un texte de la Mère peuvent penser que ce deuxième l’est aussi.

Ce deuxième § est ceci. Chaque pavillon conduira des recherches sur les différents aspects de la nation à la lumière de l’évolution de la conscience. Les activités culturelles et éducatives du pavillon exprimeront les résultats de ces recherches. Original en anglais : « Each Pavilion will conduct research on different aspects of the nation in the light of the evolution of consciouness. Cultural and educational activities of the pavilion will express the results of these studies. »
Les auteurs de cela ne pensèrent pas que des individus qui vivent dans leur pays sont mieux placés pour connaitre chacun une ou quelques parties de l’état de leur nation à propos de tout sujet, pour prendre conscience de ce qui est plus loin vers le haut et aussi vers le bas, et de limites, d’effets nuisibles, etc., et pour être donc poussés à chercher des solutions, pour aspirer à en trouver, etc. Des Auroviliens prévoient que les personnes de chaque Pavillon s’agiteraient et, en plus, qu’elles enseigneraient le résultat de cela.

Ensuite, il y a deux paragraphes qui n’ont pas de référence. Les voici d’abord en leur traduction.
Le premier but sera donc d’aider les individus à prendre conscience du génie profond de la nation à laquelle ils appartiennent, et en même temps de les mettre en contact avec les modalités de vie des autres nations, afin qu’ils apprennent à connaitre et à respecter également l’esprit véritable de tous les pays de la terre.
Car toute organisation mondiale pour être réelle et viable doit être basée sur ce respect et cette compréhension réciproques des nations les unes pour les autres, aussi bien que des individus les uns pour les autres.
Original en anglais : « The first aim will therefore be to help individuals to become aware of the fundamental genius of the nation to which they belong and at the same time to bring them into contact with the ways of life of other nations, so that they learn to know ans respect equaly the true spirit of the countries of the world.
For, in order to be real and workable, any world organisation must be based on this mutual respect and understanding between nation and nation as well as between individual and individual. »
Selon l’ensemble de la page, le « premier but » est celui de chaque Pavillon de pays ou, de manière générale, celui de la Z.I. mais les mots toute organisation mondiale montrent que le texte concerne les pays et les relations entre eux. Le placer sous le titre Z.I. résulte d’une pensée à l’envers.
Ce texte vient de l’article déjà indiqué d’avril 52, relatif à un établissement d’enseignement, et il est donc mis au service de l’idéologie aurovilienne en jeu, qui est mauvaise.
Il est donc fait comme s’il était parlé du premier but de la Zone internationale et, donc, de celui de chacun de ses Pavillons de pays et, par sous-entendu implicite, comme si ce but était de faire de l’enseignement avec des enseignants et des élèves.
Ce prétendu premier but relatif à de l’enseignement est une erreur et ce sujet est traité plus loin.

Avant, voici ce qui est à la fin de la deuxième grande partie de la page internet.
Il y a le titre suivant. Le monde se prépare à un grand changement. Voulez-vous aider ? « The world is preparing for a big change. Will you help ? »
Ce texte fut le message de la Mère pour l’arrivée du nouvel an numéroté 1970 P.T.C. (L’Agenda, 10 décembre 69.) Il fut adressé à des individus qui vivent partout sur la Terre. Son enjeu est la manifestation supramentale sur la Terre et, précisément, la contribution que chacun peut apporter et, pour cela, se mettre de plus en plus sous l’influence de son psychique, de la Mère, etc.
Sur le panneau, la première chose indiquée ensuite est une invitation adressée à des Gouvernements à participer, pas à l’existence du pavillon de leur pays, comme l’avait dit la Mère, mais au développement de celui-là. Autrement dit, des Auroviliens agiraient, créeraient tel ou tel pavillon, et les Gouvernements ne serviraient qu’à donner de l’argent et peut-être autre chose. Et ils feraient cela par eux-mêmes sans tenir compte de l’opinion du reste de leur nation.
La même idée est indiquée juste après à propos des Centres Auroville international qui sont dans quelques pays. Eux aussi sont dit soutenir (« support ») le développement du pavillon de leur pays, qui serait donc créé par des Auroviliens et mené par eux.
Finalement, ce sont les individus qui, sur la page internet, sont aussi invités à s’investir dans cette entreprise (ou cet effort), à soutenir le projet d’Auroville concernant la Z.I., à soutenir des Auroviliens qui seraient les seuls à agir à ce sujet.
Enfin, il est dit que le développement de la Zone internationale est coordonné dans Auroville par une institution nommée International Zone Group et, dans le § suivant, il y a ses coordonnées. Cette institution est située dans ledit Pavillon de l’Unité.
Donc, il n’y a pas l’idée que le message de la Mère pour l’arrivée du nouvel an 1970* concernait la manifestation supramentale partout sur la terre et que la question était posée à tous les humains qui auraient connaissance du message.
Les Agités auteurs de la page et leurs approbateurs firent comme si le message concernait l’aide que des humains pourraient apporter à Auroville et, précisément à la Z.I. Il y a donc l’expression d’une volonté d’accaparement du processus de manifestation supramentale. En mots et en idée, il y a une réduction, une déformation, un détournement.
Et, en plus, le message est mis au service du projet aurovilien de Z.I., projet mauvais. Il est mis au service des Auroviliens pour qu’il les aide à satisfaire leur volonté. Les Agités auteurs de la page internet déformèrent le message pour le réduire à signifier : voulez-vous participer à la création de la Zone internationale (telle que nous la concevons) ?
Comme déjà dit, c’est l’Inde qui est derrière cela car elle s’appropria Auroville, en contradiction avec le début de la Charte.



LE SITE ACTUEL D’AUROVILLE ET SA CITATION (SANS RÉFÉRENCES) AU TEXTE D’AVRIL 1952*


Le plan de 2001 est sur une page titrée « Auroville International Zone – Planning and development », Zone international d’Auroville – Planification et développement. Au-dessus du plan, il y a un texte.

En voici le premier paragraphe, d’abord sa traduction mise en lettres italiques.
Titre : La ville comme modèle de développement
Bien que la Mère ait parlé d’une "sorte d’exposition universelle permanente", ses paroles montrent très clairement que ce centre éducatif international se veut un lieu très vivant, plus proche d’une cité universitaire que d’un lieu d’exposition formel, lieu où toutes les cultures colorées du monde peuvent se rencontrer dans une harmonie vibrante et progressive.
La taille finale de la zone internationale, sa vitesse de croissance, son contenu, sa vie future et ses besoins dans le contexte de l’ensemble d’Auroville, en fonction de l’ampleur de la participation internationale, nous sont actuellement inconnus et assez difficiles à évaluer.

Texte original en anglais : Titre : « The city as a development-model
Although the Mother has spoken of "a kind of permanent world-exhibition", her words make it very clear that this international educational centre is intended to be a very lively area, more like a ‘cité universitaire’ than a formal exhibition ground, a place where all the colourful cultures of the world can come together in a vibrant and progressive harmony.
The final size of the International Zone, its speed of growth, its contents, future life and requirements in the context of the whole of Auroville, depending on the extent of international participation, is unknown to us at present and rather difficult to assess. » (Fin de citation.)
La citation "sorte d’exposition universelle permanente" provient du texte d’avril 52, ce qui montre qu’il est encore employé.
C’est en conséquence de cela que la Z.I. est présentée de manière erronée comme étant un centre éducatif international.
En s’enfonçant dans l’erreur, deux conceptions de cela sont indiquées : cité universitaire ou lieu d’exposition. La première conception est préférée par Auroville.
Cette préférence existe malgré ce qui est indiqué, c’est-à-dire malgré que la Mère ait parlé d’une "sorte d’exposition universelle permanente". (Ça se comprenait puisque ça concernait un établissement d’enseignement, pas une ville.)
Du paragraphe suivant de la citation, on dit seulement que les mots participation internationale signifient : participation venant de l’étranger au projet créé par des Auroviliens et le Gouvernement indien. Il n’est pas envisagé que quelque chose vienne de pays étrangers, de nations étrangères, pour créer quelque chose dans Auroville.

Sur la page du site d’Auroville, après la partie précédente, il y a la suivante, la traduction en premier.
Titre : Planification ouverte
Cela appelle une sorte de planification ouverte. Ce qu’il faut, ce n’est pas un plan directeur "gelé", mais la postulation d’une série d’options de croissance, offrant des possibilités de changement. Nous ne devrions pas essayer d’imposer une image finale fixe et préconçue.
Pourquoi ne pas baser le développement de la Zone internationale sur la structure et le modèle de croissance d’une ville, d’une petite ville, d’un village ou d’un quartier, s’étendant à partir d’un centre ou d’une place (entourés de bâtiments plus importants ou plus couramment utilisés ? Cela assurerait un bien-être psychologique (grâce à une orientation et une lisibilité claires) et une flexibilité de planification en même temps ?
Original en anglais : « Titre: Open-ended planning

This calls for a kind of open-ended planning. What is needed is not a ‘frozen’ master plan, but the postulation of a series of growth options, with the provision of possibilities for change. We should not try to enforce a fixed and pre-conceived end-picture.
Why not base the development of the International Zone on the structure and growth pattern of a city, a small town, a village or a neighbourhood, expanding from a centre or square (surrounded by more significant or commonly-used buildings) ? This would provide psychological well-being (through clear orientation and readability) and planning flexibility at the same time ? » (Fin de citation.)
Auroville exprime son intention de ne pas essayer d’imposer une image finale fixe et préconçue, seulement à propos d’aspects qui sont secondaires par rapport à son plan global.
Mais c’est tout celui-ci qui est mauvais et qu’elle s’occupe d’imposer au reste du monde.
Ce qui est dit montre qu’il n’y a pas l’action d’un pays faisant que son Pavillon commence à être créé mais qu’il y a l’activité mentale d’Agités auroviliens.

Le plan de 2010 est sur une page titrée « International Zone (IZ) and National / Cultural Pavilions », Zone internationale (ZI) et Pavillons nationaux / culturels.
Sous le plan, il y a un texte dont voici le premier paragraphe, d’abord sa traduction mise en lettres italiques.
La Zone internationale (ZI), l’une des quatre principales zones de la ville d’Auroville – les trois autres étant les zones résidentielle, culturelle et industrielle– est le site désigné pour les Pavillons nationaux du monde entier. Représentant toutes les grandes cultures, ces centres de recherche, d’étude et de création seront une manifestation concrète et richement expressive de l’unité humaine dans la diversité.
Original en anglais : « The International Zone (IZ), one of the four principal zones of the Auroville city area - the other three being the Residential, Cultural and Industrial Zones - is the designated site for National Pavilions from around the world. Representing all the major cultures, these centres of research, study and creative activitiy, will be a concrete and richly expressive manifestation of human unity in diversity. » (Fin de citation.)

Lesdits Pavillons nationaux sont conçus comme servant à représenter toutes les grandes cultures, et comme étant des centres de recherche, d’étude et de création.
Dire cela provient aussi de la référence au texte de la Mère indiqué plus haut.


DÉVELOPPEMENT FAIT EN EMPLOYANT LE TEXTE D’AVRIL 1952* (ET TROIS AUTRES POSTÉRIEURS), QUI CONCERNE, POUR LA Z.I., LA MAUVAISE CONCEPTION DU PREMIER BUT ET CELLE D’ÊTRE UN LIEU D’ENSEIGNEMENT AVEC DES ENSEIGNANTS ET DES ÉLÈVES, CE QUI CONCERNE DONC AUSSI CHACUN DE SES PAVILLONS DE PAYS

Base des idées mauvaises

Concevoir la Z.I. comme un lieu où l’activité principale soit de faire de l’enseignement avec des enseignants et des élèves est une erreur.
Une autre erreur est de concevoir le premier but de la Z.I. et, donc, celui de chacun de ses Pavillons de pays comme étant, ainsi qu’indiqué plus haut, d’aider les individus à prendre conscience du génie profond de la nation à laquelle ils appartiennent, et en même temps de les mettre en contact avec les modalités de vie des autres nations, afin qu’ils apprennent à connaitre et à respecter également l’esprit véritable de tous les pays de la terre.
À la base de ces erreurs, il y a le mauvais emploi du texte de la Mère datant d’avril 52 et dont plusieurs passages sont dans les deux grandes parties de la page internet.
Voici l’explication.


Idée mauvaise que toute la Z.I. serait faite pour être un lieu d’enseignement avec des enseignants et des élèves

Il y a le texte écrit par la Mère qui fut publié au mois d’avril 52 dans le Bulletin d’éducation physique de l’Ashram de Pondichéry, aux pages 45 à 51, en anglais dans la colonne de gauche, en français dans la colonne de droite. (Pour voir cela sur internet, écrire dans le moteur de recherche, avec les guillemets : "Bulletin d’éducation physique" "april 1952". (« April » : mot anglais pour avril.)

Ce texte fut émis à l’occasion de l’inauguration du « Centre universitaire international » ou « université internationale » de cet Ashram. Ces deux noms sont dans le texte.
Cette institution était prévue pour avoir des professeurs et des élèves. Ceux-ci étaient censés arriver du reste de l’Inde et aussi d’autres pays. Ils y recevraient un enseignement, ils seraient formés pour devenir aptes à agir hors de ce centre universitaire, notamment après leur retour dans le propre pays de chacun, afin de travailler pour le progrès individuel et collectif des humains, et de travailler ainsi à l’unification progressive de l’humanité. Pour cela, il fut aussi prévu que les élèves soient préparés à pouvoir « incarner la force nouvelle qui descend pour transformer la terre ». (Certains de ces élèves encore en vie finiraient par rester sur place pour devenir professeurs par exemple ou pour toute autre cause, de même que des élèves qui retourneraient dans leur pays pourraient ne pas se retrouver en train d’agir comme espéré.)

Voici ce qui est dans le début du texte, à partir de son titre, et qui indique cela. (Le premier mot « organisation » concerne le « centre universitaire ». Le deuxième concerne « toutes les nations ».)
« Un Centre Universitaire International
Les conditions dans lesquelles les hommes vivent sur terre sont le résultat de leur état de conscience. Vouloir changer les conditions sans changer la conscience est une vaine chimère. [...] Dans l’effort pour l’amélioration des conditions humaines, il y a eu aussi toujours deux tendances opposées en apparence, mais qui devraient se compléter pour que le progrès puisse être accompli. [...] Les deux sont également vraies et nécessaires ; et l’effort doit porter sur les deux à la fois. Car il y a une interdépendance du progrès collectif et du progrès individuel. [...] Il faut donc trouver un moyen pour que les deux progrès s’accomplissent de front.
C’est en réponse à ce pressant besoin que Sri Aurobindo a conçu le plan de son université internationale afin que soit préparée l’élite humaine qui sera capable de travailler à l’unification progressive de l’humanité et en même temps sera prête à incarner la force nouvelle qui descend pour transformer la terre. Quelques idées générales serviront de base à l’organisation de ce centre universitaire et présideront au programme des études. La plupart sont déjà exposées dans les divers écrits de Sri Aurobindo et dans la série d’articles sur l’éducation dans ce Bulletin.
La plus importante est que l’unité de la race humaine ne peut être accomplie ni par uniformité, ni par domination et sujétion. Seule l’organisation synthétique de toutes les nations, chacune occupant sa vraie place suivant son génie propre et le rôle qu’elle doit jouer dans l’ensemble, est capable de produire une unification compréhensive et progressive qui aura quelque chance de durer. [...]
Pour que cela soit possible, il faut que dès leur jeune âge les enfants soient habitués non seulement à l’idée elle-même mais à sa mise en pratique. » (Fin de citation.)
Ce qui est dit à propos des « enfants » de « jeune âge » ne concerne pas seulement ceux du « centre universitaire ». Ça concerne ce qui devrait exister pour tous les enfants du monde, dans les établissements d’enseignement ou par tout éducateur d’enfants, en premier les parents ou autres responsables avec lequel ou lesquels vit chaque enfant, et même par toute personne qui a l’occasion de fréquenter un enfant et qui constate qu’il est ignorant de cela. En plus, il n’y a pas encore la situation où tout enfant du monde est habitué « à l’idée elle-même » et à « sa mise en pratique ». Donc, tout individu qui devint adulte sans l’avoir appris doit pouvoir recevoir cela. Tout cela n’est pas relatif spécialement à la Z.I. et, donc, à chacun de ses Pavillons de pays. Ça ne leur est pas caractéristique, mais ça correspond donc aussi à ce qui devrait s’y passer, parmi d’autres choses, par exemple dans une exposition permanente et les publications qui lui correspondent.
(Les mêmes idées sont exprimées dans un autre texte de la Mère. Voici deux extraits du message en français donné par celle-ci pour l’inauguration de l’Institut français à Pondichéry le 4 avril 55. Il fut publié dans le Bulletin d’éducation physique d’avril 55, p. 41. La traduction en anglais est juste après. Il a cinq paragraphes. Les numéros 3 et 4 concernent la France et ne sont pas reproduits ici puisque le présent article est relatif à la Z.I. en général, pas au Pavillon de tel ou tel pays. Voici les trois autres numéros. § 1. « Dans chaque pays, la meilleure éducation à donner aux enfants, consiste à leur enseigner quelle est la vraie nature de leur pays, ses qualités propres et la mission que leur nation doit remplir dans le monde, sa place véritable dans le concert terrestre. » § 2. « À cela doit s’ajouter une vaste compréhension du rôle des autres nations, mais sans esprit d’imitation et sans jamais perdre de vue le génie propre de leur pays. » § 5. « Voilà ce qu’il faudrait faire savoir aux enfants d’aujourd’hui. »)

Le texte d’avril 52 concerne un établissement où il y a notamment des enseignants et de nombreux étudiants qui viendraient s’y former puis qui repartiraient dans leur propre pays, éventuellement pour travailler dans un organisme international (s’il en existe), en tant que représentants de celui-là.
Ce texte ne concernait donc pas la Zone internationale.
Pourtant, des Auroviliens décidèrent le contraire, et ils décidèrent alors que toute cette Zone serait une université, un lieu d’enseignement avec des enseignants et des élèves ! La conséquence est évidemment que chaque Pavillon de pays serait cela.
Lorsque toute la Z.I. est conçue comme faisant de l’enseignement, ce n’est donc pas seulement une idée simple. C’est la conséquence d’une conception générale de la Z.I. Pareil pour chacun de ses Pavillons de pays.
Employer le texte d’avril *52 comme s’il concernait la Zone internationale est une erreur, une aberration. C’est une erreur de chercher à le mettre en pratique en l’adaptant, le transformant, le déformant, par des changements de mots comme il y en a un exemple plus haut : Dans les pavillons nationaux "les cultures des différentes parties du monde y seront représentées […].

Par ailleurs, pour Auroville, la Mère parla d’une « section internationale » dont le nom devint « Zone internationale » et de Pavillons de pays. Ce sujet est traité dans le début du présent texte, dans la partie dont le titre commence par Confirmation de la compréhension naïve. Il y a notamment une citation de la p. 144 de L’Agenda de Mère, 23 juin 65.
Voici la reprise de la fin de ce passage puis la suite. « [...] un pavillon de tous les pays (c’était ma vieille idée) ; certains ont déjà accepté, enfin c’est en route. Chaque pavillon a son jardin avec autant que possible la représentation des plantes et des produits du pays représenté. S’ils ont assez d’argent et assez de place, ils peuvent avoir aussi une sorte de petit musée ou d’exposition permanente des œuvres du pays. Et la construction doit être faite selon l’architecture de chaque pays représenté : que ce soit comme un document d’information. Alors suivant l’argent qu’ils veulent mettre, ils peuvent avoir aussi des logements pour étudiants, des salles de conférence, etc., la cuisine du pays, un restaurant du pays – ils peuvent avoir toutes sortes de développements. [Saut à la ligne suivante :] Puis la section industrielle... » (Fin de citation.)
À propos des Pavillons de pays, il y a notamment la présentation de la conception de ce que devrait être l’architecture de chacun d’eux, de l’espace extérieur qui lui est joint et de ce qui devrait être ou pourrait être dedans. On ne commente pas car ce n’est pas cela qui est en jeu ici.
Ce qui l’est est d’abord qu’il fut dit : « c’était ma vieille idée ». La Mère avait déjà exprimé celle-ci en avril 52 dans le Bulletin. Cette idée concernait un établissement d’enseignement pas une ville, une partie de ville, sujet qui est traité plus haut.
En plus, il y a « ils peuvent avoir toutes sortes de développements ». Ces mots ne concernent pas le développement de la notion de représentation des « cultures du monde entier », c’est-à-dire de ce qui existait déjà dans chacun de ces pays, « comme un document d’information ». Les mots « ils peuvent avoir toutes sortes de développements » expriment l’idée qu’il y a l’action de quelque chose qui est actuel dans chaque Pavillon, qui se développe, qui crée de la nouveauté. Dans chacun des responsables, des titulaires, de chaque Pavillon, le développement évolutif continue, forcément dans le cadre de la manifestation supramentale, et il a des conséquences. La Mère exprima ainsi qu’il n’y avait pas seulement la « vieille idée » mais quelque chose d’autre, nouveau, qui est l’effet, les effets, de cette manifestation, c’est-à-dire que ça manifeste de plus en plus ce qui, avant, est encore dans le futur. Ce 23 juin 65, lorsqu’elle annonça « ils peuvent avoir toutes sortes de développements », elle se retrouva en train d’évoquer ce qui avait été indiqué au début : la « section internationale » faisant partie d’une ville en cours d’apparition dans le processus de manifestation supramentale, avec des Pavillons de pays, ce qui signifie que l’origine de chacun d’eux est le pays correspondant, est une action évolutive fait par celui-ci, par sa nation, et qui fait que commence la manifestation de son Pavillon.
Et il n’y a même pas besoin d’étudier ces paroles du 23 juin 65 ni aucune autre particulière à la Zone internationale avec ses Pavillons, pour comprendre la situation puisqu’il suffit de savoir ce qu’est Auroville, une ville, et de comprendre l’adjectif qualificatif « internationale » employé à propos de « section » ou de « Zone » de cette ville.

Tome 7 de L’Agenda de Mère, page 96, 23 avril 66. « [...] la Russie. [...] En Amérique aussi, ça a l’air de marcher. [À la ligne :] Et c’est justement ce que je veux, que ces deux pays qui se heurtent viennent ici, puis qu’ils aient tous les deux un pavillon de leur culture et de leur idéal, et qu’ils soient là, l’un en face de l’autre, qu’ils se serrent la main. » (Fin de citation.)
Comme indiqué dans le début du présent texte, dans ce passage il y a l’idée qu’il y a d’abord une action dans chacun des deux pays indiqués, qui fait qu’ils « viennent ici ». En conséquence de cela : « puis », chacun crée son Pavillon. Dans la suite, il y a encore de l’action qui est exprimée par « se serrent la main » mais elle ne sera surement pas limitée à cela. Entre les deux indications, il est parlé du contenu des Pavillons. Les mots « culture » et « idéal » ne peuvent pas désigner seulement quelque chose qui n’aurait pas de vie.


Comment des Auroviliens purent-ils se tromper ?

Dans le texte d’avril 52, il y a ceci, qui commence par une reprise d’une phrase déjà citée plus haut.
« Pour que cela soit possible, il faut que dès leur jeune âge les enfants soient habitués non seulement à l’idée elle-même mais à sa mise en pratique. C’est pourquoi le centre universitaire international sera international, non parce que des élèves de tous les pays y seront admis, non pas même parce que l’enseignement leur sera donné dans leur propre langue, mais surtout parce que les cultures des différentes parties du monde y seront représentées de façon accessible à tous, non seulement intellectuellement dans les idées, les théories, les principes et le langage, mais aussi vitalement dans les habitudes, les coutumes, l’art sous toutes ses formes : peinture, sculpture, musique, architecture, décoration, et physiquement par les paysages, les costumes, les jeux, les sports, les industries, la nourriture. Il faut organiser une sorte d’exposition universelle permanente où tous les pays seront représentés de façon concrète et vivante. L’idéal serait que chaque nation ayant une culture bien définie ait un pavillon représentatif de cette culture, construit sur le type le plus expressif des habitudes du pays, et dans lequel seront exposés les produits les plus représentatifs de ce pays, aussi bien les produits naturels que les manufacturés jusqu’aux expressions les meilleures de son génie intellectuel et artistique et de ses tendances spirituelles. Chaque nation aurait ainsi un intérêt très pratique et concret dans cette synthèse culturelle et pourrait collaborer à l’œuvre en prenant la charge du pavillon qui la représenterait. On pourrait y adjoindre une maison d’habitation, plus ou moins grande suivant le besoin, pour y loger les étudiants de la même nationalité qui jouiront ainsi de la vraie culture de leur pays d’origine tout en recevant au centre universitaire l’éducation qui leur fera connaître toutes les autres cultures existant sur terre. Ainsi l’enseignement international ne sera pas uniquement théorique, sur les bancs de l’école, mais pratique dans tous les détails de l’existence.
Seule l’idée générale de cette organisation [de ladite « université internationale » ou « centre universitaire »] est donnée ici ; la mise en œuvre dans tous les détails sera exposée peu à peu dans ce Bulletin au fur et à mesure de l’exécution. » (Fin de citation.)

Il y a une similitude concernant l’existence d’une exposition permanente et son contenu.
Il semble que ce soit à partir de cela que l’ensemble du texte d’avril 52 fut dit concerner la Z.I.
Et puisque ce texte concernait la création d’un « Centre universitaire international » ou « université internationale », c’est-à-dire principalement un système d’enseignement avec des professeurs et des élèves, toute la Z.I. fut dite être cela et, donc, chaque Pavillon de pays.
(C’est donc aussi de cela qu’il y eut l’idée de logements, dans le Pavillon, pour des étudiants. En avril 52, ceux ayant la nationalité correspondant au Pavillon étaient envisagés.)


Ce qui pouvait être fait de ce passage d’avril 52

Il était possible de prendre des éléments de ce passage d’avril 52 qui concernent l’exposition permanente. En plus des précisions sur ce qui est à présenter, il y a « de façon accessible à tous » et « de façon concrète et vivante ».


Ce qu’il n’aurait pas fallu faire de ce passage d’avril 52 mais qui le fut

De ce passage du texte d’avril 52 qui concerne l’exposition permanente (dans une université), des Auroviliens reprirent aussi quelques mots qui n’avaient pas à l’être : « ayant une culture bien définie ».
Lorsque l’on veut faire une exposition permanente des « cultures des différentes parties du monde » et c’est ce que dit ce texte d’avril 52, il faut montrer celles qui sont bien définies.
Par contre, la Zone internationale est prévue pour des Pavillons de pays. Donc, après la disparition en tant que tels de pays qui n’ont pas de cause légitime à exister, et après la création éventuelle de pays qui méritent d’exister, tous les pays qui finiront par exister auront leur Pavillon, qu’ils aient ou non une culture bien définie. Il se peut que chacun de tous les pays faits pour continuer d’exister et qui auront un Pavillon aura une culture bien définie. Pour l’instant, personne ne sait ce qu’il en sera. Il n’y a donc pas à dire que les Pavillons de la Z.I. seront ceux de pays ayant une « culture bien définie ». C’est pourtant ce que font les partisans du mauvais projet aurovilien de Z.I. C’est donc un défaut de conception.
C’est lui qui est à l’origine du dernier mot du sous-titre en français du texte de onze pages indiqué plus haut : « Auroville’s International University and its Cultural Pavilions », L’Université internationale d’Auroville et ses Pavillons culturels.
La bonne conception des Pavillons est qu’ils sont ceux de pays et il n’y a donc pas la limitation à être seulement culturels.
(Ce qui est indiqué à Auroville fait penser à ceci. Certains pays méritant d’exister quoique n’ayant pas de culture propre ne pourraient pas avoir leur Pavillon, seraient interdits de cela. Des nations, pas indiquées, sont alors considérées comme étant hors de l’évolution. On pourrait même dire que des territoires avec leur population sont considérés comme inexistants ; la Terre est considérée comme ayant des trous.)


Un autre élément de ce texte d’avril 52 qui pouvait être repris et un autre qu’il ne fallait pas reprendre

Voici la fin du texte d’avril 52, qui commence par une reprise d’une phrase déjà citée plus haut.

« Seule l’idée générale de cette organisation [de ladite « université internationale » ou « centre universitaire »] est donnée ici ; la mise en œuvre dans tous les détails sera exposée peu à peu dans ce Bulletin au fur et à mesure de l’exécution.
[Dans cette « université internationale » ou « centre universitaire » :] Le premier but sera donc d’aider les individus à prendre conscience du génie profond de la nation à laquelle ils appartiennent, et en même temps de les mettre en contact avec les modalités de vie des autres nations, afin qu’ils apprennent à connaître et à respecter également l’esprit véritable de tous les pays de la terre. Car toute organisation mondiale pour être réelle et viable doit être basée sur ce respect et cette compréhension réciproques des nations les unes pour les autres, aussi bien que des individus les uns pour les autres. C’est seulement dans l’ordre, l’organisation collective [de tous les pays, de toutes les nations] et la collaboration basée sur la bonne volonté réciproque qu’il y a une possibilité de faire surgir l’homme hors du chaos douloureux où il se trouve. C’est dans ce but et cet esprit que tous les problèmes humains seront étudiés au centre universitaire ; et leur solution sera donnée à la lumière de la connaissance supramentale telle que Sri Aurobindo l’a révélée dans ses écrits.
[Signature de la Mère.] » (F.d.c.)
Ensuite est écrit : « Il ne suffit pas d’essayer, il faut réussir. » et l’équivalent en anglais : « It is not enough to try, you must succeed. » C’est suivi par une autre signature de la Mère.

Le groupe de mots « toute organisation mondiale » ne concerne pas ce qui se fait dans Auroville mais concerne les relations entre pays ou, autrement dit, les relations entre les nations qui correspondent à ces pays. Pareil pour « l’organisation collective ».

Un « but » est indiqué pour l’« université internationale » ou « centre universitaire ». Ce but peut être repris pour chaque Pavillon de pays, notamment pour son exposition permanente et les publications qui vont avec.

Ce but est dit être le « premier ». Ça se comprend pour une « université internationale » ou « centre universitaire », pour ce qui s’y passe : enseignement, formation, par des cours et autrement. C’est dans le cadre de cela que quelque chose est dit être en premier, être le « premier but ».
Mais le reprendre pour les Pavillons de pays est une erreur. Ceux-ci sont d’abord dû à un mouvement évolutif dans le pays correspondant, et qui fait apparaitre le titulaire d’un Pavillon. Et il agit. C’est ça qui est en premier. Et ça existe alors que l’exposition permanente n’est pas encore établie. Et ça continue longtemps après que l’exposition ait été créée, et ça continue toujours. C’est quelque chose qui est vécu avant d’être montré aux autres. C’est cela qui se rapporte au premier but d’un Pavillon de pays.

Il est donc faux de dire que ce passage d’avril 52 concerne la Z.I. et aussi qu’il correspond au premier but, au premier rôle, de celle-ci. C’est par un mauvais mouvement de pensée, par déformation, que ce fut dit et que ça l’est encore. Des Agités mirent abusivement cet écrit de la Mère au service de leur conception, au service d’eux-mêmes.
Considérer, à tort, que tout ce passage concerne la Z.I. et ses Pavillons est un amoindrissement de celle-ci et de ses Pavillons de pays.

(Par ailleurs, il est dit « la nation à laquelle ils appartiennent », ce qui correspond à l’idée exacte que, sainement, on ne peut pas être membre de plusieurs nations en même temps, car on ne peut pas être rattaché à plusieurs souverainetés en même temps, sauf en folie.)

(En outre, parmi les Agités auroviliens qui commettent ces erreurs, il y a ceux du groupe nommé « Pavillon de France et de la Francophonie ». Ils sont soutenus par les autres Agités d’Auroville qui s’occupent de la Z.I. et, de manière générale, par Auroville elle-même, par ses représentants, indépendamment donc de l’opinion personnelle à d’éventuels individus pensant différemment. Vu ce que P. de F. et de la F. dit correspondre au meilleur de la France, on comprend que tous ces Agités sont incompétents pour « aider les individus » comme indiqué. Pire, ils diffusent des idées mauvaises, ils enseignent du mensonge. Pour comprendre ce qui vient d’être écrit, lire l’article sur le groupe « Pavillon de France ». Des individus qui vivent dans leur pays sont considérés comme dépendants de certains Auroviliens, inférieurs à eux, soumis à eux.)


Qui est à l’origine de l’emploi de ce texte d’avril 52 pour la Z.I. et pour quelles causes ?

D’où vint l’idée d’employer le texte d’avril 52 pour la Z.I. ?
Est-ce qu’il y eut seulement un manque de réflexion ?
Est-ce qu’il y eut en plus la volonté de se valoriser par le mot « élite » ? (Dans ce texte de 52, il est dit que « l’université internationale » créée servait à préparer « l’élite humaine ». Employer ce texte pour la Z.I. revient à dire que les individus qui s’occupent des Pavillons de celle-ci font partie de « l’élite » de l’humanité, notamment de « l’élite » d’Auroville. Et est-ce que des individus étendirent cela à tous ceux qui s’activaient à propos de la Z.I. ?)
Est-ce que l’idée vint d’un ennemi d’Auroville qui voulut faire dérailler cette ville au moins momentanément ?
Chercher dans les souvenirs et dans des textes.


POUR EN SAVOIR PLUS

La mauvaise conception de la Z.I. comme étant une université est traitée dans un autre article du présent blog. Il y a d’autres articles qui concernent la Z.I.


L’EMPLOI AUROVILIEN MALHONNÊTE DE TEXTES DE 67 ET DE 69 POUR SOUTENIR L’IDÉE ERRONÉE QUE LA Z.I. DEVRAIT ÊTRE UN LIEU D’ENSEIGNEMENT AVEC DES ENSEIGNANTS ET DES ÉLÈVES

GÉNÉRALITÉ SUR AUROVILLE


Le nom Auroville est celui d’une ville. Une ville n’est pas faite pour être en entier un lieu où l’activité principale soit de faire de l’enseignement avec des enseignants et des élèves, sauf peut-être quelques cas notoires s’il en existe. La Zone internationale d’Auroville, partie de cette ville, ne peut donc pas être en entier un tel lieu. Elle n’est pas faite pour être un lieu de résidence pour quelques enseignants et un lieu de passage pour de nombreux étudiants qui viendraient s’y former puis qui repartiraient.
Une conséquence est que chacun de ses Pavillons de pays ne peut pas non plus être fait pour cela.
Pourtant, Auroville s’occupe de faire penser le contraire, comme indiqué ci-dessus et ci-après.


TEXTE AUROVILIEN EMPLOYÉ

Le texte employé est déjà indiqué plus haut à propos du mot Crown écrit sur le plan de Z.I. datant de vers l’an numéroté 2010*.
Il a onze pages.
Titre : « Auroville’s International Zone », La Zone internationale d’Auroville. Sous-titre : « Auroville’s International University and its Cultural Pavilions », L’Université internationale d’Auroville et ses Pavillons culturels. Lorsque le texte était publié sur internet, le lien pour y accéder indiquait la date de février 03. Sur la page de titre, il est aussi écrit : « Compiled by Gilles G. - Samasti ». Le texte est une compilation de citations et il y avait quelques autres lignes de texte. L’auteur est Gilles Guigan. « Samasti » est le nom d’un lieu d’Auroville.
Le titre et le sous-titre sont commentés plus loin.


UN TEXTE DE 1967*

Page 9 de ce texte de onze pages, il y a un passage du 11 novembre 67, provenant d’un membre de l’Ashram et qui est dit avoir été approuvé par la Mère. Sa fin est ceci. Auroville aura aussi une Université internationale, peut-être la première dans le monde, établie spécialement pour l’unité mondiale. En fait, tout Auroville sera une université vivante. Original en anglais : « Auroville will also have an International University, perhaps the first in the world, established specifically for world unity. In fact the whole of Auroville will be a living university. »
Le nom Auroville est celui d’une ville. Une ville n’est pas faite pour être en entier un lieu où l’activité principale soit de faire des cours avec des enseignants et des élèves. Dire qu’Auroville sera une université vivante ne signifie donc pas cela.
Donc, une partie de cette ville, la Zone internationale, ne peut pas être cela.
Est-ce que l’idée d’un ou plusieurs bâtiments spéciaux dans Auroville pour être une Université fut admise par la Mère ? Est-ce que cette idée fut transformée par elle, supprimée, en devenant aussitôt celle de tout Auroville comme « université vivante », selon sa propre signification ? Est-ce que l’ashramite proposa son idée d’une Université, que la Mère l’évacua en disant que tout Auroville sera une université vivante mais que l’ashramite n’écrivit pas un compte-rendu fidèle ?


AFFIRMATION QUE LA MÈRE AURAIT FAITE EN *69

Page 10 du texte de onze pages, il y a la reproduction d’une note écrite le 1er février 69 par l’architecte Roger Anger après un entretien avec la Mère. L’original est dit être en français et il y a la traduction en anglais. C’est ce texte de « 1969 » qui est probablement indiqué comme origine de ladite Université de l’unité humaine. Le voici complet.
« Question : Quels sont les programmes à soumettre à l’UNESCO dans le cadre de la commission à créer prochainement ?
1) Éducation par T. V.

L’université permanente sera la clef de la raison d’être d’Auroville, il faut que ce soit un bond en avant, qu’elle puisse hâter la venue de l’avenir, un monde d’harmonie, de beauté et d’union.
2) Auditorium permanent pour les orgues.
Ça serait pour écouter de la musique venant de la conscience du domaine supérieur, directement du plan supérieur. Je suis en train de préparer quelqu’un pour en être l’exécutant.
3) L’Université de l’Unité humaine. » (F.d.c.)

Tout le point 2 concernant l’auditorium est hors sujet pour ici.

Concernant la phrase qui commence par « L’université permanente sera la clef » et en admettant que la Mère ait dit cela, qui concerne tout Auroville, puisque toute cette ville n’est pas conçue pour être un lieu où l’activité principale généralisée soit de faire des cours avec des enseignants et des élèves, ce nom « université permanente » ne peut pas désigner cela. La Zone internationale d’Auroville, grande partie de cette ville, ne peut donc pas être en entier un tel lieu.
L’emploi du nom « université permanente » signifie surement que les Auroviliens doivent être et se comporter de telle manière (incluant ce qu’ils créent) qu’ils soient en état constant d’apprentissage. Ça correspond à ce qui est dans les § 2 et 3 de la Charte d’Auroville que voici. « 2) Auroville sera le lieu de l’éducation perpétuelle, du progrès constant, et d’une jeunesse qui ne vieillit point. 3) Auroville veut être le pont entre le passé et l’avenir. Profitant de toutes les découvertes extérieures et intérieures, elle veut hardiment s’élancer vers les réalisations futures. » (F.d.c.) Il est probable aussi que ça signifie que des éléments d’Auroville puissent servir de modèles à imiter. (Et ça ne signifie pas que tout ce qui se passe dans Auroville, tout ce que font les Auroviliens, soit un tel modèle.) En anglais, la phrase est ceci : « The permanent university will be the key to Auroville’s raison d’être. It must be a leap forward ; so that it can hasten the advent of the future, of a world of harmony, beauty and union. »

Concernant la question « 3) L’Université de l’Unité humaine », il n’y a pas de réponse de la Mère. On ne peut donc pas dire qu’elle accepta la création de cela.
Est-ce que la phrase qui commence par « L’université permanente sera la clef » et qui fut placée par Roger Anger sous la question n° 1 fut vraiment la réponse à cette question plutôt qu’à la n° 3 ?
Est-ce que cette phrase fut vraiment la réponse à la question n° 1 et que la Mère ne répondit rien à la question n° 3 car elle considéra que sa réponse à la n° 1 valait aussi pour cette troisième ?
Dans les deux cas, il n’y a pas une parole qui soit certainement de la Mère. Il n’y a qu’un compte-rendu qui n’est pas forcément fidèle. Et, à propos de l’existence d’une Université au sens ordinaire, son contenu est ambigu.

De ce texte de 69, il est impossible sainement de dire que la Z.I. soit faite pour être un lieu d’enseignement avec des enseignants et des élèves. Donc, pareil pour chacun de ses Pavillons de pays.


LE TITRE ET LE SOUS-TITRE DE LA PUBLICATION DE ONZE PAGES MONTRENT L’EMPLOI MALHONNÊTE DES TEXTES DE 67 ET 69

Les deux textes venant d’être présentés sont dans la publication de onze pages dont le titre est « Auroville’s International Zone », La Zone internationale d’Auroville, et son sous-titre est « Auroville’s International University and its Cultural Pavilions », L’Université internationale d’Auroville et ses Pavillons culturels.
La signification est que toute La Zone internationale d’Auroville est conçue comme étant une Université internationale et que cette zone contiendrait donc des Pavillons culturels.
Mais le texte de 67 et celui de 69 concernaient tout Auroville, pas seulement sa Zone internationale.
En plus, ils ne signifiaient pas que tout Auroville servirait à faire de l’enseignement avec des enseignants et des étudiants.

Donc, il n’y avait aucune cause valable pour placer ces textes dans une compilation sur la Z.I. Ils le furent parce que le choix des textes fut fait en ayant d’abord l’idée de la Z.I. comme université ! Les textes furent mis au service de l’idéologie de l’auteur de ladite compilation.

Par ailleurs, le fait qu’il soit parlé de Pavillons culturels et pas de Pavillons de pays fait partie de la mauvaise conception. La base de l’erreur est l’emploi mauvais du texte d’avril *52.


UNE EXPOSITION AUROVILIENNE TENUE EN « 2010/2011 » DANS LEDIT « PAVILLON DE L’UNITÉ », AVEC NOTAMMENT LE PROJET MAUVAIS DE Z.I. DATANT DE VERS L’AN NUMÉROTÉ 2010 P.T.C.

Des photographies des panneaux de l’exposition étaient placés sur l’ancien site internet d’Auroville mais ne le sont plus sur le nouveau qui commença à être visible le 19 aout *14.
Ce qui suit est quand même reproduit, premièrement car ça montre ce qui exista, deuxièmement car un contenu équivalent est présent sur le nouveau site.
C’est reproduit au temps présent de l’indicatif, c’est-à-dire comme si on pouvait encore voir ces panneaux, car on reproduit principalement ce qui avait été publié le 14 octobre sur le site Ohoettilto désormais interdit.
Sur la page internet dont le titre anglais est « International Zone », La Zone internationale, il y a, dans sa colonne de gauche, vers son haut, ceci : « An Exhibition on the International Zone 2010/2011 », Une exposition sur la Zone Internationale 2010/2011.
En cliquant dessus on arrive sur la page qui y correspond.
Dans la colonne de gauche, il y a une image qui semble correspondre à l’affiche qui annonça l’exposition au public. Elle exista dans ledit Pavillon de l’unité, du 26 novembre 10 jusqu’au 12 mars 11. (Sur internet, on pouvait voir des photographies de la salle avec des panneaux d’exposition sur le « Blog Sri Aurobindo et Mère France », sous le titre « Auroville : le Pavillon de l’Unité ». Ce blog n’existe plus. Ici, il est considéré que sa suppression fut provoquée par un article concernant son auteur et son Aurovillage en Afrique, qui avait été publié en avril 14 sur le site Ohoettilto désormais interdit, article qui est reproduit sur le présent blog Ohoettilto-3.)

Dans la colonne de droite de la page internet il y a les photographies des panneaux de l’exposition. Ils sont écrits en anglais et il y a des illustrations. (Auroville a quatre langues officielles et cette exposition seulement en anglais montre donc une faillite à ce sujet puisqu’il était facile de traduire et de faire d’autres panneaux. C’est aussi une faillite dans les relations de cette ville avec le reste du monde. Au lieu de s’agiter à propos de Z.I., au lieu de cancaner sur l’unité humaine, des Auroviliens auraient dû s’occuper de ces traductions.)

L’exposition, après avoir été dans ledit Pavillon de l’unité, fut transférée au Centre des Visiteurs (Centre des Passants). Il y eut au moins une modification, qui fut l’ajout, indiqué plus haut, concernant la forme des Pavillons, triangle, etc. S’il y en eut sur les autres panneaux indiqués ci-après, il n’en est pas tenu compte puisque ce qui suit fut fait d’après ce qui se voit sur le site d’Auroville.
Parmi les panneaux de cette exposition, il y a ceux qui concernent des Pavillons de pays ou de groupes de pays et d’une autre chose, et il n’en est pas parlé ci-après puisque le sujet est la Z.I. en général..
D’autres panneaux concernent la Z.I. dans son ensemble.
Il y a aussi ceux qui concernent des généralités sur la Zone internationale ou sur Auroville dans son ensemble. (L’absence de présentation de quelque chose ne signifie pas que c’est approuvé.)


LE PREMIER PANNEAU

Il est celui de « l’Introduction ».

En son bas, il y a le plan en couleurs du projet de Z.I qui date de vers l’an numéroté 2010 P.T.C. Ce projet est présenté plus haut et rien de plus n’est ajouté ici.

Il y a aussi deux textes.

Le titre du premier est « A prayer and an offering », Une prière et une offrande.

1er §. Cette exposition est un appel à la plus haute raison d’être de la Zone internationale d’Auroville, pour qu’elle se manifeste et dévoile les relations entre les Âmes des Nations, et entre les cultures du monde. Original en anglais : « This exhibition is a call to the utmost raison d’être of the International Zone of Auroville, to manifest itself and to unveil the relations between the Nation Souls, and between the cultures of the world. » (F.d.c.)
Il y a l’idée indiquée par la Mère qu’Auroville existe déjà ailleurs que sur le plan physique et qu’elle finira par être manifestée sur ce plan. Il y a aussi l’idée que ça pourrait se faire indépendamment de ce qui existe dans le reste du monde, ce qui est erroné.
Ce qui est appelé la plus haute raison d’être de la Zone internationale d’Auroville est la conception aurovilienne de la Z.I., qui est erronée et indiquée plus haut.
Cette exposition est une expression de la grande agitation mentale qui existe chez des Auroviliens à ce sujet, avec leurs erreurs, leurs illusions.

2e et 3e §. Elle [cette exposition] est une offrande à tous ceux qui effectuèrent un travail de pionniers depuis quarante ans pour faire émerger Auroville. L’exposition est aussi un bouquet offert à la Mère et Sri Aurobindo, les fondateurs de ce terrain de jeu universel unique et dynamique. Original en anglais : « It is an offering to all those who have been pioneering since forty years to make Auroville emerge. This exhibition is also a bouquet offered to the Mother and Sri Aurobindo, the founders of this unique and dynamic universal playground. »

4e §. En accord avec Roger Anger, l’architecte en chef d’Auroville, la Mère refusa de donner toute description détaillée de la Zone internationale, pour que les Auroviliens aient à découvrir cela par eux-mêmes. Original en anglais : « According to Roger Anger, the chief Architect of Auroville, the Mother refused to give any detailed description of the International Zone, as Aurovilians would have to discover it themselves. »
Aucune référence n’est indiquée. D’où vient ce texte ? Est-ce qu’il est fidèle à l’indication de la Mère ? Si oui, ceux des Auroviliens et d’autres individus qui s’agitent et cancanent à propos de la Z.I. pourraient commencer par cesser de s’agiter, par se mettre en silence, et attendre, et si rien ne vient en eux, qu’ils fassent autre chose, par exemple, cultiver des légumes.


Début du 5e §. Qu’une plus large participation du monde soit inspirée par le développement de la Zone internationale d’Auroville. Original en anglais : « Let a wider participation from the world be inspired by the unfolding of the International Zone of Auroville. »
Les auteurs de l’exposition n’imaginent pas que leur projet puisse être contesté, combattu. Ils ne pensent pas que, pour la Z.I., ce soient eux qui aient à apprendre quelque chose du reste du monde. Ils veulent que des individus du reste du monde se soumettent à eux et se mettent au service de leur projet, au service d’eux-mêmes.


Fin du 5e §. Aujourd’hui nous aspirons à faire un pas de plus dans la découverte de ce que la Zone internationale deviendra. « Today we aspire to make a step further in the discovery of what the International Zone of Auroville will become. »
Mis à part le Pavillon de l’Inde qui est légitime (sans s’occuper ici de son emplacement et de ce que sont ses bâtiments), les panneaux montrent surtout la mauvaise conception que les Agités ont de la Z.I., ce qu’ils y ont déjà mis et ce qu’ils veulent y ajouter.


Le deuxième texte de ce premier panneau est une sorte de brève table des matières de l’exposition. Précisément, c’est la présentation du contenu de celle-ci, organisé en quatre sections, puis il y a l’indication de ce qui est sur le dernier panneau. Il n’y a rien à en dire ici.


LE DEUXIÈME PANNEAU, AVEC VALORISATION DU LAMA-CHEF

Il correspond à la première grande partie de la page internet relative à la Z.I. qui était sur l’ancien site internet et qui est présentée plus haut.
Les illustrations sont les mêmes sauf pour ce qui est sous le titre « First concrete steps », Premiers pas concrets, qui concerne ce qui est en construction ou envisagé, et dont rien n’avait été dit plus haut.

Les textes sont les mêmes jusqu’à ceci.
Il n’y a plus le titre « An attempt to create a world of collaboration », Un essai pour créer un monde de collaboration.
On ne peut pas dire que ça soit remplacé par autre chose puisqu’on ne sait pas si c’était la page internet ou le panneau d’exposition qui avait été créé en premier. Il y a « Building as a symbol a new political map of the world », Construire comme un symbole une nouvelle carte politique du monde.
Quelle est la signification ? Est-ce qu’il est exprimé que ce qui se fera dans Auroville pour la Z.I. se reproduira dans le reste du monde ?

Le premier § qui suit est différent de l’autre, le voici.
La Zone internationale d’Auroville est un terrain de moins de 100 demi-hectares ( ?) qui représente symboliquement la Terre, que les nations du peuple ont à partager entre elles dans un esprit de fraternité et d’harmonie au lieu de combat et de rivalités. Original en anglais : « The International Zone of Auroville is a piece of land of 100 acres representing symbolically the earth, which people’s nations have to share between themselves in a spirit of brotherhood and harmony instead of fight and rivalries. »
La surface est celle décidée actuellement à Auroville. Si la traduction est bonne, le mot peuple désigne l’humanité et il est alors faux de dire que ces nations (qui correspondent aux pays qui méritent d’exister et qui auront leur Pavillon dans la Z.I.) se partagent le terrain, car elles n’y arrivent pas toutes en même temps. Sur le panneau, il semble y avoir l’idée ridicule d’un partage administratif arbitraire... qui est effectué par des Auroviliens qui sont des parties d’Auroville autres que la Z.I.

Le § suivant est le même que celui de la page indiquée plus haut : « International Zone », La Zone internationale.

Ensuite, il y a la partie qui est titrée « First concrete steps », Premiers pas concrets.
Deux des quatre illustrations ne sont pas les mêmes. L’une surtout est remarquable car sa première position, ses couleurs et la taille des principaux personnages représentés la font être la plus attractive du regard. On y voit le lama-chef et d’autres moines ainsi que Claude Arpi et d’autres personnes en train de faire quelque chose sur un objet placé vers le centre du premier plan. Comme lu quelque part, le lama-chef est en train d’allumer une grande bougie, ce qui fut le moment précis de l’inauguration du bâtiment nommé Pavillon de la culture tibétaine. Ce fut une cérémonie religieuse à cause du moine en train de s’activer et peut-être pour d’autres causes, par exemple le prononcé d’une prière religieuse. Dans cette exposition, ce lama est représenté neuf fois, une sur le présent panneau, une sur le dernier et sept sur le panneau de ce bâtiment. Sri Aurobindo est représenté une fois, la Mère trois fois : une fois enfant, une fois en « 1917 » au Japon, et une fois plus tard. Que chacun en déduise ce qu’il veut !


Il n’y a pas le paragraphe écrit en lettres grasses qui est en bas de la page Z.I. de l’ancien site internet d’Auroville.


LE TROISIÈME PANNEAU

Il correspond à la deuxième grande partie de la page relative à la Z.I. qui est présentée plus haut de l’ancien site internet officiel d’Auroville.
Les illustrations sont les mêmes mais deux d’entre elles ne sont pas à la même place.
Pour les textes, il y a ceci.
Le premier § est le même sauf qu’il n’y a pas « human hood » mais « humanhood ».
Il n’y a pas le titre « To become universal by learning from the genius of each nation », Devenir universel par l’apprentissage à partir du génie de chaque nation. Il y a « Learning from the genius of each nation to become universal », L’apprentissage à partir du génie de chaque nation pour devenir universel. Il y a la même signification mais la chronologie est ainsi respectée.
Les quatre § qui suivent sont les mêmes.
Enfin il y a aussi la partie qui est titrée « The world is preparing for a big change. Will you help ? » Le monde se prépare à un grand changement. Voulez-vous aider ?
Dans le bas, il n’y a pas le § des coordonnées de l’institution International Zone Group. Les quatre autres § sont les mêmes mais le premier et le dernier sont intervertis. Ça fait qu’il est dit que l’institution International Zone Group qui est dans Auroville coordonne le développement de la Z.I., puis il est parlé des centres Auroville International dans le monde, puis des individus, et il y a enfin l’appel aux Gouvernements.



LE PANNEAU TITRÉ « AUROVILLE »

Dans cette exposition, c’est le sixième panneau.

Sa première partie concerne l’inauguration d’Auroville.

Sa deuxième partie est titrée « Inspiring vision of the project », Vision inspiratrice du projet. Elle aurait dû être avant cette première partie.
Elle contient cinq illustrations, dont un portrait de la Mère et un de Sri Aurobindo, et cinq paragraphes.
Un § dans la colonne de gauche est fait par l’auteur du panneau.
Les quatre autres § sont dans la colonne de droite.
Le deuxième d’entre eux est une citation qui est dite de la Mère mais sans autres références. C’est, en anglais, le début de l’article d’avril 52 : « Les conditions dans lesquelles les hommes vivent sur terre sont le résultat de leur état de conscience. Vouloir changer les conditions sans changer la conscience est une vaine chimère. » (F.d.c.) Les Agités d’Auroville concernant la Z.I. pourraient penser à cela.
Les trois autres § sont des citations qui sont dites provenir du livre La Vie divine sans indication de l’auteur Sri Aurobindo et seules les personnes le sachant déjà le comprennent. Il n’y a pas de références précises dans l’ouvrage. Il est parlé de l’humanité qui est arrivé à un moment de son développement où elle doit choisir comment continuer, avec notamment l’ouverture à une nouvelle conscience en certains humains pour faire une transformation de leur nature et permettre l’apparition d’une nouvelle vie et un changement de l’état de conscience général faisant une nouvelle vie collective. Il est dit aussi que ce changement se fait en développant quelque chose qui est déjà en l’être de chacun.
Il n’y a même pas une citation concernant le psychique, ce qui est pourtant le plus simple, et ce qui aurait été une première information utile à ce sujet.
En plus, à côté il y a l’image d’un enfant d’environ onze ans, qui est assis sur le sol avec les yeux fermés, avec ses deux mains devant lui dans une position tarabiscotée. Derrière ces mains, sur le fond de son vêtement orangé, il y a une sorte de rectangle bleu dont on ne sait pas si c’est un motif du vêtement, ou si c’est quelque chose que l’enfant tient dans cette position en le pressant contre lui par le bout des doigts d’une main. En gros et au mieux, ça donne l’impression de quelqu’un qui médite ou se concentre. Cette photographie placée à côté du texte fait passer l’idée que c’est en méditant que l’on trouverait ce qui est déjà en soi et que c’est en méditant que l’on ferait le changement de conscience et ses conséquences. Il y a notamment la négation de tout l’aspect karma-yoga, la négation du développement du psychique par sa manifestation progressive dans la vie, c’est-à-dire en rendant la vie de plus en plus expressive de lui, etc.
Toutes ces citations concernent toute l’humanité et les individus qui contribuent au changement. Pourtant toutes sont placées sur le panneau dont le titre est « Auroville » et dont le sous-titre est « The aim of Auroville is to realise Human Unity », Le but d’Auroville est de réaliser l’Unité Humaine. Autrement dit, ces citations sont accaparées par Auroville. Elle seule, c’est-à-dire ses habitants seulement, seraient concernés par la manifestation supramentale ! (Heureusement, cet accaparement n’existe qu’en mots et en idée.)
Il y a aussi l’idée que les habitants d’Auroville qui vivent dans les parties autres que la Z.I. vont faire l’unité humaine à eux seuls, notamment en construisant le contenu de la Z.I. que le reste du monde devrait aider à construire.

La troisième partie de ce panneau est titrée « The general concept of the city », Le concept général de la cité. Ensuite il y a ce qui est en haut de la page Z.I. de l’ancien site officiel d’Auroville et qui est indiqué plus haut. C’est une petite partie à propos d’Auroville/forme de galaxie, de quatre zones autour du secteur du Matrimandir, du nombre d’Auroviliens de tant de pays.


LE PANNEAU TITRÉ « DREAMCATCHERS », CAPTEURS DU RÊVE

C’est le vingt-huitième panneau de cette exposition.

Le sous-titre est « "Dreamcatching" as a tool for planning and design ». La captation du rêve comme instrument de planification et de conception.
Trois courts textes indiquent des règles, celles pour l’agitation mentale qui est en jeu.

Dans le début d’un autre texte, le plus long, il y a ceci : Les extraits suivants sont les perles qui émergèrent des sessions de Capteurs du rêve tenues en 2009 (…). « The following excerpts are pearls emerging from Dreamcatcher sessions held at 2009 [...] ».
Il y a neuf paragraphes.

Dans le premier, on se demande si la Z.I. est une fenêtre sur le monde, ce qui correspondrait à une approche de style « campus », ou une porte sur celui-ci, ce qui correspondrait à une approche de style « expo », exposition. Ils envisagent aussi que la Z.I. soit complètement autre chose « something else entirely ».
La Z.I. n’est ni une fenêtre ni une porte (d’Auroville ou d’Auroviliens) sur le reste du monde. C’est une partie d’Auroville dans laquelle des Pavillons viennent se placer depuis l’extérieur de cette ville. Ils y sont bâtis en conséquence d’actions faites dans les pays qui sont faits pour en avoir un, comme le Pavillon de l’Inde vint de l’Inde en conséquence de l’acceptation par celle-ci de l’existence d’Auroville. Ensuite, le titulaire du Pavillon agit et, s’il n’est pas assez conscient de sa situation, ses actions correspondent à cela. Le reste d’Auroville n’a pas à s’agiter à ce sujet, n’a pas à encombrer cet espace par ses folies.

Le deuxième § est l’anglais de ceci. Pour l’espace culturel dans la Z.I., comment pouvons-nous éviter les mêmes batailles que celles que les nations vécurent depuis des temps immémoriaux ? Surement qu’Auroville, en tant que centre dédié à l’Unité Humaine, devrait trouver des solutions de "répartition de terre" qui surmonteront ce genre de lutte.
La Z.I. n’est pas seulement un espace culturel. Par ailleurs, que des Auroviliens des trois autres zones et de la ceinture verte cessent de vouloir dominer dans la Z.I. en y imposant leurs volontés, et de vouloir les imposer sur d’autres individus hors d’Auroville ! Tout ce qu’ils disent à ce sujet montrent qu’ils n’ont aucune bonne motivation et aucune inspiration véritable et qu’il n’y a que de l’agitation.
Pour l’instant, l’Inde, par sa loi de 88 et ses suites, s’est approprié tout Auroville, en ayant poussé des Auroviliens à préparer le projet finalement admis par elle, et avec des complices de ces derniers en d’autres pays. Tous se mettent en opposition au reste du monde qu’ils veulent se soumettre.

Le troisième § est l’anglais de ceci. Nous pourrions positionner, partout dans la Z.I., les pavillons qui expriment des qualités spécifiques (comme la paix, le silence, l’ouverture, la liberté [« freedom »], la sincérité, etc.), et alors donner l’espace en eux pour que "l’âme nationale" de chacun des différents pays puisse répondre et interagir avec chacune de ces qualités. Particulièrement la planification et le développement de la ville Auroville elle-même, et la Z.I. en particulier, doivent émerger d’un processus d’"Unité" – autrement, pourquoi sommes-nous ici ? Que vaut la traduction de la première phrase ? Voici ce qu’elle est en anglais. Original en anglais : « We could locate pavilions throughout the International Zone which express specific qualities (such as peace, silence, openness, freedom, sincerity etc), and then give space within them for the ‘national souls’ of different countries to respond and interact regarding these qualities. »
On ne comprend pas tout, peut-être parce que la traduction est mauvaise mais on perçoit quand même globalement quelque chose et ça montre aussi qu’il y a seulement de l’agitation mentale. Le critère de répartition est mauvais et n’a d’ailleurs pas à être indiqué par des Auroviliens. Par ailleurs, il est prévu d’agir selon une idée, celle d’unité, alors que, dans les faits, il n’y a pas cela. Si les causes de conflits sont présentes, il est normal qu’il y ait des conflits. La tyrannie d’Auroville sur la Z.I. est une source de conflit. Les Agités montrent qu’ils n’agissent pas d’après une bonne impulsion et qu’ils n’ont pas d’inspiration véritable. Qu’ils prennent référence à leur psychique au lieu de s’agiter. Qu’ils sachent se remettre à leur place, s’effacer, ne pas empêcher le vrai développement d’Auroville pour la Z.I.


Le quatrième § est l’anglais de ceci. Il est important que la Zone internationale soit une place de travail pour les [ou : des ?] Auroviliens, et pas seulement une place pour des expositions, des évènements et des visiteurs. Les Ambassades partout dans le monde dépensent déjà beaucoup de leur énergie pour exprimer la culture de leurs pays respectifs, tandis que les pavillons de la Z.I. sont envisagés pour explorer plus profondément les systèmes de valeurs dans leur recherche pour définir leur "esprit national".
« pas seulement une place pour des expositions, des évènements et des visiteurs », car c’est cela qui est presque toujours envisagé dans Auroville.

Lesdites Ambassades et d’autres institutions proches expriment ce qui, selon le pouvoir public dominant momentanément en chaque pays, est considéré comme étant la culture de leurs pays respectifs mais qui ne l’est pas forcément.

C’est par la continuation de l’évolution dans chaque pays qu’apparaitra clairement ce qui lui est caractéristique.
Par ailleurs, le titulaire principal de chaque pavillon et les autres habitants de chacun d’eux viendront de leur pays en tant que tel et ils se retrouveront Auroviliens. Si des Auroviliens actuels veulent travailler, ils peuvent le faire aux fonctions où il y a actuellement des villageois salariés ou dans l’agriculture. Les Agités n’ont pas d’inspiration. Ils pensent que les titulaires de Pavillon n’en auront pas non plus et qu’ils devront s’agiter à propos de valeurs et de définition. Mais les titulaires qui se retrouveront dans cette situation en conséquence de leur développement psychologique n’auront pas à s’agiter car ils devront seulement continuer à vivre de la même manière.

Le cinquième § est l’anglais de ceci. Quoi que soit ce qui se manifeste, ça doit attirer des jeunes d’Auroville et du [reste du] monde.

Le sixième § est ceci. Si nous nous concentrons sur les liens entre les nations et que nous les voyons comme des fils qui unissent les qualités d’âme des différentes nations, la visite de la Z.I. pourrait-elle en réalité être perçue comme un voyage plutôt que comme une destination ? Original en anglais : « If we focus on the connections between nations, and see them as threads that weave the different nations’ soul qualities together, could visiting the IZ actually be seen as more of a journey rather than as a destination ? » On dit seulement que, actuellement dans la Z.I., le seul Pavillon véritable est celui de l’Inde. Toutes les autres constructions qui correspondent à des pays et celle qui est dite « de la culture tibétaine » relèvent de la folie de quelques individus... et d’Auroville.

Le septième § est l’anglais de ceci. Si la majorité des pavillons étaient "multi-usages" et "flexibles" par nature, alors quels autres espaces seraient nécessaires ? Des espaces tels que cuisine/salle à manger pour différents groupes pour offrir des menus nationaux tout au long de l’année, une salle de concert, un hôtel et un lieu d’exposition générale ?
Les Agités se placent dans une hypothèse qui résulte de leur conception, et ils réfléchissent dedans.


Le huitième § est l’anglais de cette traduction approximative (comme d’autres). Si tous les pavillons devaient être de nature similaire, alors quels seraient les besoins basiques de chacun ? Salles de réunion, espaces "d’activité", bureaux, toilettes ? Est-ce que chacun aurait besoin d’espaces à invités pour les chercheurs en visite venant de leurs pays respectifs ? (« Would each require guest spaces for visiting researchers from the respective countries ? »)
Les Agités se placent dans une hypothèse qui résulte de leur conception, et ils réfléchissent dedans.

Il y a un neuvième paragraphe.

La dernière phrase du texte signale que ce qui précède est un petit aperçu (« small glimpse ») des idées générées par lesdits Capteurs du rêve et que, pour avoir plus d’informations, on peut envoyer un courriel à l’adresse indiquée. Comme écrit au début du panneau, les pensées présentées en sont les « perles », c’est-à-dire ce qu’il y a de mieux. On peut deviner ce que vaut ce qui n’est pas indiqué !


QUELQUES AUTRES PANNEAUX

Il y a un panneau pour ledit Centre des visiteurs.
Il y en a un pour ledit C.I.R.H.U., Centre de recherche internationale en unité humaine.

Il y en a un pour ledit Pavillon de l’unité.

On ne répète rien de ce qui est écrit plus haut.
En haut du panneau de l’exposition, il y a deux lignes qui concernent Auroville dans son ensemble et qui proviennent de la Mère en janvier 72.
En bas, il y a neuf lignes de quelque chose dit par le lama-chef, dont le nom de fonction « Dalai Lama », Dalaï-Lama, est précédé par « H. H. », ce qui correspond à His Holiness, Sa Sainteté. Tout lecteur conscient qui se retrouve en train de lire cela, de le deviner, se retrouve donc en train de recevoir cette conception. Pour ceux qui désapprouvent, c’est de la tyrannie. Chaque personne aimant la liberté réagit à sa façon.

Il y a une institution aurovilienne dont le nom français est Étudiants du monde volontaires à Auroville. Il y a un panneau qui la concerne sous le titre SAVI et le même semble-t-il sous le titre AVIS (Auroville Volunteer & Internship Service). Auroville aime beaucoup les étudiants, les chercheurs professionnels. Dans l’exposition, il n’y a pas de panneau pour les individus qui, pour une cause ou une autre, ne purent pas se retrouver étudiants. Une cause de cela put être que des évènements venus de l’extérieur d’eux-mêmes ou leur propre position psychologique les empêchèrent de cela mais les poussèrent très jeunes sur un chemin sur lequel ils finirent par découvrir quelque chose de l’apport de Sri Aurobindo et la Mère et par s’y intéresser, et à agir en conséquence. Une autre cause peut exister pour ne s’être pas retrouvé étudiant et ses suites mais ça n’empêche pas un développement selon le yoga intégral de Sri Aurobindo et la Mère. Il semble qu’Auroville en général ne s’intéresse pas à ces individus, n’en attend rien.

Il y a un panneau pour ladite « University of Human Unity », Université de l’unité humaine. Ce qui est exprimé dessus fait apparaitre un vide. Malgré quelques mots de Sri Aurobindo et d’autres, il n’y a rien qui fasse penser à ce qui devrait exister pour tout Aurovilien qui est d’être « serviteur volontaire de la Conscience Divine » ou « Essayer d’atteindre à la perfection suprême ». En plus, ça ne concerne pas seulement ces individus mais tous ceux qui sont intéressés par l’apport de Sri Aurobindo et la Mère, où qu’ils soient sur la Terre ou dans l’espace. Le Cirhu, comme tout Auroville qui le produisit, passe à côté du vrai moyen d’agir, l’ignore. Cette institution aurovilienne est prévue pour le cancanage.
Sur le panneau, pour l’origine de cette université, il y a le passage suivant. Dès 1969, la Mère, fondatrice et guide d’Auroville, adressa à l’U.N.E.S.C.O. son intention de créer une "Université de l’Unité humaine" comme un moyen de réaliser les objectifs spirituel et matériel d’Auroville. Original en anglais : « As early as 1969, The Mother, Auroville’s founder and guide, adressed her intention to UNESCO to create a "Université de l’Unité Humaine", a University of Human Unity, as a means to realise the spiritual and material goals of Auroville. »
Sujet traité plus haut.

Sur l’un des panneaux, une carte représente l’espace territorial du monde arabe, « the arabic world ». Il y avait des régions avec des peuples vivant dessus qui subirent la conquête arabe. Le nom monde arabe exprime donc du mensonge puisque tous les gens visés ne sont pas arabes. Il exprime donc aussi la tyrannie raciale arabe qui existe en ces régions. Qu’est-ce qu’une telle carte présentant l’espace territorial du monde arabe a à faire sur un panneau de la Z.I. ? Rien ! Sa présence montre l’état de conscience de ses créateurs. Il est seulement celui qui domine actuellement dans le monde. Il est en-dessous de l’état de conscience où il y a ce qui est indiqué juste avant ci-dessus et qui n’est pourtant pas nouveau ni original. Par ailleurs, ce monde arabe semble être ce qui est appelé, en France, le monde arabo-musulman. La tyrannie mahométane n’est pas faite pour durer et elle finira forcément par être détruite.

 

LE PANNEAU TITRÉ « INVITATION FOR THE NEXT STEP », INVITATION POUR LE PROCHAIN PAS

Ce panneau est le dernier de cette exposition, le trente-troisième.


En son haut, il y a un texte dont le titre est « Vision », Vision. Le voici complet, d’abord en sa traduction (approximative).
Aider les individus à devenir conscient du génie fondamental de la nation à laquelle ils appartiennent et aussi les aider à apprendre à connaitre et à respecter l’esprit vrai des pays du monde est le rôle essentiel de la Zone internationale.
Prenant en considération ce but et les institutions et activités qui sont déjà en place ou en cours de réalisation, d’importants pas ont besoin maintenant d’être faits.
Ils incluent :
-Développer l’infrastructure urbaine telle que l’électricité, la technologie de l’information, l’eau et les routes dans les secteurs concernés.
-Construire des équipements complets pour étudiants et volontaires avec dortoirs, chambre à un lit, studios, restaurants, bureaux de réception, espaces d’étude et d’équipements pour internet pour 300 volontaires, étudiants et chercheurs.
-Créer les équipements de bureau pour le CIRHU [Centre de recherche internationale en unité humaine] et Savi [Étudiants du monde volontaires à Auroville].
Avec ces développements, un campus sera consolidé, créant un lieu de rencontre international très dynamique.
Original en anglais : « To help individuals to become aware of the fundamental genius of the nation to which they belong and also to help them to learn to know and respect the true spirit of the countries of the world is the essential role of the International Zone.

Taking this aim into consideration, the institutions and activities that are already in place or in the process of materialising, important steps now need to be taken.
These includes :
-Developing urban infrastructure such as electricity, IT, water and roads in the areas concerned.
- Building student and volunteer facilities complete with dormitories, single rooms, studios, restaurants, reception offices, study areas and internet facilities for up to 300 volunteers, students and researchers.
- Creating office facilities for CIRHU and Savi.
With these developments, a campus will be consolidated, creating a truly vibrant international meeting place. »

Il est prévu de faire cette infrastructure d’après le projet mauvais. Il vaudrait mieux ne pas créer cela. Si ça l’était, il faudrait probablement détruire ou modifier beaucoup de ces éléments lorsque de vrais Pavillons seront placés dans la Z.I.
Concernant l’accueil de trois-cents étudiants, volontaires et chercheurs, quel rapport cela a-t-il avec des Pavillons de pays ? Aucun apparemment. C’est de l’agitation. Mais ça résulte de la conception aurovilienne, mauvaise, de ce que devrait être la Z.I.

Cette conception est exprimée par ceci.
Il y a « Aider les individus à devenir conscient » « et aussi les aider à apprendre », comme « rôle essentiel de la Zone internationale ». Il y a l’idée d’un enseignement fait avec des enseignants et des élèves comme but essentiel, c’est-à-dire comme premier but et peut-être le seul. Donc, c’est la situation pour chacun des Pavillons de pays. Ça fait partie du mauvais projet aurovilien de Z.I.
Il y a le mot « campus ». Il désigne une zone universitaire où il y a les bâtiments d’enseignement (c’est-à-dire avec des enseignants et des élèves), des bâtiments de restauration, etc., et les espaces entre eux : voies de circulation, espaces de végétation, etc. Selon le mauvais projet aurovilien de Z.I., celle-ci serait destinée à devenir un campus, serait entièrement cela ! D’après le mot consolidé, elle le serait déjà. Donc, chacun de ses Pavillons de pays serait un lieu d’enseignement avec des enseignants et des élèves. (Le mot « campus » est aussi employé dans une brochure diffusée par Auroville : « La zone internationale d’Auroville est appelée à être un campus international […]. Elle accueillera les pavillons nationaux. » Cette brochure exista d’abord en anglais en *03, puis il y eut une version française dont la deuxième édition est de 2013*. Titre : Auroville un rêve prend forme. Publiée à Auroville par « Prisma ».)

La Zone internationale d’Auroville n’est pas prévue pour être un lieu d’enseignement avec des enseignants et des élèves et, donc, chacun de ses pavillons de pays non plus.
Ce sujet est traité plus haut.

Le premier § du texte est formé d’après celui de la Mère d’avril 52. « Le premier but sera donc d’aider les individus à prendre conscience du génie profond de la nation à laquelle ils appartiennent, et en même temps de les mettre en contact avec les modalités de vie des autres nations, afin qu’ils apprennent à connaître et à respecter également l’esprit véritable de tous les pays de la terre. » Ce fut traduit en anglais sur le panneau, et la traduction faite en français ci-dessus, dans le texte Vision, le fut d’après ce texte anglais.
Comme indiqué plus haut, ce passage concernait le « Centre universitaire international » ou « université internationale » de l’Ashram, qui avait donc ce « premier but », et celui-ci n’est pas celui de la Z.I. et ses Pavillons de pays. Sur ce panneau d’exposition, ce texte de la Mère est corrompu, déformé, mis au service des Agités auroviliens, pour dire qu’il exprime le rôle essentiel de la Zone internationale.
Par ailleurs, sur le panneau il manque l’idée exprimée par « mettre en contact avec les modalités de vie des autres nations ». On ne commente pas.


Sur le panneau et sous ce qui précède, il y a dix-huit photographies jointes qui entourent un espace où il y a du texte. Il y en a une que le regard qui descend, après la lecture de ce qui précède, voit en premier à cause de sa place centrale et du visage plutôt grand du principal personnage représenté. Celui-ci est un personnage religieux, un moine, le lama-chef. Comme chaque fois dans cette exposition où il y a une photo de ce chef religieux, et qui est valorisée, on peut penser, peut-être à tort, que l’idée de la placer vint de Claude Arpi, meneur du groupe « Pavillon de France » et initiateur du bâtiment nommé « Pavillon de la culture tibétaine ».
Au centre de cette bande rectangulaire de photographies, il y a la photographie d’un papier sur lequel sont écrits à la main par la Mère quelques mots et sa signature. Les mots sont « The world is preparing for a big change. Will you help ? » Le monde se prépare à un grand changement. Voulez-vous aider ?
Un commentaire de cela est placé plus haut. Il convient aussi à ici.


Et les Agités ne répondent pas positivement à la question avec sa signification véritable car ce qu’ils font n’est pas le produit d’une bonne motivation mais celui d’une agitation mentale, d’un mental mal utilisé du point de vue intellectuel, et aussi le produit d’une inconscience, d’une absence de bonne inspiration qu’il n’est même pas cherché à avoir, de l’orgueil, etc.


UNE RUMEUR

Il y a une rumeur selon laquelle une autre conception de la Z.I. n’est pas exposée dans Auroville car il est voulu présenter une image d’unité entre les Auroviliens.

Si cette rumeur est vraie, il y aurait un comportement selon une idée, pas selon une bonne cause. On voudrait présenter une image, une apparence. Des gens joueraient à l’unité, joueraient à avoir la conscience correspondant à cela.
Plutôt qu’exprimer la réalité de la situation, on chercherait à faire croire qu’il y a un consensus. Il serait préféré mentir, vivre dans le mensonge, chercher à tromper les gens vivant hors d’Auroville, chercher à les illusionner.
S’il y avait vraiment des Auroviliens qui, ayant une autre conception de la Z.I., ne la présenteraient pas publiquement à cause d’une acceptation de la soumission aux majoritaires, ils seraient en trahison d’eux-mêmes.
Est-ce que la rumeur correspond à de la réalité ? Ici il est pensé que si des Auroviliens, ou au moins un, avaient vraiment une autre conception et qu’elle ait un bon fondement, ils ne se laisseraient pas écraser. Mais, à ce sujet comme à d’autre, craint-on de se faire expulser par les tyrans de l’unité humaine !?


CONCLUSION

Dans ce qu’Auroville présente au reste du monde à propos de sa Z.I., il n’y a pas une seule idée positive nouvelle. Il y a beaucoup d’éléments considérés ici comme mauvais. On n’y perçoit aucune bonne motivation, aucune bonne inspiration et aussi presque du vide à propos des moyens d’agir correctement. Par contre, on constate de l’agitation mentale et ses conséquences, et la volonté d’en produire davantage, avec de l’orgueil, de l’incompréhension, etc.

Ce qui domine visiblement dans Auroville à propos de la Z.I. sont les Agités. Des gens plus sages pourraient peut-être agir mais ce sont les premiers qui, par définition, se mettent sur le devant de la scène et qui se voient donc, au moins en premier pour le cas où certains percevraient qu’il y a des Auroviliens différents.

Partout dans le monde, il y a des individus qui, à propos de la Z.I., ont un choix à faire, ont l’occasion de se démarquer, de faire s’exprimer davantage leur psychique, de rejeter les ténèbres et leurs œuvres, de s’ouvrir à la lumière, de développer leur conscience, d’avancer vers le vrai, c’est-à-dire de progresser. (Est-ce que la lecture du présent article fit devenir davantage conscient ?)

Qui va faire la traduction du présent article et la publier dans son pays sur son site internet ? Si quelque chose déplait ou si l’on veut ajouter quelque chose, voici comment faire. D’abord, traduire le texte en le laissant comme il est. Lorsque l’on veut dire quelque chose, placer un interligne puis, au début du paragraphe suivant, écrire par exemple : Note du traducteur. Faire suivre par ce que l’on veut exprimer et terminer en disant : Ici se termine la note du traducteur. Placer un interligne puis continuer à placer la traduction.
À Auroville et dans ses environs proches, qui va s’occuper de distribuer gratuitement une traduction en tamoul, en anglais et peut-être en d’autres langues, et aussi le présent texte en français après en avoir corrigé les fautes de français ?

Est-ce que les nuisances produites par des Agités auroviliens font que les meilleurs des Auroviliens, étouffants, sont poussés à faire appel au supramental pour venir solutionner la situation, se développant ainsi eux-mêmes personnellement ?

Toute continuation de la construction du mauvais projet de Zone internationale et des Pavillons qui vont avec révèle davantage le caractère mauvais de tous ceux-ci.
Le présent texte contient peut-être quelques défauts et même quelques erreurs. Même avec eux, une position générale est exprimée et elle est considérée bonne.
Elle déplait forcément à certains individus qui pourront peut-être apprécier ce que vaut cette position lorsqu’un véritable Pavillon de la France à Auroville commencera d’exister, ou un Futur Pavillon de la France, ou le véritable Pavillon d’un autre pays.
Après le Bharat Nivas, le prochain Pavillon à exister sera-t-il le français ? On ne sait pas. Il y a des arguments pour dire que oui. L’expression de la conscience de la situation qui est exprimée dans le présent texte en est un.
Penser que l’arrivée d’un véritable nouveau Pavillon de pays à Auroville pourrait se faire sans conséquences dans cette ville et en des pays relève de l’incompréhension et de l’illusion. Et la situation n’en est pas encore à cette arrivée. Nul ne sait combien de temps il faudra.


Et maintenant, que le temps fasse son œuvre !

 

 

 

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